Catégorie : Habitations, Parcs & Jardins

Le Jardin du château Depaz

j-d-m-19Le château Depaz et ses jardins dominent la distillerie et les champs de canne environnants. Ils forment un ensemble de style néo-classique construit au début des années 1920, sur le modèle du château Perrinnelle, belle demeure des 17 et 18me siècles, détruite en 1902 lors de l’éruption de la montagne Pelée.

Les jardins structurés en vastes terrasses présentent ainsi toutes les caractéristiques du classicisme développé au cours de cette période dans les propriétés aristocratiques métropolitaines. Les ouvrages maçonnés participent pleinement à la composition : balustrades couronnant le mur de soutènement de la terrasse antérieure, bel escalier en fer à cheval intégrant un nymphée reliant les plateformes postérieures.

Des très beaux arbres magnifient cet ensemble : albizia caraïbe majestueux, palmiers talipots aux troncs tressés, sans oublier le caoutchouc gigantesque plus près de la distillerie.

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Le Thirly créole d’Évelyne

j-d-m-18Derrière la maison familiale, le jardin d’Éveline s’étire sur un terrain accidenté jusqu’à un pré ou paissent quelques moutons en contrebas d’un abrupt.

C’est un de ces jardins vivriers créoles qui marie le bien-être des plantes, légumes, fruits, herbes condimentaires et médicinales, avec celui des animaux domestiques (et plus encore car les lapins et autres cabris attendent eux aussi les caresses l) et celui des êtres humains.

On v découvre. dans un décor arrangé dans les tons de rouge des cordylines et des crotons, des variétés rares comme la sapotille. le shadeck, le giraumont grimpant, la prune d’Espagne, sans oublier le Richeria Grandis aux vertus aphrodisiaques (mieux connu sous son nom vernaculaire de «bois bandé»).

C’est un jardin charmant qui dans son désordre apparent recèle bien des richesses.

Ouverture exceptionnelle sur Rendez-vous : Tél. 0696 84 60 04
Rendez-vous aux jardins

Accès : par Fort de France: prendre la route de Redoute, 20 mètres
après la croisée Abricot. prendre l’entrée Rosière n°1.

Par le Lamentin : Prendre la route de Palmiste, passer devant l’école de Gondeau Saint-Joseph, 20 mètres après la croisée Abricot, prendre l’entrée Rosière n°1

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L’Habitation Beauséjour

j-d-m-10bBeauséjour est l’une des plus anciennes habitations sucrières de la Martinique. Elle conserve la maison de maître en bois reconstruite, en 1820, la cuisine extérieure construite en pierre, la chapelle et la rue « case-nègres ».

Dans les années 1930, Marie de Lucy de Fossarieu commandite un jardin en terrasses de style classique autour de la maison de maître. La grande terrasse antérieure, ombragée de vénérables manguiers,-domine l’ancien poulailler et potager que l’on rejoint par un escalier de pierre ménagé dans le mur de soutènement.

Derrière la maison, l’ancienne parcelle cultivée en canne à sucre a laissé place à trois terrasses, les deux premières séparées par un muret et également reliées entre elles par des escaliers de pierre, Ces deux espaces sont plantés de hauts palmiers royaux qui les structurent par leurs alignements et parsemés de lataniers. fougères arborescentes, rocouyer, bambou, héliconia, ainsi que  les fleurs inhabituelles en milieu tropical comme les hortensias bleus.

Le réseau hydraulique ancien est conservé et la restauration projetée du canal d’amenée de l’eau captée dans la Grand Rivière, permettra aux bassins et fontaines de retrouver vie.

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Le Jardin de la chaudière

j-d-m-14Le jardin de la Chaudière s’étend entre maison et rivière qui le borde en contrebas tandis qu’un ruisseau le festonne en amont. C’est un jardin composite patiemment aménagé et qui aujourd’hui âgé de dix ans. affirme sa maturité.
Son épine dorsale est latérale : une haie de splendides spécimens de palmiers multipliants forme la limite entre deux espaces très différents d’aspect et d’ambiance. L’un, très abrité ou prospèrent les roses de porcelaine et les vanilliers, le second très ouvert dans lequel s’épanouissent des arbustes plantés de façon aléatoire : alpinias rouges, roses et blancs, touffes de fougère et de cannes, palmiers rouges, roucou…

Au-delà se développe un verger où l’on trouve réunis, sous l’autorité tutélaire d’un vieux châtaignier, poivriers, cacaoyers et plusieurs variétés de caféiers, Sans oublier quelques rares d’orchidées qui sont merveilles.

