— Par Sabrina Solar —
En 2023, la France a enregistré une réduction significative de ses émissions de gaz à effet de serre (GES), marquant une baisse de 5,8 % par rapport à l’année précédente, selon le Centre interprofessionnel technique d’études de la pollution atmosphérique (CITEPA). Cette performance fait suite à une diminution de 2,7 % en 2022 et représente la troisième année avec la baisse la plus marquée depuis le début des relevés. Ces résultats témoignent d’un progrès notable dans les efforts de la France pour lutter contre le changement climatique.
Les facteurs de la réduction des émissions
Le rapport du CITEPA souligne une contribution inédite de tous les grands secteurs émetteurs, incluant l’énergie, les transports, les bâtiments et l’agriculture, à cette baisse des émissions. Cette convergence de réductions sectorielles a été facilitée par plusieurs facteurs conjoncturels. Un hiver doux, le ralentissement économique dû à l’inflation, la réduction de certains vols internes et le redémarrage de réacteurs nucléaires ont tous joué un rôle dans la diminution des émissions de CO2.
Les objectifs et les défis restants
Malgré ces avancées, la France n’est pas encore sur une trajectoire assurée vers ses objectifs climatiques de long terme.

Parce que le monde a déjà traversé de semblables marécages, nous traverserons cette nouvelle épreuve, nous atteindrons une autre rive où, au moins pour un temps, le même monde se fera plus juste, plus vigilant, plus fraternel. Non qu’il s’agisse d’un cycle, obéissant à une vision mécanique comme celle qui réédite les inépuisables frayeurs millénaristes d’invasions barbares et de grands remplacements. Il s’agit de la combativité de celles et ceux qui ne renoncent jamais à façonner la vie, à se charger du monde, à inventer l’avenir.
Nous sommes très nombreux à ne pas accepter le fatalisme que voudrait nous imposer la plupart de nos dirigeants.
— Par Yvon Sérénus, pour le collectif —
J’ai dit et je répète qu’au mois de Mai 1848, personne en Martinique ne connaît l’existence du décret du 27 avril 1848 signé par le Gouvernement Provisoire de la République française et pris à l’initiative de Victor Schoelcher. L’acte fondateur de la Liberté pour nos ancêtres est l’arrêté du gouverneur Rostoland du 23 Mai 1848, signé aux lendemains de l’insurrection du 22 Mai à Saint-Pierre. Ce jour-là, tous les esclavisés martiniquais se sont réveillés libres !
—
En Nouvelle-Calédonie derrière la crise politique actuelle sous fond de décolonisation se cache le dessous des cartes non seulement d’une lutte géopolitique pour les gisements de nickel, mais aussi géostratégique avec des tentatives d’influence étrangère notamment du sud global avec un processus déjà visible de rapprochement des indépendantistes kanaks avec les BRICS. Alors que le monde devient de plus en plus interconnecté et est l’objet de transformations géopolitiques majeures et accélérées, il n’a jamais été aussi important de comprendre la dynamique de l’économie mondiale et de l’échiquier politique international. Les pays BRICS sont devenus des acteurs clés, qui défient l’influence et les politiques de l’Occident et façonnent le cours des événements mondiaux.Ce groupe d’Etats voit ses performances économiques, industrielles et technologiques dépasser progressivement celles des Etats occidentaux. La scène économique internationale d’ici 2040 devrait être à leur avantage.Les BRICS et leurs alliés réunissent à eux seuls la majeure partie des ressources en pétrole, gaz, métaux rares, céréales et eau.
Nous nous félicitons de (et nous y participons !) ce rassemblement unitaire qui se tient avec l’implication de la municipalité du Prêcheur dirigée par PÉYI-A, de PÉYI-A lui-même, et de son autre municipalité Ducos, du syndicat CSTM, d’une organisation citoyenne de Saint-Pierre, du GRS et de RÈSPÉ.
