Le chef de l’État va se rendre jeudi 13 septembre chez Josette Audin, la veuve de Maurice Audin, disparu en juin 1957 à Alger, après avoir été arrêté et torturé par des parachutistes du général Massu.(1)
Un « système légalement institué »
C’est l’occasion pour Emmanuel Macron de reconnaître une forme de responsabilité de l’État dans l’utilisation de la torture pendant la guerre d’Algérie à travers l’existence d’un « système légalement institué », révèle France Inter, jeudi.
Le président de la République va annoncer sa décision d’ouvrir toutes les archives nationales pour qu’enfin on sache ce qui est arrivé exactement au mari de Josette Audin, mathématicien, membre du Parti communiste et militant anticolonialiste, dont le corps n’a jamais été retrouvé.
Selon l’Élysée, « Emmanuel Macron a décidé qu’il était temps que la Nation accomplisse un travail de vérité » sur la disparition de Maurice Audin. Si sa mort est « en dernier ressort, le fait de quelques-uns », elle a été rendue possible par un « système légalement institué » appelé « arrestation-détention » qui « autorise les forces de l’ordre à arrêter, détenir et interroger tout ‘suspect' ».

L’affaiblissement progressif de la raison politique au sein du MIM, depuis près de cinquante ans, a entraîné aujourd’hui, 7 Septembre 2018, ce spectacle de nuit, où un président blafard, par désir de vengeance, s’est rué, avec ses troupes, sur d’anciens partisans, tout noirs, obscurs, et nocturnes, pour les assiéger de toutes parts à l’Espace DD, et donc les menacer du plus haut mal politique ! Mais hélas, blanche est encore sa face, où joue l’ombre de sa colère, contre ceux qu’aujourd’hui il appelle les « fractionnistes »- autrefois, pourtant, son peuple de servants, son peuple de suivants ! En effet, n’a-t-il pas naguère découvert la politique nue et sauvage, au milieu de ceux-ci, dans un processus de libération, où tous ensemble s’efforçaient de transformer la Martinique, en y faisant surgir un autre univers de rapports, plus apparenté à leurs rêves, à leurs colères, à leur angoisse, à leur mélancolie ?
On avait cru assister au dernier exploit d’Alfred Marie-Jeanne lorsqu’il s’était fait élire député dans la circonscription du Nord-Atlantique. Dans la foulée, il s’était fait remplacer par son ancien attaché parlementaire dans la circonscription du Sud qu’il avait quittée pour affronter son challenge. Mais, comme pour faire mentir le livre Alfred Marie-Jeanne la fin d’une époque, il a effectué le nouvel exploit de se faire élire pour 6 ans président de la Collectivité territoriale de Martinique. Cependant la fin de la saga Marie-Jeanne avait bel et bien commencé.
Depuis 2015, 1,6 million de Vénézuéliens ont fui leur pays et la crise pour gagner la Colombie. L’un des points de passage entre les deux pays est le pont international Simon Bolivar, non loin de la ville de Cùcuta.


Nous n’allons pas sous-estimer en l’oubliant, l’atmosphère Jupitérienne qui a clôturé, après l’avoir emportée, la victoire électorale du Jouvenceau, surtout ceux qui avaient prétention de douter de son « Programme ». Eliminons les politiciens qui collent à nos T.V. et qui chargent nos consciences de leurs inquiétudes. Aujourd’hui, « la cocotte explose ». Notre environnement se peint d’interrogations prenant des allures de Doute. Drapés dans un remue-ménage dénonciateur de Ruse, d’Hypocrisie, de Suffisance, nous ne pouvons que constater que le Président Jupiter a des trous à ses vêtements. Les arguties qu’il utilise à l’adresse des Peuples du Monde, comme des jouets à rire ne remplissent plus leur fonction. L’un d’eux, celui du Constat de la faillite, bien qu’œuvre de Tous- mais surtout pas de lui (sic !)- s’avère aujourd’hui obsolète, artificiel, démagogique, mensonger.
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Nous publions la lettre que vient de remettre au préfet (photo ci-dessus) le Collectif des étudiants étrangers de Mayotte exigeant l’application de l’Etat de droit.
Organisée par Jik An bout, en partenariat avec Radio Fréquence Atlantique (RFA) et l’association AM4.
Étienne Balibar Pour un droit international de l’hospitalité Le philosophe Etienne Balibar s’insurge contre les violences faites aux migrants, » que l’histoire jugera sans doute criminelles « . Au nom d’un » choix de civilisation « , il propose de reconnaître » l’hospitalité comme un droit fondamental » s’imposant aux Etats et s’appliquant à ceux qu’il appelle les » errants « 
Il ne faut pas que les Journées des Peuples Autochtones (JPA) soient réduites à de simples fêtes de villages », selon Jean-Philippe Chambrier.




Les fans étaient déchainés dans les centres commerciaux qui, certainement par amour des clients, avaient installé chaises et grand écran. Ce même amour qui avait conduit des chefs d’entreprises, tellement peu conciliants le reste du temps, à assurer que leurs salariés puissent suivre les matchs sur le lieu de travail.
Je n’ai pas le colonialisme français et les faiseurs de pwofitasyon au bout du fusil. De fusil je n’en ai pas.
C’est parce qu’il n’est pas question de toucher à l’actuelle répartition des richesses dans un sens défavorable aux nantis et aux plus puissants, que Macron et cie – après tous les gouvernements qui les ont précédés depuis une quarantaine d’années – poursuivent , sous couvert de sauver la Sécu, l’entreprise de démolition de cette institution fondamentale née en 1945 – et plus largement le système de protection sociale – ainsi que les autres acquis sociaux gagnés ultérieurement.