Pleinement consciente que les enjeux de la campagne pour les élections législatives, qui se déroulent dans un contexte particulier, dépassent largement la seule sphère consumériste, l’UFC-Que Choisir entend faire avancer la cause d’une consommation plus sobre et responsable, accessible à tous. L’association rend aujourd’hui publiques ses 20 priorités articulées autour de 3 volets : la protection de l’environnement et de la santé des citoyens, leur pouvoir d’achat, et, enfin, la résorption des inégalités territoriales. Elle appelle les candidats à s’en saisir et à les défendre dans le cadre de la campagne, et à les mettre œuvre à l’issue des élections dans une grande loi sur la consommation.
Favoriser une consommation responsable, soucieuse des enjeux environnementaux, sanitaires et sociétaux
La promotion d’une consommation responsable, accessible à tous, constitue pour notre association le cœur de ses combats. Lors de la législature sortante, nous n’avons pu que déplorer de nombreuses reculades sur les sujets sanitaires et environnementaux liés à l’utilisation de pesticides. Les candidats doivent au contraire s’engager à restreindre strictement leur utilisation. Ceci devra s’accompagner de toutes les mesures permettant de garantir sur l’ensemble du territoire l’accès à une eau potable de qualité, dépourvue de nitrates et de pesticides, et de prévenir le gaspillage d’eau qu’il soit dû au mauvais état des réseaux, ou à sa gestion favorisant indûment l’agriculture intensive.

— Par Sabrina Solar —
Vu la gravité de la situation actuelle en France, il s’avère indispensable et essentiel d’avoir une vue d’ensemble pour avoir une longueur d’avance sur la réflexion. La meilleure façon d’appréhender les problèmes à leur juste mesure est de prendre du recul et d’y réfléchir de manière critique. Quelle est la cause du problème de la France ? Quelles sont les solutions possibles face à l’impasse probable ?
— Par Georges-Henri Léotin —
Un chaud effroi
— Le n° 353 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
Avec Rossy de Palma, André Dussollier, Eduardo Noriega
A l’issue des élections européennes qui se sont tenues le 9 juin et suite à la décision du président de la République de dissoudre l’Assemblée Nationale et de convoquer des élections législatives sous trois semaines, l’ensemble des organisations du spectacle vivant et de la culture signataires souhaitent s’exprimer d’une même voix.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Collectif —
— Par Michèle Bigot —
— Par
Lancée par
Emmanuel Macron, élu président de la République française en 2017, a rapidement suscité des réactions contrastées parmi les Français. Si certains voyaient en lui un réformateur capable de moderniser la France, d’autres étaient sceptiques, voire hostiles, à son égard. Cette impopularité s’est accentuée avec le temps, en particulier lors de la crise des Gilets Jaunes, marquée par des manifestations violentes et des critiques virulentes à son encontre. Notre présente analyse totalement inédite retrace les moments clés qui ont contribué à l’impopularité de Macron et l’origine de la banalisation orchestrée de l’extrême-droite en France. Mais tout d’abord il faut examiner les réactions qu’il a suscitées au sein de la population française à l’origine de son ire et de son courroux qui explique en partie les actuels évènements potentiellement destructeurs pour les français. Dès le début de son mandat, Emmanuel Macron a été critiqué pour ses déclarations jugées déconnectées de la réalité des Français. Ses « petites phrases », souvent perçues comme arrogantes ou méprisantes, ont alimenté le ressentiment.Parmi les plus célèbres : »Je traverse la rue et je vous trouve un emploi » : Lors d’une rencontre avec un jeune chômeur, Macron suggéra que trouver un emploi était facile, s’il suffisait de chercher.
À deux semaines du premier tour des élections législatives, un collectif de sportifs et sportives français de toutes disciplines s’engage dans une
— Par Sabrina Solar —
Man té di’w
— Par Jean Marie Nol, économiste —
La Flamme arrivera en Martinique le dimanche 16 juin au soir par bateau dans la baie de Fort-de-France, sur le Maxi Banque Populaire skippé par Armel LE CLEACH.
Celui qui croyait au ciel
— Par Jean-Marie-Nol, économiste —
On le sait …
— Par Robert Berrouët-Oriol, l