Association Martiniquaise pour l’art contemporain avec / with Michel Blazy, Rafal Bujnowski, Alexandre Da Cunha, Tue Greenfort, Henrik Hakansson, Sophie von Hellermann, Noritoshi Hirakawa, Alicja Kwade, Aleksandra Mir, Michael Sailstorfer & Johannes Wohnseifer
Caryl* Ivrisse-Crochemar, [créative renegades society] et Frédéric Guilbaud, Président de l’Association Martiniquaise pour l’Art Contemporain (AMAC) sont heureux de vous présenter Résidences Informelles, une exposition de groupe avec les artistes suivants:
Michel Blazy, Rafal Bujnowski, Alexandre Da Cunha, Tue Greenfort, Henrik Hakansson, Sophie von Hellermann, Noritoshi Hirakawa, Alicja Kwade, Aleksandra Mir, Michael Sailstorfer & Johannes Wohnseifer.













Est-il possible d’envisager des réparations financières pour les crimes commis lors de l’esclavage ? En décrétant que «l’histoire ne peut pas faire l’objet d’une transaction», François Hollande vient de répondre négativement à cette question, le 10 mai, lors de la journée de commémoration de l’abolition de l’esclavage. La formule est habile. Pourtant, si l’on regarde les choses de plus près, la question est plus complexe, et ne peut être évacuée aussi facilement. Christiane Taubira, qui est à l’origine de la loi de 2001 reconnaissant la traite négrière et l’esclavage comme crime contre l’humanité, et instituant la journée du 10 mai, a eu raison de corriger immédiatement le tir présidentiel, en évoquant dès le lendemain la nécessité de réfléchir à des formes de politique foncière et de redistribution des terres en faveur des descendants d’esclaves dans les territoires français d’outre-mer. 








