L’îlet à Ramiers, ou îlet Ramiers, est une petite île volcanique de 3 hectares située au sud de la baie de Fort-de-France, au large de la commune des Trois-Îlets en Martinique. Culminant à 43 mètres d’altitude, cet îlet de forme conique présente une physionomie spectaculaire, avec des flancs abrupts sur trois côtés et une petite anse sablonneuse à son extrémité méridionale. D’origine volcanique, cet îlot fait partie des coulées de lave massive et retombées de scories formées il y a plusieurs centaines de milliers d’années, ce qui en fait un lieu d’intérêt géologique unique.
Historiquement, l’îlet à Ramiers occupe une place centrale dans le système défensif de la baie de Fort-de-France. Il servait de premier rempart dans un réseau fortifié qui comprenait plusieurs autres places fortes stratégiques : le fort Saint-Louis à Fort-de-France, le fort Desaix, le fort Tartenson et le fort d’Alet. Sa position en première ligne en faisait un point stratégique essentiel pour la défense de la Martinique, particulièrement lors des conflits coloniaux et des incursions étrangères. Les Anglais, lors de leurs campagnes en mer des Caraïbes, surnommaient l’îlet « Pigeon Island » en référence au pigeon ramier, une espèce d’oiseau locale qui a donné son nom à l’îlet.

Des centaines de jardins publics et privés ouvrent leurs portes durant ces 3 journées. La manifestation porte cette année sur le thème « Les 5 sens au jardin ». Découvrez le programme !
Le Fort Saint-Louis a rouvert ses portes. Pour la billetterie qui est aussi le point de départ des visites (1h15-1h30), il faut se rendre dans les locaux du Comité de tourisme centre ou CTC. Attention, les enfants sont acceptés à partir de 6 ans.
Le Macouba
Les dessins des animaux et fleurs sont naturalistes, dans le sens où ils restent fidèles à l’étude même de chaque élément mais caractéristiques du style propre à mes créations et à mon univers. L’écosystème en question a donc été analysé dans toutes ses strates, pour retenir ce qui pouvait faire sens de manière immédiate et joyeuse. Avec un sens du détail foisonnant qui invite à scruter les affiches sans pour autant perdre l’impact du message à diffuser. Les affiches sont donc à la fois sur un positionnement visuel fort, (typographie, composition ascendante), ludique (diversité des espèces, fleurs et plantes représentées, couleurs contrastées), mais aussi documenté (analyse et synthèse des auxiliaires du jardin). Tout se mêle et s’entremêle pour former l’écosystème, où chacun a sa place, une fonction et un rôle. Côté faune, on y retrouve : le scarabée doré, la coccinelle, la chauve-souris, la couleuvre, la grenouille, le hérisson, le lézard, la musaraigne, des oiseaux… Côté flore, il est toujours question de générosité avec fleurs sauvages, tomates, fraises, coquelicots, œillets d’Inde… C’est le jardin bucolique mais aussi potager, celui qui nourrit.

L’histoire des jardins de la Martinique a débuté bien avant la colonisation européenne de l’île et a été alimentée au fil des siècles par la venue, volontaire ou forcée, d’hommes et de femmes (et avec eux de plantes) originaires de différents continents. Pendant longtemps, ces jardins ont permis à la population de survivre et d’entretenir ses racines, et ces facteurs ont marqué durablement la culture martiniquaise.
vert, les Rendez-vous aux jardins rencontrent chaque année un grand succès.
Vous pouvez dès maintenant télécharger
Le ministère de la Culture et de la Communication invite petits et grands, les 5, 6 et 7 juin 2015, à profiter de nombreuses animations proposées dans près de 2 300 jardins publics et privés, historiques et contemporains, partout en France dont 
Jusqu’au 30 août, 
La saga du Jardin de Bonneville débute en 1998. Dix années de travail ont été nécessaires à ces passionnés, Patrick et Sylviane Eugénia, pour transformer un terrain d’un hectare et demi, jadis en friche, en un petit paradis vert.
Dans le-cadre de l’ancienne.habitation Limbé, sucrière puis rhumière au 18ème siècle, reconvertie à la production de banane au début du 20ème siècle, est présentée une importante collection de bananiers en provenance d’Afrique et d’Asile.
Le jardin des senteurs occupe un terrain très accidenté en haut d’un morne faisant face à la forêt domaniale du Pérou, partie de l’ancienne habitation Bezaudin, renommée Pied en l’Air dans les années 1930, alors qu’elle vit de la transformation de produits vivriers.
Ce jardin bénéficie d’un avantage rarement partagé : un terrain vaste et relativement plat Toutefois, avant de se faire légère et riche, la terre argileuse a exigé beaucoup de patience à son-jardinier qui n a pas et ne ménage pas sa peine pour l’amender.
Le château Depaz et ses jardins dominent la distillerie et les champs de canne environnants. Ils forment un ensemble de style néo-classique construit au début des années 1920, sur le modèle du château Perrinnelle, belle demeure des 17 et 18me siècles, détruite en 1902 lors de l’éruption de la montagne Pelée.
Derrière la maison familiale, le jardin d’Éveline s’étire sur un terrain accidenté jusqu’à un pré ou paissent quelques moutons en contrebas d’un abrupt.
Beauséjour est l’une des plus anciennes habitations sucrières de la Martinique. Elle conserve la maison de maître en bois reconstruite, en 1820, la cuisine extérieure construite en pierre, la chapelle et la rue « case-nègres ».
Le jardin de la Chaudière s’étend entre maison et rivière qui le borde en contrebas tandis qu’un ruisseau le festonne en amont. C’est un jardin composite patiemment aménagé et qui aujourd’hui âgé de dix ans. affirme sa maturité.
Le site d’implantation de ce jardin créé.au sein d’une exploitation agricole, fruitière (goyave), bovine et ovine, est celui d’une ancienne habitation sucrière. Les anciens champs de canne sont aujourd’hui plantés de goyaviers tandis que la voie ferrée et la coulisse qui permettaient le transport des fagots de canne vers l’usine située au Robert, sont les chemins qui structurent l’espace de promenade.