Par CHRISTIANE MARTY Membre de la Fondation Copernic
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Le Conseil constitutionnel a censuré la taxation exceptionnelle à 75 % de la part des revenus excédant un million d’euros, en invoquant la rupture d’égalité devant l’impôt. Cette taxation devait s’appliquer sur les revenus d’activité des personnes physiques et non des foyers fiscaux. De ce fait, pour un même revenu global, un foyer y aurait été assujetti ou non selon la répartition de ce revenu entre ses membres : un ménage dont chaque conjoint gagne 900 000 euros en serait exonéré, mais pas un ménage dont l’un gagne 1,8 million d’euros et l’autre ne gagne rien. Le dispositif a donc été rejeté au motif de «méconnaissance de l’égalité devant les charges publiques». Les quelque 1 500 personnes concernées qui gagnent plus de 70 fois le Smic peuvent être soulagées, le Conseil constitutionnel veille sur le respect de l’égalité des contribuables, en l’occurrence des plus riches.
Plus exactement, il veille sur l’égalité devant l’impôt des foyers fiscaux, pas des contribuables (car deux personnes gagnant chacune 1 million d’euros ne paient généralement pas le même impôt).



Poursuivi pour injures raciales par un collectif antillais, l’humoriste Nicolas Bedos s’est déclaré « peiné que des gens n’arrivent pas à comprendre le degré zéro du second degré », mercredi 9 janvier sur France info. « Il faut apprendre à lire un papier qui est l’inverse exactement de ce qu’ils ont compris. Cela me fait de la peine que des gens n’arrivent pas à comprendre le degré zéro du second degré », s’est insurgé l’humoriste, assurant qu’il a écrit « une satire du touriste gros con facho qui vient justement dans les îles pour se dorer la couenne ».





Michèle Barrière, historienne de la gastronomie, revient sur une tradition héritée de l’antiquité où se mêlent rite païen et culture chrétienne.












