Ce livre propose une méthodologie d’intervention précise et détaillée pour aborder et résoudre des situations de souffrance au travail, tant individuelles que collectives, selon l’approche interactionnelle et stratégique de l’école de Palo Alto.
Il propose un panorama des cas réels les plus fréquemment rencontrés dans les organisations de travail (burnout, harcèlement, dépression, etc.), éclairés sous le prisme des processus relationnels qui les animent et complétés d’outils concrets et structurés pour aider chaque acteur mobilisé à contribuer à mettre en oeuvre et/ou à trouver des solutions efficaces aux impasses psychologiques et relationnelles qu’ils rencontrent au travail.
Sommaire
C’est quoi déjà une entreprise ? La vision d’une organisation de travail et de ses enjeux – Pour en finir avec le harcèlement – De l’épuisement au burnout – Après le burnou t: le retour au travail – Le mal d’autorité – Gestion de conflits collectifs – Sortir d’un stress posttraumatique – Par ici, les incivilités ! – Une addiction ? quelle addiction ? – Quand rôdent les pensées suicidaires – Le diagnostic opératoire, les actions ciblées, la restitution
Préface
C’est un plaisir sincère et un honneur d’écrire la préface de ce livre que je considère comme une œuvre importante par la façon d’avoir su conjuguer une analyse structurante et innovante des problèmes humains et de leurs résolutions.




En France , les mouvements populistes progressent partout. En Guadeloupe et Martinique , cette progression est quasi identique et sera accompagnée dans un avenir proche de puissants mouvements de contestation sociétale. Il ne s’agira pas là de phénomènes conjoncturels comme en 2009 , mais de l’annonce de bouleversements profonds pour la société Antillaise . Populisme, émergence de mouvements dissidents radicaux en Guadeloupe et Martinique : le grand basculement vers une conflictualité qui vient !
Madame la rectrice,
en collaboration avec l’ AGECIF
Le chercheur Mahamadou Lamine Sagna à la BU Campus Schoelcher leMercredi 10 mai, de 16h45 à 18h30, dans le cadre de l’édition 2017 du festival Lire et dire pour le plaisir organisé par l’association Virgul’, la BU du campus de Schoelcher, partenaire de l’opération, recevra le chercheur Mahamadou Lamine Sagna pour une rencontre-débat autour de son dernier ouvrage : « Violences, Racisme et Religions en Amérique. Cornel West, une Pensée Rebelle« .
— Par Cynthia Fleury —
NOUS Y ÉTIONS – Une soixantaine d’organisations culturelles dont la Sacem, la CGT Spectacle et la CGT Culture, ont organisé mardi soir 2 mai à la Philharmonie de Paris, une mobilisation pour inciter les Français à «voter pour faire barrage au Front National».
Pour la deuxième fois de l’histoire de notre pays, l’extrême droite atteint le second tour de l’élection présidentielle. En exploitant les peurs et les craintes que les attentats récents ont exacerbées, le Front national est à présent aux portes du pouvoir en France.
Ne demeure en France aujourd’hui que les ombres de la mémoire et les flatulences de l’inconscience. Sinon, qu’y a-t-il d’autre ? Quelques voix qui s’élèvent lucides en conscience, mais dont les férules commencent à s’user à force de rappels.
La prochaine décennie, marquée par une mutation vers l’économie numérique, va bouleverser la structure de l’emploi en Outre-Mer . Alors que le chômage est au plus haut, comment la jeunesse peut espérer se préparer au mieux pour l’avenir ?
L’appel lancé le 25 avril à Genève par le secrétaire général de l’ONU pour trouver des fonds afin de venir en aide aux millions de personnes victimes de la famine en Afrique n’a guère trouvé d’écho cette semaine dans les médias français. Alors que des millions de tonnes de céréales dorment dans les silos, seuls 15% des fonds attendus par l’ONU depuis son appel de février dernier ont été collectés pour venir en aide à 30 millions d’Africains dont la vie est mise en danger par le manque de nourriture.
Que Marine Le Pen puisse disposer chez nous d’un nombre de voix aussi considérable relève du cauchemar. Cette aberration ne fait pas que nous interpeller : elle signale une carence majeure qui nous concerne tous : politiques, parents, enseignants, éducateurs, responsables de toutes sortes… ! 
Alors que le second tour de l’élection présidentielle française approche, rester muet nous semble impossible.
( Compte tenu du vote du premier tour des Présidentielles, s’agissant notamment du penchant de certains citoyens pour le racisme et la xénophobie, à l’instar de Marine Le Pen, il convient de se demander s’ils sont encore des captifs rêvant de liberté. Pour les libérer, et pour les purifier, il importe de leur rappeler à la fois leurs origines et leur vocation. )
L’initiative lancée par l’ancienne Première dame visait à instaurer de nouvelles habitudes alimentaires dans les cantines scolaires. Un objectif de repas sain et équilibré qui vient d’être remis en cause par l’actuel locataire de la maison blanche.
Le score réalisé, en Martinique, par Marine Le Pen (10,94 %) à l’occasion du premier tour de cette élection présidentielle, le 22 avril 2017, interpelle même si ses chiffres sont, en valeur absolue, plutôt faibles car l’abstention réellement forte (60,02 %) !
En 2018, la Cinquième république aura rattrapé en longévité la Troisième, 70 ans. Sans doute, a-t-il fallu apporter des ajustements à la constitution de 1958. A ce titre, la classe politique eut parfois la main lourde, notamment lors de l’instauration du quinquennat. Ainsi, depuis une trentaine d’années, à la veille de chaque élection présidentielle, des projets de changement de république sont annoncés. Et pourtant, née dans la crise de l’Algérie, la loi fondamentale a montré l’étendue de ses ressources à faire face aux crises politiques. Cette revendication récurrente sert souvent aux candidats à masquer leurs insuffisances. Mais jamais les contours d’une nouvelle constitution n’ont jamais été vraiment esquissés.
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.
Depuis quelques temps, le rôle de bouc émissaire de tous nos maux est de plus en plus attribué non plus à un groupe social, religieux ou national, mais à une étrange entité, qu’on appelle « le système » « .