Ouvert toute l’année
Tél. 096 52 34 47
restaurant-la-chaudiere@orange.fr

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An Griyav La

j-d-m-17Le site d’implantation de ce jardin créé.au sein d’une exploitation agricole, fruitière (goyave), bovine et ovine, est celui d’une ancienne habitation sucrière. Les anciens champs de canne sont aujourd’hui plantés de goyaviers tandis que la voie ferrée et la coulisse qui permettaient le transport des fagots de canne vers l’usine située au Robert, sont les chemins qui structurent l’espace de promenade.

Un somptueux fromager marque l’entrée dans l’univers tropical dont on découvre la prodigalité extraordinaire en fruits et fleurs. Une allée qui monte en pente douce, domine peu à peu le vallon planté en contrebas. Elle est bordée, en alternance avec des plantes d’ornement. palmiers multipliants, alpinias, balisiers, oiseaux de paradis, de toutes les sortes d’arbres fruitiers tropicaux : orangers. goyaviers, cachimans. pruniers de Cythère, amandier pays, châtaignier. arbres à pain, tamarin des Indes et pays et d’autres encore.

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Las Palmas

j-d-m-16Ce n’est pas un véritable jardin mais il en a bien des vertus cet espace planté de palmiers qui sont autant de pièces de collection !

La première vertu est sans doute de permettre l’évasion. La promenade qui se fait sans tracé et donc au gré de l’humeur de chacun, est une invitation au voyage sur les continents d’Afrique, d’Amérique et d’Asie. ll nous est donné de passer sous les ombrages de ces tiges (stipes) portant des palmes de différentes formes et couleurs (du vert profond au bleu argenté), partant du pied ou très haut perchées au sommet, à la « peau » tressée, annelée, zébrée, hérissée d’épines.

Georges Pastel apporte tous les soins nécessaires à leur embellissement et agit pour la sauvegarde d’espèces endémiques â la Martinique menacées par l’urbanisation.

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La Plantation Beauvallon

j-d-m-15Un jardin d’agrément accompagne le domaine de production de plantes et fleurs tropicales de Beauvallon. ll se compose en deux espaces d’ambiance très différente qui sont déterminés par la topographie accidentée du lieu.

L’un est une sorte de bois de roses de porcelaine sous l’ombrage desquelles on descend jusqu’au petit ruisseau qui coule au fond d’un creux de terrain aux pentes raides. Le second prend ses aises sur une partie plate que l’on peut découvrir au sortir de cette promenade rafraîchissante, et sur lequel s’épanouissent cordyline rouge, hibiscus de couleurs variées, simples ou doubles, et autres plantes florales présentées sur fond d’alpinias roses et rouges habillant la pente du talus.

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Ecotours, Jardin Créole

j-d-m-13C’est autour de l’habitation datant de 1831 et dans les hauteurs du Marin,que vous découvrirez ce magnifique jardin oflrant une vue panoramique sur l’océan Atlantique.

Au programme de la visite dispensée par les propriétaires, le promeneur part à la découverte de la flore martiniquaise. De nombreuses espèces vous sont présentées. Dans ce décor champêtre, où trône une forêt de mahoganys enlacés de philodendrons géants, de canneliers de Chine Cinna-momum aromaticum, de sabliers Hura crepitans ou encore de cotonniers Gossypium herbaceum, on compte plus de 200 espèces répertoriées (plantes médicinales, le diapana, l’herbe charpentier, l’atout maux, arbres fruitiers, épices, fleurs et essences rares.. . )

Ce véritable petit coin de paradis a été récompensé à plusieurs reprises. ll a o6tenu le ruban bleu de l’écologie en 2000 et a été lauréat des Floralies Caribéennes en 2006.

