Comment rendre visible une maladie longtemps ignorée et encore trop mal diagnostiquée ? C’est la question à laquelle tente de répondre Vivre avec l’endométriose, documentaire réalisé par Léa Ménard et produit par « Beau comme les Antilles », avec la participation de France Télévisions – Pôle Outre-mer. Le film, tourné au cœur des territoires ultramarins, sera projeté en avant-première dans plusieurs communes de Martinique début décembre, en présence de la réalisatrice et de Nataly Dabon, patiente experte et présidente de l’association Endo Form 972.
Un film qui commence par une écoute
La genèse du documentaire tient en une démarche simple : se défaire des discours extérieurs pour laisser la parole aux femmes concernées. Avant même d’allumer sa caméra, Léa Ménard a pris le temps d’appeler chacune des participantes. « Je voulais les rencontrer avant de les filmer, les entendre, créer un lien de confiance », explique-t-elle. Ce choix oriente profondément l’esthétique et la narration du film : pas de voix off, pas de commentaire, aucun effet de dramatisation. Juste des vies, leurs gestes, leurs silences et leurs mots.
Durant vingt jours et sur quatre territoires — Martinique, Guadeloupe, Guyane et La Réunion — la réalisatrice capte le quotidien de quatre femmes dont les parcours se répondent et se complètent.

— Par Jean Gabard —
— Par Florent Grabin, Président de l’Association écologique P.U.M.A. —
— Collectif (*) —
— Par Gary Klang —
Pédagogie
—
Les peines prononcées le 17 novembre 2025 dans l’affaire du
— Par Jean-Marie Nol —
— Les Contrechroniques d’Yves-Léopold Monthieux —
— Par Camille Loty Malebranche —
Apprenez à faire face aux risques majeurs : guide complet pour se préparer, protéger ses proches, constituer un kit et adopter les bons réflexes. 


Chaque fin d’année, l’association Clowns Doktè lance une belle campagne solidaire : « Solidarité pou ti Manman », un moment fort de mobilisation et de générosité sur tout le territoire martiniquais. L’objectif ? Sensibiliser au métier de clown hospitalier, rassembler des partenaires et des donateurs, et collecter les fonds nécessaires pour assurer les interventions clownesques dans les hôpitaux pédiatriques de l’île.
Le stage de seconde, effectué pendant 2 semaines consécutives, doit permettre aux élèves :
Un tatouage se traduit par une substance ou une préparation colorante destinée, par effraction cutanée, à créer une marque sur les parties superficielles du corps humain. Cette pratique est réglementée pour éviter les risques sur la santé. Il est conseillé d’en discuter avant avec le professionnel et votre médecin traitant. Si vous êtes mineur, l’accord du parent ou tuteur est nécessaire. Le tatoueur doit être formé, déclarer son activité à l’ARS et informer son client des risques. Vous pouvez signaler tout effet indésirable grave ou non.
Cyberharcèlement, violences physiques et sexuelles, prostitution, chantage, racket, trafic de drogues… Pour faire face à ces situations auxquelles les jeunes peuvent être exposés aujourd’hui, le site de la police et de la gendarmerie nationale « Ma Sécurité » vient d’ouvrir un espace spécifique d’échanges pour les moins de 18 ans : 
Que coûtent vraiment les Antilles à la France et l’Europe ?
— Par Jean-Marie Nol —