Jusqu’au samedi. 26 avril à 21h30
Hôtel de la CTM et Tropiques-Atrium
À propos
Pawol Fanmest une manifestation qui célèbre des femmes inspirantes et engagées du cinéma et de la télévision, en mettant en valeur leurs créations et en popularisant leurs messages. Cet événement vise à sensibiliser, inspirer et éveiller les consciences, tout en offrant plus de visibilité aux femmes. Il se veut le vecteur d’une révolution intérieure.
La marraine de cette édition, France ZOBDA, sera présente la soirée du 25 avril. Venez l’écouter, échanger avec elle et découvrir son extraordinaire parcours.
Samedi 26 avril – Tropiques-Atrium –
2 séances de projections à Tropiques Atrium de films réalisés par des femmes portant un message fort. Ces projections seront aussi suivies de courts moments d’échanges avec les réalisatrices présentes.
PROMOTION
2 tickets de cinéma pour 20€ avec le code : PROMO10
A 14h – Séance n°1 Courts Ô Féminin
6 courts métrages réalisés ou co-réalisés par des femmes martiniquaises en présence de : Florence COMBALUZIER, Nadia CHARLERY, Dr Aurélie MERLIN et d’un représentant de l’association KAP Caraïbe
PROJET H – MAHARAKI
DORLIS – Enricka MH MOUTOU
CONTE POUR ELLE – Florence COMBALUZIER
ZANMI – Nadia CHARLERY
16 SOUPAPES – Nadia CHARLERY
ABYSSE – Peggy EBRING & Junsunn LO
A 17h30 –La Fête des Pères
Synopsis :
Après le succès de son premier long-métrage « Le Mythe de la Femme Noire », Ayana O’Shun nous présente « La Fête des Pères ».

La Martinique des années 60
La comédie musicale Madagascar sera présentée en Martinique le 23 avril, en Guadeloupe le 30 avril, et en Guyane le 3 mai 2025. Ce spectacle s’inspire directement du film d’animation produit par DreamWorks en 2005, et permet de retrouver les personnages emblématiques de l’histoire : Alex le lion, Marty le zèbre, Melman la girafe, et Gloria l’hippopotame. L’intrigue suit ces animaux qui s’échappent d’un zoo à New York et se retrouvent sur l’île de Madagascar, où ils rencontrent de nouvelles aventures et personnages.
Par Line Langebek Knudsen, Magnus von Horn
Par Albert Serra | 26 mars 2025 en salle | 2h 05min | Documentaire |
Le chanteur jamaïcain Max Romeo, de son vrai nom Maxwell Livingston Smith, est décédé le vendredi 11 avril 2025, à l’âge de 80 ans, dans un hôpital privé de Saint Andrew, en Jamaïque, des suites de complications cardiaques. Il avait été hospitalisé quelques jours auparavant pour des difficultés respiratoires.
Sami Ameziane, plus connu sous le nom de scène Le Comte de Bouderbala, présentera son spectacle Le Comte de Bouderbala 3 le mardi 15 avril au Grand Carbet du Parc Aimé Césaire à Fort-de-France. Derrière ce pseudonyme volontairement décalé – un faux titre de noblesse emprunté avec ironie – se cache un artiste au parcours atypique, passé du monde du sport à celui de la scène.
Rembobina met à l’honneur Aretha Franklin, l’une des grandes voix afro-américaines de la 2ème moitié du XXème siècle, icône du combat pour les droits civiques et icône féministe, choisie par Barack Obama pour chanter à son investiture.
Résumé :

— Par Sabrina Solar —
Jean-Claude Montredon est né le 23 septembre 1949 à Fort-de-France, en Martinique. Il grandit rue de la Batterie, dans un environnement familial où la musique occupe une place centrale. Sa mère, Clotilde, l’encourage dans cette voie, lui offrant notamment un poste à galène qu’il assemble lui-même. C’est grâce à cet appareil qu’il capte les ondes de Voice of America et découvre le jazz — une révélation qui influencera durablement son orientation musicale.
— Par Sarha Fauré —
Avec Dorcy Rugamba & Majnum
Dans le sillage de deux artistes noirs, le danseur étoile Guillaume Diop et la contrebassiste Sulivan Loiseau, une saison dans un Opéra de Paris qui s’ouvre timidement à la diversité. Un film intimiste, qui laisse place à la danse et aux questionnements.
— Par Jean-Durosier Desrivières —
— Par M’A —
Par Mike Leigh


Avec Vincent Cassel, Reda Kateb, Hélène Vincent | 23 octobre 2019 en salle | 1h 55min | Comédie
« Ce qu’il faut dire » est une œuvre de Léonora Miano, mise en scène par Catherine Vrignaud Cohen, qui interroge les rapports entre l’Occident et l’Afrique à travers une écriture percutante et sans compromis. La pièce se compose de trois tableaux, chacun explorant des facettes différentes des relations humaines, de l’histoire coloniale et de la quête identitaire. Loin des discours lissés et des prétentions à l’objectivité, le texte se caractérise par sa brutalité et sa poésie, deux registres qui se mêlent pour provoquer une réflexion intime et collective sur les injustices et les héritages du colonialisme.