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Le Jardin de Bel Air

j-d-m-12Dans un espace pentu et restreint par la présence de grosses roches rondes qui témoignent de l’activité volcanique passée (bombes), la moindre parcelle de terre disponible est ici mise en culture dans le plus grand respect de la nature et de l’homme.

Le jardin créole, jardin de subsistance cultivé avec les techniques et les savoirs ancestraux, trouve ici une illustration exemplaire. Le développement d’une plante légumière y profite de l’aide d’une autre plante qui lui est associée et devient sa « compagne » et sa protectrice lorsque qu’elle est insecticide. Ce mode de culture permet ainsi d’éviter tous les engrais chimiques et autre traitements phytosanitaires.

Les arbres fruitiers, châtaignier, jacquier, goyaviers, pruniers de Cythère, arbres à pain. orangers. cacaoyers. canne à sucre, ananas, procurent non seulement leurs fruits mais aussi leurs ombrages protecteurs. Traditionnellement le jardin créole est vivrier, médicinal et d’agrément. Les jardiniers du lieu passionnés qui ont à cœur de partager leurs connaissances, lui ont donné toutes ces vertus. Les plantes curatives des maux du corps humain y sont présentes et la beauté des fleurs tropicales mêlées aux bananiers d’ornement est une fête pour le visiteur (balisiers, orchidées, thumbergie appelée aussi « trompette de la mort »),

Ouvert toute l’année
Du lundi au samedi : 8h – 13h 14h – 17h
Dimanche 9h – 12 h
Tél.

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Le jardin de la famille Bertin

j-d-m-11Le jardin Bertin est un jardin d’agrément ou plutôt d’ornement comme peul l’être une pierre précieuse ciselée avec patience et posée dans un écrin.

Le jardinier créateur a fart œuvre originale autour de sa maison familiale en pays martiniquais car, si les matériaux végétaux et les arbres sont de cette terre, les influences sont exotiques, venues de I’outre Atlantique septentrional.

Les massifs fleuris semés dans un espace de pelouse semée s’inspirent des jardins français ; les bordures des allées larges mêlent les fleurs dans le style anglais des « mixed border » et ce jardin ne serait sans doute pas renié par Gertrude Jekyll, célèbre paysagiste qui a cherché le mariage entre le « naturel » et l’ « artificiel « .

Ouvert toute l’année : sur rendez-vous

Tel. 0596 67 65 29

Rendez-vous aux Jardins
Accès : Quartier Deux Terres. Sur la RN4, prendre la descente fleurie, à côté du temple évangéliste, accès en voiture

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Amefrica – Arboretum

j-d-m-09C’est un jardin naturel où chaque plante, chaque arbre, parfois installé sans v avoir été invite. est considéré avec bienveillance. La mauvaise herbe n’existe pas ici : tout végétal est précieux et contient la promesse de ses vertus thérapeutiques, condimentaires ou simplement ornementales.

Ethiope et son mari assurent, depuis plus de vingt ans, un travail fait de patience et d’humilité, pour installer un jardin sur une couche d’humus peu épaisse posée sur un substrat d’argile et de roche qui souvent affleure.

Le jardin paraît de prime abord un peu fou et c’est en abandonnant nos idées ordonnance qu’il se révèle dans son extraordinaire richesse botanique. Parcourir ce lieu en compagnie de ses inspirateurs est un moment de proximité magique avec la nature jardinée ici avec tout le respect qui lui est due.

Ouvert toute l’année
Du lundi au dimanche : 8 h – 18h
Visites guidées
Tél. : 0596 73 48 47
auster972@hotmail.fr

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Les orchidées de Manzo ( Ascocenda )

j-d-m-07En 1995, Josette Nicole reçoit en pension une orchidée répondant au nom de Phaleaenopsié mivae. De cette cohabitation est née sa passion pour ces fleurs surprenantes, riches d’un langage de formes et de couleurs tellement vaste !

C’est au François. au quartier Morne Gamelle, que nôtre jardinière a créé un coin de paradis consacré aux seules orchidées. Qu’elles soient terricoles, épiphytes ou lithophytes, leurs fleurs extravagantes se mêlent aux fougères du bassin à poissons rouges ou s’allient aux arbres fruitiers. Tout au fond du jardin, Cattleya, « la reine des orchidées ». s’épanouit et règne dans la grande serre exclusivement réservée à cette variété.

