— Par Selim Lander —

Une exposition de la fondation Clément en Martinique
La Fondation Clément dont nos lecteurs savent quel rôle elle joue pour apporter l’art contemporain aussi bien aux Martiniquais qu’aux dizaines de milliers de touristes qui la visitent annuellement, organise désormais pendant chaque hiver une grande exposition en partenariat avec les musées nationaux ou des fondations amies, en sus des expositions consacrées aux artistes caribéens pendant le reste de l’année. Ce fut ainsi le cas, en partenariat avec le Centre Pompidou, pour Hervé Télémaque (2016) et les expressionnistes abstraits de l’Ecole de Paris (le Geste et la Matière, 2017), puis, avec la fondation Dapper, pour les artistes africains d’hier et d’aujourd’hui (Afriques, 2018). Voici maintenant une abondante sélection puisée dans les quelque 300 œuvres de la collection du constructeur automobile Renault.

— Par Pierre Barbancey —
— Par Michèle Arretche, amateur d’Art —
— Par Michèle Arretche, amateur d’Art —
—Par Christian Antourel —
« Tout commence par une institution, une émotion, qui s’impose à moi.
Présentation de l’ouvrage Création et engagement dirigé par Dominique Berthet, Paris, L’Harmattan, coll. « Ouverture philosophique », 2018, 216 pages.
— Par Christian Antourel & Ysa de Saint- Auret
Précarité, incertitude, tâtonnements… Les jeunes diplômés des formations artistiques vivent des moments difficiles et intenses après leur sortie d’école.
Le fil conducteur de Martine Baker est l’exploration de la création.
Roman LIŠKA
Hôtel de Caumont, Aix en Provence jusqu’au 24 mars 2019
En 1900, à dix-huit ans passés, Pablo Ruiz, qui signe bientôt Picasso, a tout du jeune prodige.
Réunissant près de 150 œuvres dont certaines inédites en France et couvrant 70 ans de création, cette rétrospective retrace l’évolution technique et stylistique de l’artiste.

Comment un jour devient on fasciné par les civilisations méso-américaines précolombiennes Olmèques, Toltèques, Mayas, Aztèques. Cette relation aux Amérindiens strictement
Le plasticien cisèle une exposition sur un thème qui peut inquiéter, chaotique, mais fantastique sur les esprits, les morts et les âmes, leur chemin de lumière et leur héritage. Son
La Collectivité Territoriale de Martinique a le plaisir de vous inviter à cette exposition d’Hugues HENRI, qui aura lieu à Fort-de-France du 19 au 28 octobre 2018, à la villa Chanteclerc, (route de Didier). Cette exposition perpétue la recherche par cet artiste d’un retour des Caraïbes, ces « Indiens » ethnnocidés, pour la plupart disparus à l’exception des survivants dans la réserve de la Dominique et des îles Karifugas le long du Belize. Il s’agit d’une fiction artistique, non d’une reconstitution basée sur des recherches scientifiques, historiques, archéologiques, ethnologiques et anthropologiques.
Le « PABE » – pour Plastik ArtBand Experimental, une association de plasticien.ne.s non-conformistes – occupe le paysage culturel martiniquais depuis une bonne dizaine d’années. Au fil des expositions de ce groupe à majorité féminine, on a pu découvrir des sensibilités artistiques très diverses, savantes ou naïves, des techniques sophistiquées ou plus frustes mais chez tous.tes le même enthousiasme, la même envie de laisser s’exprimer sa créativité. Ces artistes ont l’habitude de travailler ensemble depuis suffisamment longtemps pour faire groupe, ce qui n’empêche pas qui les a un peu fréquenté.e.s de reconnaître immédiatement la patte de chacun.e.
L’artiste britannique Banksy a voulu procéder à un acte suprême de rébellion face à la marchandisation de l’art : la destruction de sa propre œuvre. Mais s’il a échoué à détruire de la valeur, il a réussi à montrer les tares du capitalisme moderne.