— Par Jean-Marie Nol —
Alors que le département de Mayotte a été littéralement dévasté par le passage du cyclone Chido, il devient urgent pour la Guadeloupe de s’interroger sur les conséquences économiques et financières du changement climatique.La Guadeloupe, bien que souvent perçue comme un paradis tropical, se trouve aujourd’hui au cœur des enjeux économiques et environnementaux liés au changement climatique. Ce territoire insulaire des Caraïbes, riche d’une biodiversité exceptionnelle et d’une économie fortement dépendante des ressources financières de l’État , mais aussi de ses propres ressources naturelles, est confronté à des transformations profondes qui bouleverseront ses équilibres. Le réchauffement global, amplifié par l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre, menace directement les principaux secteurs d’activité de l’archipel et soulève des questions majeures sur sa résilience face à ces bouleversements.

— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Alors que la France traverse une crise institutionnelle et budgétaire sans précédent, la Guadeloupe et la Martinique se retrouvent à un carrefour complexe, pris entre les contraintes d’un déficit public abyssal et les perspectives d’une chute du niveau de vie de la classe moyenne . La chute du gouvernement Barnier a exacerbé une situation déjà critique, où le poids des responsabilités financières et les choix politiques nationaux semblent converger pour exiger des sacrifices inévitables de l’archipel.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Le ministre des Outre-mer, François-Noël Buffet, est actuellement en Martinique pour une visite de quatre jours, coïncidant avec un regain de tensions sur l’île après l’arrestation du leader du mouvement citoyen RPPRAC. Ce déplacement, loin d’apaiser les tensions, suscite au contraire des questionnements sur son efficacité et sa portée réelle, alors qu’un accord sur une baisse des prix a été acté pour début 2025. Pour de nombreux Martiniquais, les mesures promises par le gouvernement peinent à répondre aux attentes et à soulager une population confrontée depuis des années au fléau de la vie chère. »Crise de la vie chère », tel est le terme souvent utilisé pour qualifier les turbulences qui ont marqué la Martinique ces deux dernières mois. Pourtant, l’emploi du terme de « crise du pouvoir d’achat » est plus judicieux dans la mesure où vraisemblablement il n’y aura pas de point final à la vie chère dans un temps court du fait de l’absence de restructuration du modèle économique actuel . En effet, l’on dit souvent qu’il n’y a pas assez de richesses créées en Martinique pour faire face à la crise sociétale en raison de plusieurs facteurs économiques, historiques et structurels.
Quel sera l’impact sur l’administration politique des territoires d’outre-mer de la nouvelle stratégie géopolitique française en Afrique ?
Pourquoi la gestion de crise de la vie chère n’a pas été à la hauteur des enjeux politiques de la problématique de la vie chère ?
— Par Jean- Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Par Jean-Marie Nol, économiste —