« Séjour dans les monts Fuchun » un film de Gu Xiaogang

Jeudi 9 – Mercredi 15  janvier à 19h30 Madiana

Avec Qian Youfa, Wang Fengjuan, Sun Zhangjian
Genres Romance, Drame
Nationalité Chinois
Date de sortie 1 janvier 2020 (2h 30min)

Synopsis :
Le destin d’une famille s’écoule au rythme de la nature, du cycle des saisons et de la vie d’un fleuve.

La presse en parle :
Bande à part par Olivier Pélisson
Long-métrage inaugural du parcours d’un jeune prodige chinois : Gu Xiaogang. Dépaysement garanti et cinéma au sommet de son art.

Les Inrockuptibles par Jean-Baptiste Morain
Mais la beauté du film tient tout entière dans sa mise en scène très douce. (…) Gu Xiaogang filme beaucoup les paysages, et ses personnages au cœur de ceux-ci. (…) C’est tout simple, sans volonté d’en imposer, et pourtant majestueux et bouleversant.

L’Humanité par Vincent Ostria
Ce premier film magistral, tourné sur deux ans, au gré des saisons, n’est pas un simple coup d’essai. C’est le premier volet d’une ambitieuse trilogie, dont on attend la suite avec impatience.

Libération par Marcos Uzal
Quitte à paraître un peu pompeux, on ose affirmer que cette façon de mettre chaque vie singulière en perspective avec l’évolution d’une famille, d’une société ou d’un paysage, tout en s’accordant au rythme des saisons aussi bien qu’aux soubresauts de l’histoire, touche à l’essence même du cinéma.

Transfuge par Serge Kaganski
[…] le jeune Gu Xiaogang impressionne par sa maîtrise du récit, des plans et des durées, une maîtrise qui n’est jamais m’as-tu-vue ou asséchante mais, au contraire, toute au service d’un film qui respire avec ampleur, à l’exacte intersection de l’ambition et de l’humilité.

CinemaTeaser par Emmanuelle Spadacenta
Quand la simplicité confine au sublime.

La Croix par Céline Rouden
Dans ce film d’une grande virtuosité, le réalisateur de 31 ans déplie à la manière d’un rouleau de peinture ancienne, une chronique familiale sur trois générations et quatre saisons sur fond de mutations de la Chine urbaine.

Le Figaro par La Rédaction
Le réalisateur ne verse jamais dans la virtuosité gratuite. Il montre une ville en pleine mutation, un chantier permanent. À ce chaos urbain répond une nature puissante et immuable.

Le Journal du Dimanche par Alexis Campion
Le spectateur est ainsi invité à se laisser captiver par de longs plans-séquence, bucoliques ou urbains, qui composent une peinture cinématographique qui n’est pas sans rappeler le cinéma de Jia Zhangke, nourri de fiction entrelacée à des observations documentaires.