Une invitation à rêver du.jardin d’Éden…

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Le Jardin Kalbanat Prod

j-d-m-06Le jardin installé sur le flanc du morne Gamelle, est un jardin créole où se mêlent les cultures vivrières de légumes, de fruits et les plantes condimentaires et médicinales : cacao, goyave, banane, canne à sucre, café (arabica aux petits grains et robusta aux gros grains), bois d’Inde, bois pissenlit, calebasse de toutes grosseurs et formes.

Un jardin « au naturel », désherbé et engraissé par les quelques brebis oui v vivent…Le jardinier musicien, facteur de balafons et de carillons en bambous, à souhaité faire de cet espace un conservatoire des savoir-faire en privilégiant la culture du manioc, dans ses deux variétés douce et amère.

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Le Jardin de Balata

j-d-m-05En 1982, Jean-Philippe Thoze, artiste paysagiste passionné de botanique, entreprend d’offrir une nouvelle vie à la maison familiale délaissée et à son iardin installé sur le flanc oentu d’un mome. ll compose un jardin botanique paysager d’unè richesse rare. Les allées nous conduisent à la découverte d’inestimables collections constituant de multiples scènes contrastées, mêlant lignes, touffes, espaces dégagés et aquatiques où se mêlent les ports magnifiques, les couleurs et les senteurs des fleurs tropicales dont la précieuse rose de porcelaine.

En contrebas de la tenasse de l’habitation, la ligne droite d’une longue allée bordee de majesfueux palmiers royaux donne ouverture et probndeur au jardin. Au-delà, l’exceptionnelle variété de Broméliacées est installée sur des souches de fougères arborescentes disposées dans un ordonnancement strict.

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L’Habitation Anse-Latouche et son zoo

j-d-m-04Un parc paysager a été créé autour des ruines de l’habitation de I’Anse Laiouche fondée au milieu de 17ê- » siècle et détruite lors de l’éruption de la montagne Pelée en 1902.

L’habitation sucrière de l’Anse Latouche, fondée avant 1643, est, probablement, la plus ancienne habitation de la Martinique.
La résidence principale et les installations agro-industrielles étaient situées dans cette petite vallée dont les eaux de la rivière actionnaient le moulin à sucre, alors que les terres cultivées se trouvaient sur les hauteurs environnantes.
Pendant plus de deux siècles et demi, les activités de l’Habitation furent nombreuses et variées : cacao, tabac, indigo, farine de manioc, sucre et rhum. Il y avait également une forge et une poterie. Habitée, pendant quelque temps, par le Gouverneur de la Martinique, elle fut le site en 1717 d’une célèbre révolte des planteurs, « le Gaoulé ».
Le 8 mai 1902, la plantation fut détruite par l’éruption de la Montagne Pelée mais les vestiges sont nombreux et témoignent qu’elle était bien l’une des plus importantes et complexes habitations de l’époque. La résidence principale était entourée d’un jardin à la française au milieu duquel fut construit un jet d’eau.

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Le Jardin des Papillons

j-d-m-03Le jardin est installé au creux d’un vallon où coule la rivière Latouche. L’eau, n’est pas seulement une présence et un murmure, elle :st un des acteurs essentiels à la vie de cet espace voué à la conservation d’espèces végétales et animales en üoie de disparition.

Le Pterocarpus officinalis, arbre endémique des forêts marécageuses de la Martinique. victime de l’urbanisation d l’île, trouve ici un refuge. Le bambou est également, non seulement planté et conservé, mais utilisé pour des constructions exemplaires (charpente et couverture de carbets, instruments de musique).

Le jardin est la reconstitution du biotope du majestueux papillon nommé Monarque. seule espèce parmi les lépidoptères effectuant ue migration saisonnière du Canada vers le Mexique. Ce papillon. dangereusement menacé d’extinction, a besoin de plantes associées se développant en milieu humide pour se reproduire : Asclépias, Cassia Alata, Passiflore. Avant de partir vers de lointaines contrées ce magnifique insecte se laisse admirer…

Le cheminement tracé dans ce vallon propice à la sérénité, invite le promeneur à suivre les allées pavées et à franchir plusieurs ponts en bambous ou, en ciment imitant le bois (style « rocaille »).