L’inquiétude quant au changement climatique grandit et fait malheureusement naître des projets aussi grandioses qu’alarmants. La
Le modèle dominant de l’agriculture conventionnelle, parfois également appelée industrielle ou intensive, est de plus en plus contesté. Ce système de production agricole, qui cherche à maximiser la production grâce au travail des machines et à des intrants divers (engrais et pesticides de synthèses, semences hybrides, carburant pour les machines, eau d’irrigation…), est décrié pour ses conséquences. Pour n’en citer que quelques-uns :
La Pentecôte (du grec ancien πεντηκοστὴ ἡμέρα / pentêkostề hêméra, « cinquantième jour ») est une fête chrétienne qui célèbre l’effusion du Saint-Esprit le cinquantième jour à partir de Pâques sur un groupe de disciples de Jésus de Nazareth, dont les Douze. Cet épisode est relaté dans les Actes des Apôtres.
Depuis quelques jours, la Nouvelle-Calédonie est secouée par une flambée de violence, laissant derrière elle un bilan tragique de six morts et des centaines de blessés. Cette spirale de chaos, marquée par des pillages et des affrontements, est alimentée par une réforme législative technique qui a ravivé les tensions au sein de la population. Le dégel du corps électoral, en apparence anodin, a exacerbé les divisions et surtout les fractures entre les autochtones kanaks pour la plupart indépendantistes et d’autres habitants de l’île appelés caldoches ou encore loyalistes farouches défenseurs du maintien de l’île au sein de la France. Il est patent que depuis plusieurs années, la Nouvelle-Calédonie traverse une crise sans précédent, mettant en lumière les limites de son modèle d’autonomie politique. Malgré des compétences très étendues dans des domaines clés tels que l’éducation, le secteur social, la fiscalité et le développement économique, le gouvernement local semble impuissant face aux défis économiques et sociaux qui plongent l’île dans la tourmente.La crise actuelle, exacerbée par les émeutes récentes et la dégradation de l’économie dû pour l’essentiel à la crise du nickel, remet en question le concept même d’autonomie politique.
Un collectif de spécialistes de la Nouvelle-Calédonie estime que les tensions à Nouméa n’ont rien d’étonnant face au passage en force tenté par Emmanuel Macron et risquent d’anéantir vingt-cinq ans d’e
Le climat politique dégradé de la nouvelle Calédonie est à notre avis désormais une impasse politique orchestrée magistralement par le pouvoir central. La situation en Nouvelle Calédonie s’intensifie dans une atmosphère délétère, évoluant vers un état d’insurrection que certains considèrent comme une impasse politique préméditée par le pouvoir central. En effet, nous serions bien selon toute vraisemblance en présence d’un scénario d’anticipation de l’explosion prévisible de la poudrière calédonienne. En langage de stratégie militaire, cela s’appelle allumer un contre feu.
Les administrations des cégeps ont adopté depuis quelques années diverses formes d’écriture dite inclusive, où se multiplie l’usage des doublets complets (les étudiants et les étudiantes), les doublets tronqués par des points médians (les étudiant·e·s), les formulations généralisantes (la clientèle étudiante), les tournures inusitées (les personnes étudiantes), sans compter, dans les cas extrêmes, certains néologismes (
Les coraux, ces écosystèmes marins fragiles, continuent de souffrir sous l’effet des températures océaniques record. L’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA) a récemment alerté sur l’intensification d’un épisode massif de blanchissement des coraux, touchant désormais 62 pays et territoires. Ce phénomène, qui a débuté mi-avril, ne cesse de s’étendre et devrait persister cet été, affectant de nouvelles zones, notamment les Caraïbes et la Grande Barrière de Corail en Australie.
— Par Sabrina Solar —
Une
Il va sans dire que le MIM apporte son plein soutien au Peuple Kanak dans sa revendication juste et légitime.
— Par Hélène Lemoine —
— Communiqué du G.R.S. —
— Déclaration du CNCP