— Par Michel Duru (*) —
Depuis quelques années, les excès de consommation de viande sont montrés du doigt du fait de leurs impacts sur la santé et l’environnement. Dans une moindre mesure, c’est aussi le cas des produits laitiers comme les fromages. Pour faire face à ces enjeux environnementaux et sanitaires, mais aussi pour accroître notre souveraineté alimentaire, que nous disent les études scientifiques ? Comment peuvent-elles nous aider à réorganiser l’élevage pour le rendre plus durable, du champ jusqu’à l’assiette ?
Commençons par un état des lieux, en France, notre apport en protéines provient pour deux tiers des produits animaux et pour un tiers des produits végétaux. Il est en moyenne excédentaire d’au moins 20 % par rapport aux recommandations. Les bovins fournissent enfin la moitié de notre consommation de protéines animales sous forme de viandes et de laitages, le reste provenant surtout des porcs et volailles et très secondairement des brebis et chèvres.
Réduire notre consommation pour la planète et notre santé
Les recherches convergent vers une réduction nécessaire de moitié en moyenne de la consommation de viande, principalement du fait de l’augmentation de risques de cancers.

L’artiste Blow mis en examen pour un tableau – Les ‘ gendarmes impliqués dans la mort de Jean-Pierre et Rony Cely toujours pas inquiétés
Malgré des interdictions parfois en vigueur depuis plus de vingt ans au sein de l’Union européenne, certains insecticides et herbicides continuent de circuler illégalement en France, avec des conséquences sanitaires préoccupantes, en particulier dans les territoires d’Outre-mer. C’est ce que révèle une analyse récente de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), qui a recensé 599 cas d’intoxications ou d’expositions à des produits phytopharmaceutiques prohibés entre 2017 et 2022.
Quand vient l’heure de commémorer la rafle du Vel’d’Hiv’, les juifs ne dansent pas.
De la nécessité d’un grand musée de l’histoire de la Guadeloupe pour la transmission de la mémoire et la thérapie des traumatismes passés et actuels .
Il faut en finir avec la mystification de la prétendue lutte contre la vie chère initiée et entretenue par des individus venus de nulle part au parcours pas très net ; cheval de Troie d’un petit groupe improbable de parlementaires de la République dont les liens de certains avec un pays en guerre ouverte avec la France sont avérés – une cyberguerre sans merci avec des opérations de désinformation, de manipulation, de provocation et de sabotages du pays dont ces élus sont des représentants.
Synopsis :
Renaud Jouye de Grandmaison s’est éteint le 1er mai 2025 à l’âge de 88 ans. Son décès marque la disparition d’une figure emblématique de la vie politique, sociale et culturelle de la Martinique. Fidèle compagnon d’Aimé Césaire et de Pierre Aliker, il fut l’un des piliers du Parti progressiste martiniquais (PPM), mais aussi un artisan discret et rigoureux du développement de Fort-de-France.
À propos :
—
— Par Jean-Marie Nol —
Pour celles et ceux qui s’intéressent et s’impliquent dans les enjeux écologiques, un consensus semble émerger : la situation est critique. L’évolution vers un équilibre durable, vers un changement de paradigme en accord avec les défis écologiques paraît aujourd’hui de plus en plus difficile à atteindre. Face à ce constat, il est impératif de réfléchir, de faire entendre des voix nouvelles, d’ouvrir d’autres directions. L’inaction serait une irresponsabilité.
— Collectif —
—
Aboubakar Cissé, un homme musulman, a été tragiquement poignardé à mort dans une mosquée du Gard le vendredi 25 avril 2025, simplement en raison de sa foi. Son assassin a déclaré : « Je l’ai fait, (…) ton Allah de merde » ! Ce meurtre choquant illustre la banalisation alarmante de la violence raciste en France. Mais posons-nous la question : d’où provient cette montée de haine ? La violence meurtrière dirigée contre ce musulman et les musulmans en général trouve ses racines dans une rhétorique alimentée par les gouvernements successifs. Elle résulte de politiques, dit-on laïques, mises en œuvre sous forme de mesures répressives contre une islamisation supposée de la France.
—
— Par Jean-Marie Nol —
Ainsi donc, après plusieurs reports, l’affaire dite du Green Parrot qui met en cause l’ancien président de la Région Martinique semble s’acheminer vers une décision définitive. Qu’on laisse tranquille Alfred Marie-Jeanne, c’est le souhait de la plupart des Martiniquais qui sont généralement convaincus que l’ancien président de l’ex-Région n’a jamais cherché à s’enrichir dans ses fonctions, en particulier à l’occasion de cette affaire où il a pu se laisser abuser. Que ses partisans fassent pression pour qu’il ne soit pas condamné, c’est de bonne guerre. Mais de là à parler de justice politique … Ce n’est pas d’aujourd’hui que date le choix des défenseurs des personnes poursuivies dans cette affaire, de jouer l’opinion publique. Cette méthode n’est pas étrangère aux reports successifs. C’est d’ailleurs pour échapper à cette pression que le dépaysement de l’affaire en métropole a été décidé par la Cour de cassation.
Le procès d’Alfred Marie-Jeanne, ancien président de la Région Martinique et figure du mouvement indépendantiste martiniquais, s’ouvre ce lundi 28 avril 2025 au tribunal judiciaire de Paris. Il est accusé de « prise illégale d’intérêt », de « faux » et d' »usage de faux » dans le cadre de l’attribution d’un marché public destiné à la reconstruction d’une école à la Dominique, après un séisme survenu en 2004. Aux côtés de Marie-Jeanne, sa fille, Maguy, et son compagnon de l’époque, Mark Frampton, sont également jugés. Cette affaire remonte à plus de vingt ans, mais elle a traversé plusieurs étapes judiciaires avant d’aboutir à ce procès tant attendu.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Selim Lander —
Les débats sur l’énergie en France voient monter en puissance, depuis quelques mois, la notion de
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
À propos