Entrée en vigueur de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes le 3 septembre 1981.
La Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (en anglais Convention on the Elimination of All Forms of Discrimination Against Women, CEDAW) a été adoptée le 18 décembre 1979 par l’Assemblée générale des Nations unies. Elle est entrée en vigueur le 3 septembre 1981 après avoir été ratifiée par 20 pays.
Les États-Unis l’ont signée en 1980 mais ne l’ont toujours pas ratifiée. Les États qui n’avaient pas signé le traité lors de son entrée en vigueur y adhèrent aujourd’hui, sans le signer. Le dernier État en date à l’avoir fait est le Qatar, le 29 avril 2009. De nombreux pays l’ont signé en émettant toutefois des réserves, de nature à fortement en affaiblir la portée. Aujourd’hui, les seuls membres de l’ONU à n’avoir pas adhéré à la convention sont le Vatican, l’Iran, la Somalie, le Soudan et les îles Tonga.
La présidente du CEDAW est actuellement Dalia Leinartė.
Cette convention est adoptée dans la lignée de l’année internationale des femmes de 1975.

— Par Sabrina Solar —
— Par Camille Loty Malebranche —
Licence, master, doctorat… Les montants des droits d’inscription évoluent chaque année en fonction de l’indice national des prix à la consommation hors tabac. On vous indique le niveau de vos frais d’inscription pour l’année universitaire 2025-2026, selon le niveau du diplôme que vous préparez.
Durant l’année scolaire 2025-2026, il sera proposé aux élèves de 5e, au sein de tous les collèges publics et dans les établissements privés volontaires, de se faire vacciner contre les méningocoques ACWY, des bactéries qui peuvent être à l’origine d’infections graves. Cette vaccination s’ajoute ainsi à celle contre les infections à papillomavirus humains, déjà proposée aux élèves de 5e depuis 2 ans.
En principe,
— Par Jean Samblé —
La stratégie secrète du chaos financier de Emmanuel Macron pour redresser la France.
— Par Sarha Fauré —
Sortie nationale : 27 août 2025 (en salle dès le 26 août)
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— Par Sarha Fauré —
— RS n*409 lundi 25 août 2025 —
De la nécessité de rebattre les cartes de la pensée intellectuelle et du positionnement idéologique en Guadeloupe ?
Restauration de la sécurité et de l’autorité : La Guadeloupe et la Martinique condamnées au désenchantement et à l’impuissance face à la mutation sociétale ?
À l’été 1572, un mariage censé apaiser les tensions religieuses allait précipiter la France dans l’un des épisodes les plus sombres de son histoire. Catherine de Médicis, reine-mère, pense alors sceller la paix entre catholiques et protestants en mariant sa fille Marguerite de Valois à Henri de Navarre, chef du camp réformé. Mais cet espoir de réconciliation se heurte à des années de haine accumulée.
— Par Hélène Lemoine —

La liberté de religion et de conviction : un droit fondamental
Le verdict est tombé ce jeudi 21 août 2025 à la Cour d’appel de Fort-de-France. Rodrigue Petitot, figure centrale du Rpprac (Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens), a été condamné à douze mois de prison ferme, aménagés en détention à domicile sous bracelet électronique. Une décision que le militant qualifie d’« injustice totale », dénonçant une volonté politique de l’écarter de la scène publique.
Le compte à rebours de la mutation de la Guadeloupe et de la Martinique prise dans un champ de forces politiques et économiques contradictoires.
— Par Aurélie Boisnoir (*) & Olivier Gros (*) —
— Par Sabrina Solar —