Celui ou celle qui remportera l’élection présidentielle devra prendre des décisions importantes pour limiter le réchauffement climatique. En collaboration avec l’association Les Shifters, franceinfo vous propose une analyse détaillée des mesures proposées par les prétendants à l’Elysée.
Cet article fait partie d’une opération spéciale, en collaboration avec Les Shifters, une association de bénévoles qui accompagne le groupe de réflexion The Shift Project, spécialiste de la transition énergétique.
Face au réchauffement climatique, la prochaine ou le prochain président de la République devra prendre des décisions importantes. Son mandat prendra fin en 2027, trois ans avant 2030, date à laquelle la France devra avoir réduit ses émissions de gaz à effet de serre de 40% pour respecter l’accord de Paris sur le climat.
Pour ce faire, il ou elle trouvera sur son bureau la Stratégie nationale bas carbone (SNBC), un document officiel qui décrit, secteur par secteur – transports, bâtiments, agriculture, industrie, etc. – les efforts importants à réaliser. Une feuille de route que les gouvernements successifs peinent à respecter depuis sa mise en place en 2015.
Les programmes des candidats sont-ils compatibles avec ces objectifs ?

— Par Florence Santrot —
Savez-vous allumer un feu à mains nues ? Bricoler pour flotter ?
Synthèse
Générations futures base son rapport sur les données fournies par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).
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Alors que l’adaptation aux changements climatiques reste le parent pauvre de la lutte contre le réchauffement planétaire, un nouveau rapport du GIEC souligne l’urgence d’agir pendant cette décennie “pour faire face à des risques croissants”. Plus le réchauffement gagnera du terrain, plus l’adaptation deviendra difficile, estime-t-il.
Depuis 1993, la journée mondiale de l’Eau a lieu le 23 mars de chaque année. ’est une célébration des Nations Unies qui met l’accent sur l’importance de l’Eau douce.
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Méthodologie du décryptage des programmes des candidats à 
La Caisse nationale d’assurance maladie met en garde ses assurés à la suite de données personnelles administratives dérobées auprès de 500 000 personnes. Retrouvez sur Service-Public.fr les conseils de sécurité à appliquer pour se protéger.
— Communiqué de presse de l’ARS & du CHUM —
Renaissance Martinique est évidemment horrifiée des conséquences que peut avoir 
Le PSUGO (Programme de scolarisation universelle gratuite et obligatoire) a été lancé en 2011 par le cartel politico-mafieux du PHTK alors dirigé par Michel Martelly. Il est avéré qu’il a été, à l’échelle nationale, une vaste opération de gabegie administrative, de corruption et de détournement de fonds publics au bénéfice des ayants droits et des supplétifs du PHTK néo-duvaliériste. En novembre 2021, le ministre de facto de l’Éducation nationale, Nesmy Manigat, pourtant bien imbu des constantes critiques publiques formulées par les associations d’enseignants et en dehors de tout audit attesté, a reconduit le PSUGO en lien avec la réactivation de ses « 12 mesures » administratives destinées à « moderniser » la gouvernance du système éducatif national.
— Par le Dr Ruddy Valentino, CHU Martinique —
Dans le cadre du mois de lutte pour les droits des femmes, organisé autour du 8 mars, le Collectif 8 mars organise une action militante et artistique dans la ville du Diamant, le samedi 26 mars de 9h à 13h.
Dans le cadre d’un partenariat avec Culture Égalité, la ville de Fort-de-France invite sa population à découvrir les rues, places et bâtiments qui portent des noms de femmes, le vendredi 25 mars à 17h30.
Kanmarad Lafimé sété on moun Twarivyè. I té ka rété a Schoelcher. Lanné la sa téka ba’y 95 lanné. Sété on gran spòwtif, sa I té enmé sété bisiklèt.
L’argument de la « tradition » a nourri en Martinique pendant près de deux ans une guéguerre d’arrière garde contre les gestes barrières, la vaccination anti covid, l’obligation vaccinale et le passe sanitaire. A l’agression du corps, de « l’Être martiniquais » diraient certains (1), le colonialisme ajoutait, selon les protestataires, une menace sur une des « tradition » fondatrices, affirmaient-ils, de notre identité : le carnaval.
Après une semaine de procès éprouvante pour les victimes, leur famille, le verdict est tombé : 14 ans de prison pour ce grand-père indigne qui a été reconnu coupable des faits que ces fillettes, devenues femmes, n’ont eu de cesse de dénoncer.
Lorsque le mot
— Par Joël Des Rosiers, psychiatre et psychanalyste —