Un collectif de journalistes, de scientifiques et d’organisations signataires de la charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique plaide, dans une tribune au « Monde », pour que l’écologie reste un sujet central sur les chaînes et les antennes publics.
Nous, journalistes, scientifiques, organisations de la société civile et citoyens, sommes alarmés par la disparition annoncée, ou la modification importante, de plusieurs programmes phares sur l’écologie dans le service public : « Nowu » [France Télévisions et la Westdeutscher Rundfunk], « Vert de rage » [France 5], « La Terre au carré » [France Inter], « Planète Bleu » [France Bleu], « C’est bientôt demain » [France Inter]… Alors que le bouleversement climatique s’accentue et que l’eau potable vient à manquer, engendrant une foule de conséquences désastreuses pour le vivant et une aggravation des inégalités sociales, le rôle des médias, en particulier des médias de service public, est crucial. Il doit être défendu et renforcé.
En septembre 2022, les services audiovisuels publics avaient annoncé un « tournant environnemental » bienvenu : des plans de formation ont été lancés, un « journal de la météo et du climat » a été créé sur France 2 et France 3, et des émissions et chroniques ont vu le jour sur Radio France.

« Loin des représentations médiatiques d’une jeunesse qui ne s’exprimerait que par la violence ou qui brillerait par son désintérêt, un grand nombre d’entre nous se déplaceront aux urnes le 9 juin. » Parce que les politiques européennes impactent les vies quotidiennes et que cette échelle est essentielle pour lutter contre le réchauffement climatique, des organisations invitent à « faire entendre nos voix en faveur d’un avenir européen écologiste et solidaire. »
— Par Jean Samblé —
— Par Antoine
— Par Jean Samblé —
Port-au-Prince le 30 mai 2024
Depuis décembre 2000, la loi d’orientation pour l’Outremer ouvre la possibilité pour la Guadeloupe, en sa qualité de département d’outremer, de changer de statut en s’affranchissant du carcan institutionnel que représentait l’article 73 de la Constitution. La révision constitutionnelle du 28 mars 2003 relative à l’organisation décentralisée de la République précise les modalités juridiques d’une telle possibilité. Depuis, les Conseils départemental et régional ont enfilé les Congrès sur le thème de l’évolution institutionnelle, sans réellement parvenir à éveiller l’intérêt des Guadeloupéennes et des Guadeloupéens pour le sujet.
Rarement en Martinique des personnalités politiques de premier rang auront autant suscité la controverse qu’Alfred Marie-Jeanne et Serge Letchimy. C’est le premier rapprochement entre les deux premiers présidents du conseil exécutif de la collectivité territoriale de Martinique (CTM). Au cours d’une rencontre organisée dans le cadre d’élections législatives, l’adversaire du candidat Alfred Marie-Jeanne avait voulu embarrasser ce dernier en l’affublant, pour dénoncer ses méthodes autoritaires à la Région, du titre de « roi de Plateau Roy ». Il s’était produit l’effet inverse : rougissant d’aise, le Président avait répondu que cette référence suprême lui convenait parfaitement. Au cours de la récente interview accordée à Martinique-la-Première au Premier Martiniquais, on pouvait croire à une variante de cette anecdote. Sur le ton de la connivence, le nouveau président traduisit à son avantage l’embarras de la journaliste : “Si tu veux m’appeler président de Martinique, je ne vais pas me sentir insulté”. On ne peut mieux dire que Serge Letchimy et Alfred Marie-Jeanne se sont retrouvés au même niveau d’hubris.
En 2023, le nombre d’exécutions a atteint un niveau inédit depuis une décennie, selon le rapport annuel d’Amnesty International. L’organisation de défense des droits humains, basée à Londres, a recensé 1 153 exécutions, marquant une hausse de plus de 30 % par rapport à 2022, où 883 exécutions avaient été enregistrées. Cette augmentation est principalement attribuable à l’Iran, qui représente à lui seul 74 % des exécutions mondiales avec 853 mises à mort, soit près de 50 % de plus qu’en 2022.
— Communiqué de Johnny Hajjar —
— Par Sarha Fauré —
— — — Le n° 350 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
Nous sommes très nombreux à ne pas accepter le fatalisme que voudrait nous imposer la plupart de nos dirigeants.
— Par Yvon Sérénus, pour le collectif —
J’ai dit et je répète qu’au mois de Mai 1848, personne en Martinique ne connaît l’existence du décret du 27 avril 1848 signé par le Gouvernement Provisoire de la République française et pris à l’initiative de Victor Schoelcher. L’acte fondateur de la Liberté pour nos ancêtres est l’arrêté du gouverneur Rostoland du 23 Mai 1848, signé aux lendemains de l’insurrection du 22 Mai à Saint-Pierre. Ce jour-là, tous les esclavisés martiniquais se sont réveillés libres !
Un collectif de spécialistes de la Nouvelle-Calédonie estime que les tensions à Nouméa n’ont rien d’étonnant face au passage en force tenté par Emmanuel Macron et risquent d’anéantir vingt-cinq ans d’e
Il va sans dire que le MIM apporte son plein soutien au Peuple Kanak dans sa revendication juste et légitime.
— Communiqué du G.R.S. —
— Déclaration du CNCP
Le 14 mai 2017 la passation de pouvoir entre François Hollande et Emmanuel Macron a lieu au palais de L’Élysée. Elle est suivie de la cérémonie d’investiture du nouvel élu où il prononcera ces mots :« Je ne céderai rien sur les engagements pris vis à vis des Français »