 Les pays touchés par l’épidémie sont tous très fragiles, à l’image du Sierra Leone, qui a décrété l’Etat d’urgence et une journée chaumée ce lundi pour tenter d’endiguer la propagation du virus. L’économie de ces pays est durement touchée, la Banque Mondiale promet un rapide plan d’aide⋅
Les pays touchés par l’épidémie sont tous très fragiles, à l’image du Sierra Leone, qui a décrété l’Etat d’urgence et une journée chaumée ce lundi pour tenter d’endiguer la propagation du virus. L’économie de ces pays est durement touchée, la Banque Mondiale promet un rapide plan d’aide⋅
L’épidémie a déjà fait près de 900 victimes⋅ C’est « l’essence même de notre nation est en jeu » s’est alarmé le président sierra-léonais Ernest Bai Koroma⋅ Après avoir décrété l’état d’urgence, une journée chômée a été annoncée pour combattre l’épidémie⋅ Seuls des véhicules du ministère de la Santé parcourent des rues avec des messages informatifs, arborant des messages de prévention ou d’hygiène tels que : « Ebola est réel, ne mangez pas de viande de chauve-souris, ni de chauve-souris ou de fruits partiellement mangés par des animaux ».

 Vendredi 8 Août
Vendredi 8 Août Poète, essayiste, psychiatre et psychanalyste, Joël Des Rosiers publie en novembre dernier Métaspora, Essai sur les patries intimes(1). Une publication parue chez Tryptique à Montréal, comme l’ensemble des titres de l’auteur depuis 1987. Joël Des Rosiers est récipiendaire de nombreux prix parmi lesquels, en 2011, le prix du Québec Athanase-David pour la qualité exceptionnelle de son œuvre. Focus sur son dernier essai.
Poète, essayiste, psychiatre et psychanalyste, Joël Des Rosiers publie en novembre dernier Métaspora, Essai sur les patries intimes(1). Une publication parue chez Tryptique à Montréal, comme l’ensemble des titres de l’auteur depuis 1987. Joël Des Rosiers est récipiendaire de nombreux prix parmi lesquels, en 2011, le prix du Québec Athanase-David pour la qualité exceptionnelle de son œuvre. Focus sur son dernier essai. Le metteur en scène guinéen Souleymane Koly est décédé ce vendredi 1er août, à 70 ans, d’une crise cardiaque à son domicile de Lambandji, dans la banlieue de Conakry. Réalisateur, chorégraphe, musicien et scénariste, Souleymane Koly fut, entre autres, le fondateur de l’Ensemble le Kotéba d’Abidjan, et du groupe les « 3 GO », l’une des compagnies théâtrales les plus connues d’Afrique.
Le metteur en scène guinéen Souleymane Koly est décédé ce vendredi 1er août, à 70 ans, d’une crise cardiaque à son domicile de Lambandji, dans la banlieue de Conakry. Réalisateur, chorégraphe, musicien et scénariste, Souleymane Koly fut, entre autres, le fondateur de l’Ensemble le Kotéba d’Abidjan, et du groupe les « 3 GO », l’une des compagnies théâtrales les plus connues d’Afrique. DOCU
DOCU IDÉES
IDÉES Réagissant à propos du conflit de la SME, le patron du Club Med, guidé par un réflexe de classe, a cru devoir se livrer à une attaque en règle contre les salariés en grève.
Réagissant à propos du conflit de la SME, le patron du Club Med, guidé par un réflexe de classe, a cru devoir se livrer à une attaque en règle contre les salariés en grève. Le débat sur la sélection à l’université, relancé ces dernières semaines, a été enterré une fois de plus par le gouvernement dans la plus grande confusion. Or le statu quo ne peut, ici, tenir lieu de politique.
Le débat sur la sélection à l’université, relancé ces dernières semaines, a été enterré une fois de plus par le gouvernement dans la plus grande confusion. Or le statu quo ne peut, ici, tenir lieu de politique. Domaine de Fonds Saint-Jacques
Domaine de Fonds Saint-Jacques Un rapport commandé par Pierre Moscovici alors qu’il était ministre de l’Economie s’étonne du niveau élevé des revenus de 37 professions réglementées, sans lien avec une prise de risque ou un haut niveau d’études.