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Le Jardin des Ombrages

j-d-m-02Le jardin botanique paysager est installé au creux d’un vallon logé au cœur de la forêt tropicale humide. Le ruisseau qui l’habite lui est essentiel comme il l’était au fonctionnement de la distillerie Viviès au 19ème siècle: une allée porte le nom de « chemin du murmure » dont  un coté est tapissée de « misère ». L’allée était le lieu de rassemblement des esclaves. [ NDLR]

Les ruines de l’ancien établissement industriel mangées par la végétation et les éléments de machineries délaissés accueillant fougères et impatiences constituent les fabriques à l’entrée du jardin avant d’en découvrir le cœur.

Lire les témoignages de Myriam Barthélémy et de Claire Palmiste

Le visiteur franchit la porte en bambous qui marque l’entrée de « L’Allée de la Reine », en pente douce pavée de galets ronds, et pénètre un univers végétal où les plantes maîtrisées, plantées selon un projet défini de découverte botanique, luttent pour leur survie : le fond du tableau est l’exubérance envahissante de la forêt libre d’elle-même. Cette sensation est d’autant plus forte aujourd’hui que ce jardin a été dévasté par le cyclone Dean en 2007 et en garde malheureusement les blessures ouvertes.

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Le Jardin de Mme Servé

j-d-m-01Depuis trente-cinq ans Mme Servé mêle les plantes pour la beauté de leurs feuillages, de leurs fleurs ou de leurs vertus, dans le jardin qui enveloppe sa maison. Elle surprend leurs secrets intimes que seuls les colibris peuvent entendre, mais les poètes savent écouter…

C’est mon jardin…
Aux couleurs bleues de ma mémoire mosaïque
de senteurs, lxora, quisqualis, chèvrefeuille,sellourn.
C’est mon jardin..,
De chants d’oiseaux, de musique et de vent, miette de vie relatant, mon histoire à ceux qui passent ou qui s’arrêtent.
C’est mon jardin…
Petit arpent t discret où mes blessures secrètes laissent dans les chemins sinueux leur dépouille de trente ans.
C’est mon jardin…
Il a la majesté des grands arbres Araucaria, palmiers, manouiers. fouoères arborescentes. Mille frisotis de miel circulent dans leurs ramures où abeilles et petites vies se délectent.
C’est mon jardin…
Planche salvatrice de plantes foisonnantes de vertus, menthe, à tous maux, citronnelle, thé Chine et thé pays.
C’est mon jardin du goût…
Epices et aromates vivent au rythme de la cueillette et des odeurs qui s’échappent de ma cuisine : bois d’Inde, poivre, cannelle, muscade, thym et oignon pays.

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L’Habitation Clément et ses jardins

Photo Jean-Baptiste Barret

Classée au titre des monuments historiques en 1996
Le François
Depuis le bourg du François, prendre la route du Saint-Esprit (D6) sur 2 km.
Site exceptionnel par sa richesse architecturale et son histoire, l’Habitation Clément a su conserver sa fonction industrielle d’origine, tout en développant une politique patrimoniale et culturelle à la portée de tous. Ce lieu unique réunit tout à la fois une maison de rhum centenaire, un domaine patrimonial, et un centre d’art contemporain dirigé par la Fondation Clément.
L’Habitation Clément est aujourd’hui un vaste domaine de 160 hectares, niché dans la commune du François, au sud-est de la Martinique.
Site exceptionnel par sa richesse architecturale et son histoire, l’Habitation Clément accueille chaque année plus de 150 000 visiteurs venus découvrir cet endroit qui a su conserver sa fonction agricole et industrielle d’origine, tout en développant une politique patrimoniale et culturelle à la portée de tous. Au cœur des plantations de canne à sucre et de banane, ce lieu unique réunit tout à la fois, la mémoire martiniquaise, une maison de rhum centenaire et un centre d’art contemporain animé par la Fondation Clément.

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