— Par Jean-Marie Nol —
La question de la vie chère en Guadeloupe cristallise aujourd’hui les tensions et focalise le débat public sur l’augmentation des prix de l’alimentation. Pourtant, cette préoccupation, bien que légitime, masque une réalité encore plus inquiétante : celle de l’accès à l’immobilier et à la construction, devenu un véritable parcours du combattant pour les Guadeloupéens, et plus particulièrement pour les jeunes générations. En Guadeloupe, pour deux tiers des jeunes de 21 à 35 ans, l’achat d’un logement relève presque de l’utopie.Cette situation est d’autant plus préoccupante qu’elle s’inscrit dans un contexte économique guadeloupéen déjà fragilisé. L’augmentation des charges, des impôts et des coûts de la vie pèse lourdement sur le pouvoir d’achat des ménages, et plus particulièrement sur celui des jeunes en début de carrière. Même avec un niveau d’éducation et un revenu élevé, la plupart des jeunes sont exclus de l’accès à la propriété faute de ressources suffisantes pour pouvoir acheter leur propre maison. Et pourtant, l’accès à la propriété est un enjeu majeur pour les jeunes en Guadeloupe, une aspiration qui semble de plus en plus hors de portée.

TGV
Le scandale des airbags Takata, qui touche des millions de véhicules à travers le monde, continue de faire des ravages en France, en particulier dans les territoires d’Outre-mer. En effet, près de 100.000 véhicules, dont une large part des modèles Citroën C3 et DS3, fabriqués entre 2009 et 2019, sont équipés de ces airbags défectueux. Ces dispositifs, qui doivent normalement protéger les conducteurs en cas d’accident, présentent un danger mortel lorsqu’ils se déclenchent. En effet, des fragments métalliques peuvent être projetés avec une violence extrême, causant des blessures graves et, dans certains cas, des décès. Depuis le début du scandale, plusieurs victimes ont perdu la vie, en grande partie dans les départements d’Outre-mer où les conditions climatiques (forte chaleur et humidité) accélèrent la dégradation des airbags.
— Par Yacine Amara.
— Communiqué de presse —
— Par Sabrina Solar —
Présent aux États-Unis lors de l’élection de Donald Trump, l’écrivain martiniquais en revient avec un manuel de résistance, invitant à dresser « un imaginaire de la Relation » face à l’obscurantisme capitaliste.
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Dans un 
— Par Jean-Marie Nol —
« En Haïti, la corruption généralisée au Fonds national de l’éducation
Conférence « Rencontre avec un artiste » Dominique Berthet s’entretient avec Gilles Elie-Dit-Cosaque.
Par Reginald Rose
— Par Gilles Bonnet(*) —
Mano Nobili, formatrice en théâtre immersif et ses 18 comédiens présentent leur travail dans un « Jeu face caméra » ce vendredi 14 février à Fort-de-France. Mais c’est quoi le théâtre immersif?
Le spectacle « Il était une fois, un village de Haute-Guinée appelé « Balandou » » est une œuvre qui réunit l’acrobatie, la danse, la musique traditionnelle et contemporaine, plongée dans l’âme profonde de la culture guinéenne. Né de la collaboration entre les artistes du Circus Baobab, ce spectacle met en lumière la jeunesse de la Guinée confrontée aux réalités de la vie moderne, tout en ancrant son récit dans les traditions ancestrales du pays.
— Par Jean-Marie Nol —
Eu égard aux perspectives, les moments de pause de la mobilisation revendicative sont toujours propices aux questionnements. 
Du 13 au 15 février 1945, la ville de Dresde, l’une des plus belles cités d’Allemagne, est ravagée par une pluie de bombes incendiaires et explosives. L’attaque, menée par les forces aériennes anglo-américaines, marque un tournant dans la guerre aérienne de la Seconde Guerre mondiale. Jusqu’alors épargnée par les bombardements, Dresde, surnommée « la Florence de l’Elbe » en raison de ses trésors artistiques et architecturaux, devient la cible d’une destruction systématique.
Mon propos est d’examiner dans quelle mesure la psychanalyse peut être un instrument théorique intéressant, propre à éclairer de façon positive les problèmes de la « condition féminine » . Ces réflexions sont à mettre en relation avec celles de Maurice Godelier qui apportait une autre forme d’approche, celle de l’ethnologie. Dans son article, Maurice Godelier montre que la domination de l’homme sur la femme est issue de la première division sociale du travail. fondée sur la différenciation sexuelle.
La Collectivité Territoriale de Martinique (CTM) traverse de sa jeune carrière, une situation financière préoccupante aux répercussions inédites pour ses entités affiliées, le tissu associatif et l’ensemble du territoire. La Chambre régionale des comptes a souligné dans son dernier rapport une baisse des investissements, une augmentation de l’endettement et une gestion financière fragile. Sur un budget de 1,5 milliard d’euros, près d’1 milliard est consacré aux frais de fonctionnement et aux engagements sociaux, laissant une marge dérisoire pour les investissements structurants.
— Par Jean-Marie Nol —