Tribune – Equipe de psychiatrie du CHU de Martinique | Nous souhaitons vous transmettre nos préoccupations, les plus vives, sur la continuité des soins aux urgences psychiatriques de la Martinique.
En décembre 2012, Monsieur le Directeur Général de Agence Régionale de Santé (DG ARS), a imposé au service de psychiatrie du Centre Hospitalier Universitaire de Martinique de prendre la responsabilité des urgences psychiatriques, jusque là assurée par l’Etablissement Public de Santé de Colson, rebaptisé récemment Centre Hospitalier Maurice Despinoy (CHMD). Le DG ARS a organisé d’autorité la répartition des gardes : 2/3 pour les praticiens du CHUM et 1/3 pour ceux du CHMD.
Le Service de Psychiatrie du CHUM, s’est organisé, malgré un délai extrêmement contraint (moins d’une semaine), pour assurer la mission qui lui était confiée et a mis en œuvre la continuité des soins psychiatriques d’urgence pour la population, dans les termes cités ci-dessus.
Le 12 janvier 2016, le DG ARS, décide de modifier les règles de la garde de psychiatrie. Il impose à l’équipe de Psychiatrie du CHUM de faire 3/4 des gardes au lieu des 2/3. Cette décision, a été prise en dehors de la concertation annoncée verbalement par le DG ARS.

NOU PEP LA, mouvement citoyen, humaniste, écologique et solidaire, de Martinique, lance une pétition citoyenne pour imposer aux décideurs du projet Albioma /Gouvernement Français / CTM ) / l’arrêt immédiat de l’usine GALION 2 représentant, après le scandale écologique et sanitaire du chlordécone qui a pollué terres, mer et rivières pour plusieurs siècles et empoisonné la population, entraînant un danger écologique et sanitaire dont les conséquences sont irréversibles ( cancers de la prostate, infertilité des hommes, dangers sur les nourrissons …). Il a fallu des années de combats des écologistes, des scientifiques ,de mouvements citoyens , de plaintes sans suite ,pour stopper son utilisation et faire admettre la toxicité de cette molécule
Dans un proche avenir ,une énorme déflagration économique et sociale nous menace , c’est celle du numérique conjuguée à la réduction de la dépense publique. Nous aurons encore beaucoup plus de temps libre pour nos loisirs, mais nettement moins de travail !!!
Ce samedi 27 février, l’association « Tous Créoles ! » avait donné rendez-vous à ses membres et sympathisants au quartier Presqu’île au François, afin de partager un moment rare : celui de pouvoir embarquer sur une yole ronde de compétition, en l’occurrence la yole de course « Chabin’an » !
Pendant que d’admirables optimistes nous répètent qu’un autre monde est possible, mais sans jamais en définir de crédibles contours, le pessimisme est de rigueur chez la plupart des observateurs et acteurs de notre vie ensemble.
L’État français, condamné pour cinq contrôles au faciès, a décidé de se pourvoir en cassation. Mediapart a pris connaissance du mémoire qui vient d’être transmis à la Cour, dans lequel il est jugé légitime de ne contrôler que les Noirs et les Arabes au motif qu’ils ont plus de chances d’être étrangers et donc sans papiers. Pour la première fois, l’État valide ainsi le principe même du contrôle au faciès, à l’encontre d’une jurisprudence nationale et internationale constante sur le sujet.
Lors d’un débat organisé au lycée Faustin FLERET de Morne-à-l’Eau, un lycéen de 16 ans, inscrit en 1ère, a prononcé quelques phrases que le professeur, sans lui permettre, semble-t-il, de développer sereinement son analyse, a considérées comme favorables au djihad (selon les témoignages, il aurait, en fait, rappelé que de tels débats n’avaient pas eu lieu lors d’interventions des forces françaises en Afrique causant de nombreuses victimes, et émis un avis nuancé sur le djihad). Suite à la communication qui lui en a été faite, le Parquet de Pointe-à-Pitre a diligenté une enquête : une perquisition à son domicile n’a abouti à la découverte d’aucun élément suspect, l’adolescent a été placé en garde à vue pendant 35 heures puis a été déféré à l’audience du mardi 23 février du Tribunal Correctionnel de Pointe-à-Pitre. Ses avocats ont soulevé une exception d’inconstitutionnalité. L’affaire a été renvoyée. L’opinion publique s’en est émue. Ses camarades du Lycée ont déclenché un mouvement de grève.
