Samedi 8 novembre 2014 à 9h30 À l’amphithéâtre Michel-Louis, campus de l’U.A. à Schoelcher (Entrée libre)
De la résilience individuelle à la résilience collective
Deux ans après la venue chez nous du professeur Boris CYRULNIK*, le groupe de travail et de réflexion « Résilience-Martinique » invite le public martiniquais à poursuivre cette importante réflexion sociétale, lors d’une conférence-débat avec :
Claire-Emmanuelle LAGUERRE, docteur en neurosciences et psychologue clinicienne,
sous la présidence du professeur émérite de psychiatrie Aimé CHARLES-NICOLAS
Claire-Emmanuelle LAGUERRE tentera de répondre à différentes questions
– Comment l’histoire s’inscrit-elle dans les destins individuels ?
– Sous l’angle d’une psychologie géopolitique clinique, il s’agira de tenter d’expliquer l’articulation entre histoire individuelle (subjective et propre à chaque individu) et histoire collective, l’une ayant des répercussions sur l’autre.
– Ces histoires font-elles trauma ? Le trauma peut-il être figé dans un complexe culturel transmis de génération en génération ?
– Dans cette perspective, la résilience (individuelle et/ou collective) est-elle envisageable ?
Cette conférence-débat se tiendra le
Samedi 8 novembre 2014 à 9h30
(Entrée libre)
À l’amphithéâtre Michel-Louis, campus de
l’U.A. à Schoelcher
ÉVÉNEMENTS TRAUMATIQUES À LA MARTINIQUE
Les vivre et les surmonter
Claire-Emmanuelle Laguerre
Transversalité
PSYCHANALYSE, PSYCHIATRIE, PSYCHOLOGIE MONDE CARAÏBES Martinique
Sous l’angle d’une psychologie géopolitique clinique, cet ouvrage questionne les répercussions des événements traumatiques actuels ou transmis rencontrés à la Martinique (traite négrière, névrose du colonisé, catastrophes naturelles).

Entre souffrance et engagement
Sanofi espère commercialiser au deuxième semestre 2015 le premier vaccin contre la dengue, maladie qui affecte 50 à 100 millions de personnes dans le monde.
Il y a 60 ans commençait la guerre d’Algérie. Une guerre contre la puissance coloniale française qui a duré près de huit ans, pour s’achever le 3 juillet 1962 avec l’indépendance du pays.
REPORTAGE – « Absorber l’horreur » de la mort pour rendre un corps serein et apaisé à la famille du défunt : c’est le quotidien de Léa, 38 ans, thanatopracteur en région parisienne. LeJDD.fr a passé une journée à ses côtés.
Depuis la thèse d’Etat d’Alain-Philippe BLERALD sur « L’histoire économique de la Guadeloupe et de la Martinique » (édit. Karthala, 1986), la critique de « l’économie de comptoir » et la réflexion sur les stratégies de développement en Martinique ont fait l’objet, de façon centrale ou connexe, de nombreux travaux, articles et colloques. Ils faisaient écho aux interrogations, dès les années 1960, des déçus de la Départementalisation, à celles aussi, à partir années 1990, des insatisfaits de la Décentralisation. Le débat sur ces deux sujets fortement corrélés est par conséquent loin d’être nouveau. Mais alors, qu’est-ce qui justifie que deux universitaires ès qualités, Kinvi LOGOSSAH et Hector ELISABETH, dans un texte intitulé « Plaidoyer pour une autre stratégie de développement à la Martinique » publié récemment sur le site Politique publique (09/10/2014) insinuent d’une manière aussi équivoque le contraire ? Troublante aussi cette quasi-simultanéité entre la sortie de ce texte et l’annonce deux jours après, lors de la rentrée politique du PPM, de ce thème comme un des trois axes politiques de ce parti.
Victor Hugo passe pour être l’auteur de l’observation selon laquelle « l’amour des Anglais pour la liberté se complique d’une certaine acceptation de la servitude d’autrui. » Si l’on réclame des preuves, c’est du côté de Domenico Losurdo qu’il faut se tourner, avec cette Contre-histoire du libéralisme qui paraît aux éditions La Découverte, traduction bienvenue d’un ouvrage italien, paru en 2006 aux éditions Laterza. Le philosophe d’Urbino, spécialiste de Hegel, nous y propose une enquête attentive sur les angles les moins flatteurs du libéralisme réel. Il insiste en particulier sur la permanence massive de pratiques attentatoires à toute liberté, dans les sociétés britanniques et américaines des XVIIIe et XIXe siècles.
L’atelier d’étude du créole martiniquais sous l’égide du Centre International de Recherches d’Echanges de Coopération Caraïbes Amériques (CIRECCA), poursuit ses activités avec cette année, une nouveauté quant à son organisation.
Appel à la régularisation immédiate des grévistes du 57, Bd de Strasbourg.
Une pétition en ligne vous permet de vous prononcer contre la loi qui sacrifie les droits de tous les prisonniers de Pennsylvanie pour faire taire Mumia Abu-Jamal
Le dernier livre de Jeremy Rifkin, la Troisième Révolution industrielle , est, ces jours-ci, très abondamment commenté dans la presse alors que son auteur multiplie les conférences grassement payées et les entrevues avec les puissants. Le succès foudroyant de cette expression «Troisième Révolution industrielle» n’est pas sans rappeler la formule, très à la mode dans les années 70, de «société postindustrielle». Mais quelle est exactement sa fonction ? Que recouvre-t-elle ? Et surtout, derrière son évidence apparente, que dissimule-t-elle ?
Qualité microbiologique, nitrates, pesticides, plomb… Vous avez des questions sur la qualité de l’eau du robinet ? Retrouvez en ligne les résultats du contrôle sanitaire de la qualité de l’eau potable de votre commune sur le site du ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes.
Mardi 21 octobre à 18h30, table ronde à la B.U.
Les travaux d’Alain Desrosières invitent à relativiser et à remettre en question
la dictature du chiffre qui a pris possession de l’espace médiatique.
C’est l’une des énigmes du monde moderne : comment l’explosion des inégalités salariales (l’échelle idéale pour Henry Ford était de 1 à 4 ; elle est aujourd’hui plutôt de 1 à 30) et de la rente (10 % des Français se partagent 62 % des revenus du capital) ne fédèrent-elle pas 99% de la population contre le 1% le plus fortuné?
Un incident récent opposant à l’Assemblée nationale un député à la « présidente de séance » a attiré l’attention du public sur la féminisation des noms de métiers, fonctions, grades ou titres. L’Académie française, fidèle à la mission que lui assignent ses statuts depuis 1635, tient à rappeler les règles qui s’imposent dans notre langue pour la formation et l’emploi de ces termes :
Oui à une autre stratégie ou un autre modèle de développement en Martinique. En tirant les leçons du passé et en allant de l’avant.
Petite leçon d’histoire pour comprendre les crises du présent
Au mois de juillet, le taux d’occupation du quartier maison d’arrêt du centre pénitentiaire s’élevait à 215%, indique l’Observatoire international des prisons (crédit : DR).
La Martinique terre d’accueil, le pays des revenants et des revenantes pour certains et pour certaines.