30 ans. De l’arrivée en Martinique en 1987, pour sa carrière d’enseignante en Arts Plastiques, à 2017, choix de son lieu de résidence pour sa retraite, en passant par la Guyane et le Vénézuela, 30 ans d’ancrage dans l’imaginaire du lieu, dirait Patrick Chamoiseau, 30 ans dans la Caraïbe, 30 ans d’Antillanité.
Mais qu’entend-on par Antillanité ou Caribéanité en matière d’Art ?
Le concept d’Antillanité a été développé par Edouard Glissant : l’Antillanité est une volonté de réparer les déchirures sociales, de combler les trous de la mémoire collective et d’établir des relations. L’Antillanité est une spécificité ouverte et plurielle.
Derek Walcott parle d’un « naufrage de fragments ».
Marsha Pearce dans « Cartographie de la Caribéanité » parle d’ « une forme composée de plusieurs couches ; une forme pourvue de la richesse, associée à la douleur et la promesse nées des efforts de créer des synthèses d’un ensemble de morceaux et de pièces. Il faudrait employer « le mécanisme du collage », pour emprunter la phrase de James Clifford » (1)
Or, ces déchirures, fragments, trous de la mémoire, collage, couches, pièces, relations se retrouvent justement dans le travail de Marie Gauthier : « des tissus fins marouflés sur toile ou sur bois laissent percevoir des coutures, des plis et des motifs que l’artiste recouvre partiellement ou totalement de peinture.

La première journée de la jupe a eu lieu en 2014. À l’époque, l’événement ne concernait que la ville de Nantes et avait pas mal choqué, notamment du côté de la Manif pour tous. Mais, trois ans plus tard, c’est toute la France qui s’y met !
L’exposition proposée par Tropiques Atrium apparait telle un dispositif multiple, à l’image de la façon dont s’organise et se déploie le travail d’Elodie Barthélémy. « Après plusieurs expérimentations artistiques, elle s’oriente actuellement vers des œuvres performatives qui témoignent de ses rencontres et multiplicités humaines et culturelles dont son œuvre est l’écho. »
Cet évènement incontournable présenté par le Théâtre Aimé Césaire nous revient chaque année avec un succès sans cesse grandissant. C’est à s’y méprendre entre Théâtre ou théâtre amateur la nuance est souvent tellement infime de savoir qui de l’élève ou du maître emportera la palme de l’estime du public.
Une quinzaine de rédactions signent une lettre ouverte au président de la République afin de lui « transmettre nos inquiétudes quant à l’organisation de la communication présidentielle ».
— Par Roland Sabra —
L’équipe de Séniors rassis qui préside aux destinées de la CTM semble incapable de lui insuffler l’élan, le dynamisme , et l’imagination qu’appelle la gravité de la situation que connait la Martinique :
ZHOU SHICHAO
Emé ! O Emé ! Anmwé ! Soukou ! Nou pri !
Synopsis
La lutte contre l’homophobie, la lesbophobie, la biphobie et la transphobie constituent une priorité. A l’instar d’autres formes de discrimination et d’intolérance telles que le racisme, le sexisme ou l’antisémitisme, l’homophobie engendre en effet des conséquences importantes, parfois dévastatrices, dans la vie des individus qui en sont victimes. L’homosexualité est encore punissable dans près de 80 pays dans le monde ; les droits des personnes LGBT (Lesbian, Gay,Bisexual, Transgender) sont bafoués dans davantage de pays encore.
SOS homophobie publie son 21ème rapport sur l’homophobie. Il constitue le seul état des lieux chiffré de la lesbophobie, la gayphobie, la biphobie et la transphobie en France aujourd’hui.
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.
Avons-nous atteint notre but premier : « promouvoir les arts traditionnels de l’Afrique subsaharienne » ? Telle était la mission définie par Michel Leveau lorsqu’il créa la Fondation Dapper en 1983.
Jusqu’au 27
La remarquable et préoccupante absence des Partis Communistes Français et Martiniquais lors des débats présidentiels, où toutes les tendances se sont manifestées héroïquement, nous a quelque part interpellés. Est-ce dû à une carence idéologique de leur part ou simplement une déconcertante fidélité à un dogme, qui nous le pensons reste éminemment sociétal ? Pourtant, la présence de cette idéologie si généreuse dans toutes les luttes menées ici et ailleurs, contre le colonialisme et le capitalisme est remarquée, appréciée et respectueusement saluée. Aujourd’hui, les rapports de force ont changé. La réalité économique qui consolide le Capital, les échecs successifs des principes, la peur de rester en dehors des limites-frontières sociales, l’inculture distribuée abondamment, ce qui incite à supporter l’hypothèse de la tricherie, frisant le truandage, quant à la distribution inique des richesses obtenues par les travailleurs. Tout ceci amènerait à modifier les méthodes, mais pas les buts ? En multipliant les apports extérieurs, en y trouvant en particulier des apports progressistes donc historiques. Le Marxisme a souvent su exécuter toutes les danses, puisqu’il en a été un des meilleurs metteurs en musique !
Sur le Boulevard Général De Gaulle ( depuis la portion de la rue Lecornu jusqu’au porche de la mairie)
L’association Culture égalité propose au public une conférence théâtralisée « Marronnes et rebelles, elles ont fait notre Caraïbe et nos Amériques ». Le vendredi 19 mai à 19 heures dans la rue Garnier Pages.
E.sy Kennenga est né le 17 mars 1984 en Martinique d’une famille de musiciens. Dès l’âge de 5 ans, il étudie la guitare. A 14 ans, il écrit ses premières compositions. Avec le groupe « One Day », il fait ses premiers pas sur scène et deux albums sont édités « Un jour » en 2001, puis « Il Faut Le Dire » en 2003.
Les ateliers cinéma, c’est jouer et :
Plébiscité dans le monde entier, Joël Pommerat évoque son succès et sa méthode à l’occasion du retour sur scène de ses contes de fées.
Texte présenté par la troupe des Comédiens de Martinique.