— Source : Le Grand Saint-Pierre —
L’art et la mémoire dans la ville d’art et d’histoire
Résidence de création partagée
Le Mardi 21 octobre, a eu lieu l’inauguration de l’exposition de photographies sur les murs de la ville de st-Pierre réalisée par l’artiste vénézuelienne Anabell GUERRERO, dans le cadre du Grand Saint-Pierre, avec la collaboration de l’Association des Amis du Parc Naturel Régional de la Martinique et de la DAC Martinique.
Cet hommage aux anonymes et aux grandes figures féminines de la ville a été mis en œuvre dans le cadre d’une résidence de création partagée avec les pierrotins.
Un atelier autour de la photo sur l’album de famille a été mis en place avec la participation d’une vingtaine de pierrotins. Il s’agisait dans ce module d’explorer le lien entre les histoires individuelles, voire intime, et l’histoire collective de la communauté résidente de St-Pierre.
La deuxième partie concernait l’imaginaire des participants autour de la ville de St-Pierre à travers des éléments spécifiques : la présence du volcan, des ruines, l’architecture, la reconstruction, le présent et l’avenir.
L’artiste Anabell GUERRERO a voulu rendre hommage aux pierrotines à travers des Femmes totems.

L’ensemble du public martiniquais est cordialement invité par l’association « Tous Créoles ! » à participer le dimanche 26 octobre 2014 à PAWOL KRÉOL, une manifestation annuelle pour célébrer ensemble la « Journée internationale du créole ».
METAMORPHOSES…
La mairie de Paris met à l’honneur l’enfant terrible de l’art contemporain à l’occasion de la 13e édition de la Nuit blanche, qui se tient ce samedi soir.
— Dossier de presse —
Le design va de l’objet fonctionnel à l’objet baroque, en passant par tous les états du flexible, du modulable et du turgescent. Du joli grille pain à l’utopie absolue savoir mettre de la folie dans la matière. Seules comptent la démarche, les traces de la pensée, l’influence cachée du novateur. Yannick Vérrès a en lui du rêve, du temps de la patience, et comme en musique il invente sa propre grammaire. Les épousailles de l’art et de la technique où formes et symboles font écho à l’industrie et la nature, harmonisent des critères esthétiques et fonctionnels. Son travail enchante par sa candeur et sa légèreté. Peut-être parce qu’il est conçu de façon instinctive, directement du dessin à l’objet. Deux en un, objet utile et beau, voilà ce que propose Yannick Verrès⋅ Pour cette exposition, il compose une série de meubles, tables, tabourets, tables basses, bancs qui explore la relation entre le bois et le métal. Bien plus que du mobilier, ces modèles sont en fait des sculptures fonctionnelles, pièces uniques épurées, réalisées dans une recherche de style⋅
Il est des artistes qui pratiquent l’élan total, la créativité lyrique et qui transmettent leur témoignage pictural comme une décharge. C’est le cas d’Alex Vilna.
Tout le monde connaît ses « nanas » aux formes opulentes et aux vêtements multicolores, mais une rétrospective au Grand Palais donne à voir un autre versant de Niki de Saint Phalle : féministe, torturé, engagé, sans concession.
Exposition individuelle
14°N 61°W espace d’art contemporain , rue du Mérite Artisanal -Z.A Dillon 97200 Fort de France Martinique FWI
« Ce que l’on peint est inexplicable. Tout est une question de climat, d’atùmosphère, de lumière, de mystère aussi. » C’est ce que Paul Delvaux, l’un des plus grands peintre figuratifs di XXe siècle, avait dit à mon père, dans l’entretien qu’il lui avait accordé, le 7 septembre 1973, dans sa maison du béguinage de Furnesi. L’artiste avait alors soixante-treize ans. Outre la peinture murale de la salle de jeu du d’Ostende, nous avions découvert ses oeuvres grâce aux aouvrages de Claude Spaak, Maurice Nadeau et Antoine Terrasse. L’exposition qui s’était tenue en 1972, -« Peintre de l’imaginaire, symboliste et surréalistes belges« , avait enrichi notre connaissance de Delvaux. Nous étions, en cet été, 1973, en vacances à Koksijde. C’est là, plus précisément à Saint-Idesbald, qu’en 1980 a été inaugurée la fondation Paul-Devaux et qu’en 1982 un musée lui a été consacré. Depuis, les hommages et rétrospectives se sont multipliés et ses oeuvres sont présentées partout dans le mopnde.
— Par Christian Antourel & Ysa de Saint-Auret —
UNE MEDITATION ATTENTIVE
Benjamin Stora: « L’histoire de l’immigration ne doit pas être reléguée dans les banlieues de l’histoire ».
L’AMOUR MALGRE TOUT
Le monde dans lequel l’art d’Hector Charpentier nous fait pénétrer, n’a rien de commun avec celui de la science. Il n’est pas fait de quantités mesurables et de relations mathématiques, mais de qualités sensibles et de valeurs poétiques. A ce point qu’il parvient dans un même tableau à confondre ce qui est figuré et le reste suggéré, ouvert à l’interprétation.
La p
—Dossier de presse —
Le Musée National des Beaux-arts de La Havane (MNBA) accueille pour la première fois une sélection des œuvres de Salvador Dali. L’exposition « Memorias del Surrealismo » (Mémoires du Surréalisme) a été inaugurée dans l’Édifice d’Art Universel. Une performance à la charge du groupe Danza Retazos a aussi eu lieu.