
D’après le Carnet de Voyage d’Alain-Gilles Bastide
Adaptation Lecture-théâtrale
L’histoire de Tchernobyl Forever – Carnet de voyage en enfer depuis l’explosion du réacteur le 26 avril 1986 jusqu’à nos jours, comme elle n’avait jamais été racontée.
Ici, nous sommes dans les faits, les témoignages, nous sommes dans un quotidien simple, humble, dans l’Humain au sens de l’individu comme de l’Humanité. Tout ce qui est raconté dans ce livre est vrai. Vérités cachées, dis- simulées quand elles ne sont pas interdites, ou vérités que l’on ne veut pas voir.
Aujourd’hui, alors que 30 ans se sont écoulés depuis le désastre, un auteur/photo-journaliste nous raconte Tchernobyl comme nous ne l’avions jamais imaginé. Et ce n’est pas une fiction. C’est Tchernobyl, et c’est bien Forever.
Création Tropiques Atrium Scène Nationale
Avec : Vladimir Barbera, Aurore James & Elsa Ritter
Mise en scène : Stéphanie Loïk
Production : Théâtre du Labrador
Coproduction : Tropiques Atrium Scène nationale, Théâtre du Labrador
© crédit photo : A.G Bastide – Prypiat _ Ukraine
Suite à la collaboration avec Alain-Gilles Bastide, auteur de Tchernobyl forever, j’ai été très sensible à la cause défendue et aux témoignages que ce livre offre au Monde.

Rencontres pour le lendemain, Carte blanche à Jocelyne Béroard
Il me revient que mon article :
Texte de Rémi de Vos,
DIEUMERCI film français de Lucien Jean-Baptiste
Ce mardi 8 mars 2016, jour dédié aux Femmes, c’est dans la Salle du Conseil que Didier Laguerre, maire de Fort-de-France nous recevait, femmes et hommes au coude à coude, pour une soirée littéraire inédite. Quel plus beau lieu aurait-il pu nous ouvrir, autre que cette salle toute chargée de symboles et riche d’un supplément d’âme ? Sous quelle égide tutélaire autre que celle d’Aimé Césaire aurait-il pu placer cette rencontre originale et chaleureuse ? En prélude à la soirée, il trouva les mots justes, rappelant que ce jour n’était pas un jour de fête mais bien un point de départ, point de convergence des combats passés et des combats à venir pour la conquête des droits des Femmes. La ville de Fort-de-France ne sera d’ailleurs pas en reste, qui a signé le matin même la Charte Européenne des Droits des Femmes, s’inscrivant ainsi dans une dynamique qui vise à l’égalité entre tous. Le plan par lequel la ville s’engage, pour la période 2016/2020, ne porte-t-il pas le joli titre créole de Fanm Kon Nonm, Tout Moun sé Moun ?
Deux pièces de théâtres qui s’inscrivent dans la logique du théâtre martiniquais et qui en démontrent, chacune à leur façon les limites.
L’ancien rappeur de NTM sort d’un long silence discographique, avec le convaincant Sur le fil du rasoir. Son verbe, éminemment politique, cultive aussi la tendresse et la mélancolie.
Il était une fois…
« Tribunal des femmes bafouées » de Tony Delsham – représentation du vendredi 11 mars 2016 au Théâtre de la ville de Fort-de-France; La Martinique. Compagnie Téatlari – Théâtre des cultures créoles.
— Par Guy Gabriel —
7 femmes, 7 voix, 7 respirations se mêlent et s’entremêlent pour nous dire, nous conter, nous danser, nous jouer ce récit où une poignée d’infortunées s’apprêtent à prendre le large dans une embarcation de fortune. Il est 4H du matin, dans une aube grisâtre et des clapotis d’eau parsemée de petits cris et de chuchotements, des femmes, des hommes et des enfants, la peur au ventre, sont embarqués vers le même destin. Direction Miami, espoir ultime de ceux qui fuient leur patrie Haïti. Un étudiant à bord du boat-people entretient tout au long de ce périple, une correspondance imaginaire avec sa fiancée restée à Port-Au-Prince : « … La mer à cet endroit ressemble aux requins qui y vivent et elle est impitoyable. Elle est impitoyable. »
de Tony Delsham, adapté et mis en scène pour la Comédie Créole par José Alpha assisté de Yva Gaubron et Peggy Fargues
DISPARITION – Surnommé le «pape» du renouveau baroque, le chef est décédé samedi 5 mars à l’âge de 86 ans. Fin décembre, il avait annoncé qu’il mettait fin à sa carrière pour des raisons de santé.
L’amour, la mort, la disparition, la guerre des sexes et toutes les rêveries plus ou moins cauchemardesques afférentes à ces thèmes traversent l’œuvre de Pirandello et Jean-Claude Berutti nous en livre avec brio un aperçu laissant le spectateur dans une tension irrésolue, entre portrait théâtral de Luigi Pirandello et questionnement philosophique autour de l’identité, l’aliénation, le fantastique, le vrai, le faux, le théâtre dans le théâtre. Le portrait de l’écrivain sicilien est brossé à l’aide de quelques unes des figures les plus connues des œuvres pirandelliennes, issues de « Ce soir on improvise », « L’homme à la fleur à la bouche », « Je rêve, mais peut-être pas », « Colloque avec des personnages ».
Nouvelle session de formation dans le secteur culturel avec la participation d’artistes caribéens et européens
Il est important que les choses se sachent, afin qu’elles ne se reproduisent pas.
> Gratuit et ouvert à tous
