« Le lac aux oies sauvages », de Diao Yinan

Mercredi 8, Vendredi 10, Lundi 20 janvier à 19h30 Madiana

Avec Hu Ge, Gwei Lun Mei, Liao Fan
Genre Thriller
Nationalité Chinois
Date de sortie 25 décembre 2019 (1h 50min)

Synopsis :
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Un chef de gang en quête de rédemption et une prostituée prête à tout pour recouvrer sa liberté se retrouvent au cœur d’une chasse à l’homme. Ensemble, ils décident de jouer une dernière fois avec leur destin.

La prese en parle :
Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Loin du discours officiel, avec des choix de mise en scène forts, le réalisateur Diao Yinan confirme son talent, comme un des meilleurs auteurs-réalisateurs chinois.

La Voix du Nord par Catherine Painset
Noir et virtuose !

Paris Match par Yannick Vely
[…] miracle de cinéma qui établit un pont esthétique entre le cinéma hollywoodien des années 50 – «La Dame de Shanghai» d’Orson Welles, bien sûr -, le cinéma chinois contemporain (notamment People Mountain People Sea, déjà photographié par ce génie de Dong Jinsong) sans oublier le cinéma taïwanais et hongkongais des années 90-2000.

Positif par La Rédaction
La pluie, les ombres, les flash-back, l’homme en fuite et la femme fatale sont autant de figures du film noir des années 1940 et 1950 que le cinéaste revisite avec virtuosité.

Télérama par Jacques Morice
De filatures en courses-poursuites, « Le Lac aux oies sauvages » est une vaste partie de cache-cache mortel, portée par une mise en scène virtuose.

Transfuge par Jean-Christophe Ferrari
Il n’y a pas de doute : la réappropriation et la reformulation en Extrême-Orient des enjeux narratifs et esthétiques du film noir sont à l’origine d’un des pans les plus excitants du cinéma contemporain.

20 Minutes par Caroline Vié
Ce thriller en forme de plongée dans les bas-fonds chinois surprend par sa violence et son esthétique.

Cahiers du Cinéma par Stéphane du Mesnildot
En laissant aux hommes la nuit et la violence et en faisant l’apologie d’une sororité solaire, Diao Yinan offre une mutation finalement optimiste à son très beau film noir.

CinemaTeaser par Aurélien Allin
Un imparable polar en forme de trip esthétique.

Critikat.com par Damien Bonelli
Ultra-stylisée, la mise en scène est entièrement dévolue à la sublimation d’un lieu, qui semble se refermer comme un piège sur le principal protagoniste.

Culturopoing.com par Vincent Nicolet
Derrière cet habillage virtuose, à même de le cantonner au rang d’exercice de style brillant, Diao Yi’nan entend prolonger ce qu’il a entamé avec « Black Coal » : une étude frontale et faussement détournée de son pays.

Dernières Nouvelles d’Alsace par La Rédaction
Un film noir, mais également emprunt de romantisme. (…) Et qui fait mouche.

La Croix par Céline Rouden
« Le Lac aux oies sauvages », polar d’une très grande maîtrise scénaristique et formelle, confirme le talent de son réalisateur Diao Yinan et la grande vitalité du cinéma chinois actuel […].

Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Un polar à la chinoise, à la mise en scène haletante.

Le Figaro par Etienne Sorin
Une chasse à l’homme virtuose

Le Monde par Jacques Mandelbaum
« Le Lac aux oies sauvages » est un récit à la fois ténu et palpitant, qui tient tout entier dans l’épiphanie de sa mise en scène.

Le Nouvel Observateur par François Forestier
Diao Yinan réinvente l’expressionnisme, façon Chine moderne.

Le Parisien par La rédaction
L’intrigue devient presque secondaire tant l’image de ce polar noir, sélectionné au Festival de Cannes, est sublime.

Les Fiches du Cinéma par Simon Hoarau
Dans ce nouveau film impressionnant de beauté et de noirceur, Diao Yinan continue de brosser une Chine toujours plus démentielle et désespérée.