La prestation télévisée de M. Monplaisir, 1er Vice Président de l’Assemblée de la Collectivité de Martinique, le Dimanche 21 Février 2016 à Martinique 1ere, face à un journaliste faire valoir qui ne se cache pas ou qui ignore qui il est, a été stupéfiante et m’oblige à poser ces questions au Service Public qui se nomme Martinique 1ere et aussi à l’interviewé ! Oser annoncer, alors que son Président Marie-Jeanne prétendait aux lendemains des résultats électoraux pour la constitution de la nouvelle collectivité, qu’il était « le président de tous les Martiniquais ! », ce talentueux représentant de commerce, mais surtout de la finance gourmande :
Tortues marines, de la tradition à la protection …
Une fois de plus, l’unique réponse qu’envisagent les pouvoirs publics face à la situation dans le Calaisis, c’est l’évacuation d’un camp de réfugiés, et leur dispersion. On feint de s’attaquer aux causes réelles du problème ; mais en réalité, en s’en prenant aux victimes condamnées à se disperser dans la peur, cette politique ne fait que le déplacer et l’aggraver. Cette « solution » n’en est pas une.
Le temps des relations internationales strictement limitées aux États, à leurs diplomates et à leurs armées est aujourd’hui révolu. Les opinions publiques sont désormais de la partie, tout comme les comportements sociaux qui jadis restaient en lisière de la scène internationale, mais qui, maintenant, projettent l’individu, souvent inconnu et sans grade, dans l’ordinaire souvent dramatique des événements mondiaux.
l est des vérités désagréables à dire, mais il est des moments où il faut savoir les mettre en pleine lumière. Trop, c’est trop ! Les motifs d’insatisfaction sur les politiques menées depuis 2012 n’ont pas manqué, et nous-mêmes, comme d’autres, n’avons pas manqué d’alerter. Depuis quelques mois, ces désaccords se sont mués en une grande inquiétude. La colère populaire s’est confirmée sans appel par quatre défaites électorales successives. Ce n’est plus simplement l’échec du quinquennat qui se profile, mais un affaiblissement durable de la France qui se prépare, et bien évidemment de la gauche, s’il n’est pas mis un coup d’arrêt à la chute dans laquelle nous sommes entraînés.
Dans un rapport, Amnesty International épingle la gestion « honteuse » par l’Europe de la crise des migrants. La France est jugée « liberticide » dans sa réponse aux attentats.
Le Dr Didier Trystram était arrivé en Martinique en 1969.
Le patronat et la droite osaient à peine en rêver. Avec son début de réécriture du Code du travail, le gouvernement Hollande-Valls se propose de passer à l’acte : faire table rase de plus d’un siècle de droits des salariéEs, conquis souvent de haute lutte.
Depuis 20 ans, Madina Aidahis et Halima Issé mènent une lutte acharnée pour mettre fin à la pratique de l’excision et de l’infibulation en pays Afar éthiopien.
La ministre du travail propose une réforme qui transforme en profondeur le code du travail.
Lettre à mes débiteurs
Tolérance zéro contre le moustique ! Soyons tous responsables !
Le 16 février, des écologistes guadeloupéens s’étaient donnés rendez-vous à Pointe-à-Pitre, dans l’indifférence habituelle des autorités et des médias métropolitains, pour dénoncer à nouveau la catastrophe sanitaire du chlordécone et l’apathie totale de la justice sur ce dossier, qui, après dix ans de procédure, s’apprête à rendre un non lieu.
Dans la réponse de Michel Branchi (