Séances VO de Tropiques-Atrium à Madiana
Taxi Téhéran
Jafar Panahi – 1h26 – 2015
Installé au volant de son taxi, Jafar Panahi sillonne les rues animées de Téhéran. Au gré des passagers qui se succèdent et se confient, le réalisateur dresse le portrait de la société iranienne entre rires et émotion…
Lundi 15 à 19h30
Vendredi 26 à 19h30
Nahid
Ida Panahandeh – 1h44 – 2015
Nahid, jeune divorcée, vit seule avec son fils de 10 ans. Selon la tradition iranienne, la garde de l’enfant revient au père mais ce dernier a accepté de la céder à son ex femme à condition qu’elle ne se remarie pas. Sa rencontre avec un nouvel homme qui l’aime passionnément va bouleverser sa vie de femme et de mère.
Mardi 16 à 19h30
Jeudi 25 à 19h30
Le Président
Mohsen Makhmalbaf – 1h58 – 2015
Le Président et sa famille dirigent leur pays d’une main de fer, profitant d’une vie luxueuse tandis que leurs sujets vivent dans la misère. Du jour au lendemain, un violent coup d’Etat met fin à cette dictature et le Président devient l’homme le plus recherché du pays.

Penser la religion en matérialistes historiques
Ethnographie surréaliste dans le champ jazzistique
L’historien Guillaume Payen, avec une biographie, et la philosophe italienne Donatella Di Cesare éclairent encore chacun à leur manière la profondeur de l’antisémitisme du philosophe allemand et ses rapports au nazisme.
Le chef de l’État haïtien Michel Martelly, dont le mandat s’achevait samedi, et les représentants du Parlement ont signé un accord prévoyant l’installation d’un gouvernement transitoire dans l’attente du prochain scrutin présidentiel.
Les uns remplissent consciencieusement des cases tandis que les autres tendent à leur interlocuteur des actes d’état civil. Et en quelques clics sur un ordinateur, tous ou presque ont découvert grâce à la base de données «
TRIBUNE – François Fillon, candidat à la primaire de la droite, explique pourquoi les modifications proposées par François Hollande sont « un aveu de faiblesse » plus qu’un « choix sûr et fort pour la République ».
Il y a un an presque jour pour jour que l’association VALCACO vit le jour le 6 février 2015 au matin dans les locaux du PARM (Pole Agroalimentaire Régional de La Martinique)!
Beaucoup de pays touchés fortement par le virus Zika conseillent simplement aux femmes de ne pas tomber enceinte. Mais l’ONU incite plutôt ces pays, très catholiques, à respecter le droit des femmes en les autorisant à avorter et en leur donnant l’accès à des moyens de contraception.
Spotlight – Réalisateur : Tom McCarthy Avec : Mark Ruffalo, Liev Schreiber, Michael Keaton
— Par Titiou Lecoq, Auteure , Elisabeth Bost, Journaliste , Pénélope Bagieu , Auteure de bandes dessinées , Lauren Bastide, Journaliste , Delphine Manivet , Créatrice de mode , Alix Girod de l’Ain , Journaliste , Nadia Daam, Journaliste , Alexandrine Duhin, Editrice , Marlène Schiappa, Présidente de «Maman travaille» et Sophie de Closets, Editrice —
La Colombie a annoncé vendredi trois décès chez des patients ayant contracté le virus Zika, en pleine expansion en Amérique latine, et souffrant du syndrome neurologique de Guillain-Barré.
Dans un rapport consacré à « l’impact disproportionné de l’état d’urgence« , Amnesty demande au gouvernement de prouver l’efficacité de ces mesures, en cas contraire de renoncer à sa prolongation. L’ONG a rassemblé de nombreux témoignages montrant les violations des droits humains commises au nom de ce régime d’exception.
Synopsis
Il faut évidemment se réjouir que nombreux sont celles et ceux qui, en Martinique, ont manifesté une certaine attention à ce sommet climatique historique réunissant à Paris 195 pays et pas moins de 150 chefs d’état et de gouvernement appelés à trouver un accord International, pour permettre de respecter à long-terme une limitation du réchauffement climatique 2°C.
La France a célébré en 2015 les soixante-dix ans de la Sécurité Sociale, mise en place avec les ordonnances d’octobre 1945.
Omar Sy rend son personnage de chocolat très contemporain, James Thierrée, petit-fils de Chaplin, endossant le costume de Footit avec une grande justesse.
Critique de la finance capitaliste. Pour un financement solidaire Daniel Bachet. Éditions du Croquant, 190 pages, 20 euros.
Ce film, réalisé par Tom McCarthy, aborde sans détour la question de la pédophilie dans l’Eglise catholique. Une équipe de journalistes d’investigation (le « spotlight »), travaillant au Globe de Boston, ayant reçu le feu vert de leur patron (juif, célibataire, venu d’ailleurs et, pire que tout à Boston, qui n’aime pas le base-ball), enquête sur les prêtres ayant commis des actes de pédophilie, à l’encontre d’enfants, garçons ou filles, de quartiers défavorisés. Ces prêtres ont parfois été discrètement écartés par l’archevêque, tout en pouvant récidiver ailleurs. Malgré les pressions (ne serait-ce que le lectorat à majorité catholique mais aussi une Église toute puissante à Boston, tirant « toutes les ficelles », capable de faire disparaître des pièces judiciaires au sein même du Palais de Justice), il s’agit non pas de dénoncer le comportement de tel individu, ou de révéler les petits arrangements qui ont pu être conclus avec des avocats, mais de mettre en évidence tout un SYSTEME, à l’échelle de la ville, mais aussi de l’ensemble des États-Unis et finalement du monde entier.
Cette qualification de la maladie devrait accélérer l’action internationale contre le virus et la recherche scientifique. Ce virus pourrait déjà être lié à plusieurs milliers de cas de malformations néonatales au Brésil.
Elisabeth II,
Dans «Murmures à la jeunesse», essai d’une petite centaine de pages, l’ancienne ministre de la Justice affirme son opposition à cette mesure controversée, portée par le gouvernement qu’elle vient de quitter.
Pour la première fois depuis la mise en place de l’état d’urgence, le 14 novembre, le Conseil d’Etat a suspendu, vendredi 22 janvier, un arrêté d’assignation à résidence. Il visait Halim Abdelmalek, assigné depuis le 15 novembre 2015 à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), soupçonné par le ministère de l’intérieur d’avoir fait des repérages autour du domicile d’un membre de l’équipe de Charlie Hebdo, d’appartenir « à la mouvance islamiste radicale », et d’avoir été « mis en cause » dans une affaire de trafic de véhicules. Trois motifs pour lesquels le Conseil d’Etat a considéré que le ministère de l’intérieur n’a pas pu prouver les faits reprochés.