Célébration de la liberté et de l’héritage millénaire
Pessah, littéralement « passer au-dessus » en hébreu, est une des fêtes les plus vénérées et significatives du judaïsme. Du lundi 22 avril au mardi 30 avril, cette célébration annuelle réunit les familles juives du monde entier dans un hommage vibrant à l’histoire, à la foi et à la liberté.
Un rappel historique :
Pessah commémore la libération du peuple juif de l’esclavage en Égypte, un événement central narré dans le livre de l’Exode de la Bible hébraïque. La fête revêt une importance particulière en rappelant la protection divine lors de la dixième plaie d’Égypte, où les maisons des Hébreux furent épargnées, marquant ainsi la naissance du peuple d’Israël.
Les dates et la durée des festivités :
En Israël, Pessah débute le soir du 14 Nissan, tandis que pour la diaspora, elle commence les soirs du 14 et 15 Nissan. La fête dure sept jours en Israël et huit jours pour les Juifs vivant en dehors d’Israël. Les deux temps forts de la fête sont le premier jour, marquant la sortie d’Égypte, et le dernier jour, symbolisant la traversée de la mer Rouge.

La filière canne, subventionnée à hauteur de 80% par l’État, traverse une période de crise sans précédent en Guadeloupe, et nul doute que le tocsin va bientôt résonner durement aux oreilles des Guadeloupéens. La Sucrerie de Gardel, dernier emblème de cette industrie, est contrainte aujourd’hui de fermer ses portes jusqu’à nouvel ordre, plongeant dans l’incertitude un nombre croissant de planteurs et travailleurs. Cette décision fait suite à une série de tumultes et de revendications de la part des planteurs, réclamant une revalorisation du prix de la tonne de canne à hauteur de 120 euros . Depuis la mi-février, un collectif d’agriculteurs a orchestré un mouvement de contestation, retardant ainsi le début de la campagne sucrière 2024. Des opérations escargot et des blocages aux accès des usines de Gardel, au Moule, et de Béron, à Sainte-Rose, ont été organisés, exacerbant les tensions au sein de l’industrie sucrière. Face à cette impasse, le Préfet de région a convoqué sans résultat à ce jour toutes les parties concernées à une réunion d’urgence, témoignant de l’ampleur de la crise qui secoue le secteur.
— Collectif —
New Babylon, 2048. Un jeune empereur accédant à un pouvoir sans limites s’en sert sans limites pour sauver son monde.
Port-au-Prince, le 19 avril 2024 : Au cours du premier trimestre de l’année 2024, le BINUH a enregistré 2.505 personnes de meurtres et de blessures à la suite de violences liées aux gangs, une augmentation de plus de 53 % par rapport à la période précédente (octobre-décembre 2023), faisant des trois premiers mois de 2024 la période la plus violentedepuis au moins le début de 2022.Parallèlement, au moins 438 personnes ont été enlevées contre rançon, dans les départements de l’Ouest et de l’Artibonite.
Chaque année il nous est re-servi la même information pour justifier la pénurie au robinet, cette récurrence devient indécente et imbuvable. Plus de 90% de notre Eau proviennent de nos Rivières, ce qui permet d’alimenter les différentes usines pour sa potabilisation. Ce n’est pas quand il pleut dans le Sud, ou une partie du centre que nous devons penser que ces usines sont alimentées, le Carême existe uniquement dans les finances de nos collectivités qui sont les propriétaires des usines de traitement et des réseaux de transport et de stockage de l’Eau. 
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
L’U
— Par Robert Berrouët-Oriol, l
Le Groupement d’Intérêt Public (GIP) « Sortie de l’indivision et titrement Martinique » (GIP SITM) occupe une place cruciale dans le paysage juridique martiniquais, s’attaquant de front aux défis complexes liés à la gestion foncière dans l’île. Son mandat, instauré en vertu de la loi du 27 décembre 2018, connue sous le nom de « loi Letchimy », en fait un acteur central dans la résolution des situations d’indivision et de succession qui affectent de nombreuses familles martiniquaises.
— Par Hélène Lemoine —
Un spectacle très émouvant et un très bel hommage à Maryse Condé. En gestation depuis plus d’un an, bien avant la mort de l’écrivaine, il s’articule autour d’un choix de textes suffisamment judicieux pour donner l’impression à qui n’a jamais lu Maryse Condé qu’il s’agit d’un seul et même écrit aux couleurs  plus ou moins autobiographiques, comme en témoignent des échanges avec le public après la représentation. Mais surtout Maryse Condé est présentée à la fois comme une femme qui parle des expériences des femmes et une écrivaine qui se trouve en marge, loin des normes établies. Bien que ces deux aspects semblent différents, elle explore à la fois l’histoire des femmes aux Antilles, ou des récits féminins, et exprime une méfiance envers les communautés enracinées dans leur propre territoire et culture. De passage en Martinique, elle déclarait il y a quelques années: « Nos racines sont là où nous vivons ».
— Par Alain Joséphine —
— Par Jean Marie Nol, économiste —
— Par Culture Égalité —
Si lapli-lavi ka mouyé’w
Mortel Rafting!
Hommage aux militants anticolonialistes Nills Andersson, Allice Cherki et à l’4ACG
Avec Kirsten Dunst, Wagner 
— Par Sarha Fauré —
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— Par Jean Samblé —
— Par M’A —
C’est l’herbicide le plus utilisé au monde. C’est aussi un mot qui génère, dès qu’il est prononcé, d’intenses passions. Le glyphosate est utilisé en agriculture pour tuer les « mauvaises herbes », et ainsi limiter leurs effets négatifs sur les cultures. Ses effets sur l’homme et l’environnement restent eux sujets à débat dans la communauté scientifique. Dans la sphère politique, le récent 
— Par Sarha Fauré —