C’est que notre avenir se crée par le mouvement social bien au contraire de ce que pensent certains fonctionnaires !
— Par Babylas, Raymond GAMA —
Dans le flot continu des interventions qui sont faites sur les réseaux sociaux, sur les médias (TV et radios), la double page de FA, depuis le « mouvement LKP du 27 mai 2018, au Fort Louis Delgrès », il y a, à n’en pas douter, une ligne jaune, que d’aucun aurait tracée, et qu’il ne faudrait pas franchir : « l’histoire au historien ! »
La volonté exprimée par deux professionnels de l’histoire, d’être des défenseurs de « l’histoire et du métier d’historien » ne saurait se réduire à un « coup de vent corporatiste ». Non ! Il s’agit bien d’idéologie, d’opinion politique enveloppée dans un voile prétendument d’experts. En effet, ils ont répondu à la seule et unique question posée par le LKP : faut-il garder la dépouille de Richepanse dans le Fort Louis Delgrès ? Leur réponse à la question est, pour le moins, lapidaire.
La façon dont les personnes en question ont répondu à la question posée à une instance politique, en l’occurrence le Conseil Départemental, est réellement problématique.

— Par Yves-Léopold Monthieux —
Halte aux augmentations inadmissibles des produits pétroliers. Apportons la réponse politique nécessaire à cette spoliation
Après les propos du président sénégalais sur le « dessert » auquel auraient eu droit les tirailleurs du pays dans les casernes, des intellectuels rappellent les réalités de l’époque.
Au-delà de la mobilisation acharnée du personnel d’ATV pour préserver son outil de travail et par la même le sacro-saint principe du pluralisme de l’information télévisée, il convient de tirer, sur un plan plus général , les enseignements de cette initiative remarquable, appelée à faire date.
L’agriculteur Cédric Herrou, condamné à de la prison avec sursis pour avoir aidé des migrants dans les Alpes-Maritimes, a reçu la médaille de la ville de Grenoble. Le maire entendait ainsi dénoncé le délit de solidarité qu’il juge absurde et inadapté.
A une commémoration de la mort de Frantz Fanon, deux personnalités étrangères avaient été invitées par des anticolonialistes martiniquais. J’avais observé alors que l’évènement n’avait concerné qu’une chapelle et que des militants connus de l’anticolonialisme en avaient été écartés. Je m’étais interrogé sur ce que pouvaient penser les filles de CHE GUEVARRA et de MALCOM X (je crois) à leur retour dans leurs pays respectifs, d’un pays à décoloniser, champion de consommation, comme la Martinique.
Rédigée par Mireille Delmas-Marty, Patrick Chamoiseau et Michel Le Bris, la Déclaration de St-Malo appelle à mettre en place une gouvernance mondiale, dans la gestion des migrants.
Quand comprendrons-nous, nous Guyanais, que nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes ? Quand en tirerons-nous, surtout, de justes conclusions ?
L’élection présidentielle vénézuélienne se déroule ce dimanche 20 mai, où le président sortant, Nicolas Maduro, est le grand favori. Sans opposant, il devrait l’emporter facilement.
Dans les systèmes judiciaires des pays démocratiques l’avocat ne peut être interrompu lorsqu’il plaide, encore moins être interdit d’intervenir. Les exceptions à ce principe ne concernent que les pays totalitaires où les juges sont des instruments aux mains du pouvoir.
Martinique 1ère a décidé de retirer de ses programmes 3 émissions-radio : Tout lang sé lang de Daniel Boukman, Farin cho de Sully Cally, et La nature aux Antilles d’Alain Delatte. Le point commun entre ces émissions : elles ont un rapport à la langue et à la culture créole, elles sont animées par 3 figures importantes du monde culturel antillais.
Suite aux démarches que j’ai déjà engagées auprès du Ministère des Outre-mer, j’ai aujourd’hui rencontré Madame Laurence Tison Vuillaume, Directrice de cabinet de Madame Françoise Nyssen, Ministre de la Culture.
— Par le G.R.S. —
Ils ont fait une partie de leur service militaire le long de la bande de Gaza. Des années plus tard, deux jeunes Israéliens, conscients du défi auquel est confrontée l’armée face aux manifestants palestiniens, confient leur expérience au « Monde ».
L’esprit collectif martiniquais fonde sa compréhension de la vie politique sur le dualisme perpétuel de l’origine et de l’histoire, comme s’il s’agissait de les distinguer interminablement. D’un parti à l’autre, les analyses idéologiques cherchent l’avenir dans le passé. C’est là un art difficile, que d’avancer à reculons, quand il est déjà dans le peuple martiniquais, rédemption des souffrances vécues, et soif de lendemains meilleurs. Car pour lui, en politique partisane, tout naître est un mourir !
Les collectivités locales sont toutes, pour la plupart, confrontées au casse-tête de dépenses qui augmentent régulièrement face à des recettes qui stagnent, quand elles ne diminuent pas.
La réponse de Sartre
Mme La Présidente,
Il importe, me semble t’il, d’introduire la question passée sous silence de la délégation de service public pour voir clair – au delà des affrontements partisans (CTM/MIM contre CACEM/PPM) absurdes faisant fi des souffrances de la population – dans le récent (et long) conflit qui a affecté l’organisation du transport en commun de passagers sur la circonscription du centre de Martinique, la CACEM.
L’éditorial du 3 mai 2018 s’intitule « Commémorer l’abolition de l’esclavage en Martinique est-il encore utile ? » À propos de l’action des collectivités locales, dans le cadre de la commémoration des 170 ans de l’abolition de l’esclavage, nous sommes heureux de constater que l’éditorialiste salue l’action conjointe des maires du Prêcheur et de Saint-Pierre. Nous aussi, nous saluons cette initiative.
— Par Marie-Hélène Léotin —
Le cinéma français comme la télévision se font l’écho de préjugés et de stéréotypes… Ces deux médias tournent encore trop souvent en « blanc…et… noir »; dans une société française si riche pourtant de ses couleurs et de sa diversité.