Un rapport commandé par Pierre Moscovici alors qu’il était ministre de l’Economie s’étonne du niveau élevé des revenus de 37 professions réglementées, sans lien avec une prise de risque ou un haut niveau d’études. A Madiana
A Madiana Alors que les faits sont là, dans leur aveuglante nudité (Plus de mille personnes tuées à Gaza, notamment des femmes et des enfants, contre une cinquantaine de morts chez les Israéliens, essentiellement des militaires), les dirigeants de l’Etat d’Israël continuent de maintenir leur même argumentation : la faute en incombe au Hamas qui se sert des civils comme boucliers. Cet argument est repris par Roger Cukierman, président du CRIF, dans
Alors que les faits sont là, dans leur aveuglante nudité (Plus de mille personnes tuées à Gaza, notamment des femmes et des enfants, contre une cinquantaine de morts chez les Israéliens, essentiellement des militaires), les dirigeants de l’Etat d’Israël continuent de maintenir leur même argumentation : la faute en incombe au Hamas qui se sert des civils comme boucliers. Cet argument est repris par Roger Cukierman, président du CRIF, dans  « Collabo, harki, sioniste, sale juif, kafir, mécréant, apostat, vendu, youpin, traître, salaud, r’khis, lâche, sale rabbin, merdeux, valet de BHL, suppôt d’Israël… » Voilà les qualificatifs dont on affuble Kamel Daoud, chroniqueur et romancier algérien, sur les forums. Quel crime a commis l’auteur pour être ainsi traîné dans la boue ? Les premiers jours de l’attaque de Gaza, il a écrit une chronique où il annonce qu’il n’est pas solidaire de la Palestine : « Non, donc, le chroniqueur n’est pas solidaire de cette “solidarité” qui vous vend la fin du monde et pas le début d’un monde, qui voit la solution dans l’extermination et pas dans l’humanité, qui vous parle de religion, pas de dignité, et de royaume céleste, pas de terre vivante ensemencée. »
« Collabo, harki, sioniste, sale juif, kafir, mécréant, apostat, vendu, youpin, traître, salaud, r’khis, lâche, sale rabbin, merdeux, valet de BHL, suppôt d’Israël… » Voilà les qualificatifs dont on affuble Kamel Daoud, chroniqueur et romancier algérien, sur les forums. Quel crime a commis l’auteur pour être ainsi traîné dans la boue ? Les premiers jours de l’attaque de Gaza, il a écrit une chronique où il annonce qu’il n’est pas solidaire de la Palestine : « Non, donc, le chroniqueur n’est pas solidaire de cette “solidarité” qui vous vend la fin du monde et pas le début d’un monde, qui voit la solution dans l’extermination et pas dans l’humanité, qui vous parle de religion, pas de dignité, et de royaume céleste, pas de terre vivante ensemencée. »
 — Par Laurence Caramel —
— Par Laurence Caramel — Dédié aux civils Palestiniens massacrés, aux victimes Malaysiennes de l’avion abattu en Ukraine, aux lycéennes Nigérianes kidnappées et aux milliards d’êtres humains qui subissent des exactions de par le monde.
Dédié aux civils Palestiniens massacrés, aux victimes Malaysiennes de l’avion abattu en Ukraine, aux lycéennes Nigérianes kidnappées et aux milliards d’êtres humains qui subissent des exactions de par le monde. TRIBUNE
TRIBUNE
 Les Guyanais seront sans doute nombreux à se souvenir de ce mois de juillet 2014 quand, à Cayenne, a été inauguré le boulevard Nelson Mandela, qui plus est en présence de la ministre guyanaise de la Justice Christiane Taubira. Il leur importe davantage de savoir que c’est aussi en un mois de juillet que Félix Eboué, l’icône de leurs rares figures emblématiques, est revenu pour la première fois en Guyane. C’était en 1921, l’année même où son vieil ami René Maran, grâce à Batouala, a obtenu le Prix Goncourt. Sur sa terre natale, Félix Eboué, alors diplômé de l’Ecole coloniale, retournera en 1922, en 1927, en 1931, en 1932, avant de promettre à René Maran d’y revenir également en 1946, en vue des législatives. Le destin, on le sait, en a décidé autrement.
Les Guyanais seront sans doute nombreux à se souvenir de ce mois de juillet 2014 quand, à Cayenne, a été inauguré le boulevard Nelson Mandela, qui plus est en présence de la ministre guyanaise de la Justice Christiane Taubira. Il leur importe davantage de savoir que c’est aussi en un mois de juillet que Félix Eboué, l’icône de leurs rares figures emblématiques, est revenu pour la première fois en Guyane. C’était en 1921, l’année même où son vieil ami René Maran, grâce à Batouala, a obtenu le Prix Goncourt. Sur sa terre natale, Félix Eboué, alors diplômé de l’Ecole coloniale, retournera en 1922, en 1927, en 1931, en 1932, avant de promettre à René Maran d’y revenir également en 1946, en vue des législatives. Le destin, on le sait, en a décidé autrement. Le vice-Premier ministre turc, Bülent Arinç, a déclenché la polémique en déclarant que les femmes ne doivent pas rire trop fort, et qu’elles ne doivent pas non plus partir en vacances sans leur mari ou pratiquer la pole dance.
Le vice-Premier ministre turc, Bülent Arinç, a déclenché la polémique en déclarant que les femmes ne doivent pas rire trop fort, et qu’elles ne doivent pas non plus partir en vacances sans leur mari ou pratiquer la pole dance. La production de Suzy Manyri interpelle en premier lieu par son titre. Si étymologiquement le terme « kouli » se réfère d’abord au travail journalier c’est bien dans le cadre colonial dont nous sommes aujourd’hui encore les héritiers qu’il prend son essor international(
La production de Suzy Manyri interpelle en premier lieu par son titre. Si étymologiquement le terme « kouli » se réfère d’abord au travail journalier c’est bien dans le cadre colonial dont nous sommes aujourd’hui encore les héritiers qu’il prend son essor international( — Par Michèle Bigot —
— Par Michèle Bigot — Après La Barque le Soir, qu’est-ce qui vous a poussé à reprendre Intérieur de Maurice Maeterlinck, que vous aviez déjà mis en scène en 1985 ?
Après La Barque le Soir, qu’est-ce qui vous a poussé à reprendre Intérieur de Maurice Maeterlinck, que vous aviez déjà mis en scène en 1985 ?  — Par Michèle Bigot —
— Par Michèle Bigot — Le Musée National des Beaux-arts de La Havane (MNBA) accueille pour la première fois une sélection des œuvres de Salvador Dali. L’exposition « Memorias del Surrealismo » (Mémoires du Surréalisme) a été inaugurée  dans l’Édifice d’Art Universel. Une performance à la charge du groupe Danza Retazos a aussi eu lieu.
Le Musée National des Beaux-arts de La Havane (MNBA) accueille pour la première fois une sélection des œuvres de Salvador Dali. L’exposition « Memorias del Surrealismo » (Mémoires du Surréalisme) a été inaugurée  dans l’Édifice d’Art Universel. Une performance à la charge du groupe Danza Retazos a aussi eu lieu.