Samedi 7 juin – 19h30 – Tropiques-Atrium
Nicolas Boidel – Musicien martiniquais aux multiples facettes
Nicolas Boidel est un violoniste originaire de la Martinique, dont le parcours artistique reflète une grande ouverture musicale et une maîtrise impressionnante de plusieurs instruments. Il commence le violon en 2003 et s’initie rapidement à une diversité de styles, allant :
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du jazz aux
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musiques traditionnelles antillaises,
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en passant par les répertoires latino-américains et orientaux.
Cette richesse d’influences façonne un jeu personnel, sensible et expressif, oscillant entre musique classique, baroque et musiques du monde.
Multi-instrumentiste et pédagogue engagé
Outre le violon, Nicolas Boidel joue également du :
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violoncelle,
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flûte,
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clarinette.
Il se distingue par sa capacité à passer d’un instrument à l’autre avec une aisance remarquable.
Formé à Paris, il étudie :

— Par Gary Klang —
La Ville du Carbet, à travers sa commission Vie associative, organise ce samedi la troisième édition de l’Asso-Fiesta. Cette manifestation vise à mettre en lumière les associations locales et leur rôle au sein de la commune.
— ContreChroniques d’Yves-Léopold Monthieux —
Souvent présentées comme un levier essentiel, les subventions sont censées financer des projets, encourager la participation citoyenne et renforcer les dynamiques territoriales. Mais notre expérience avec Les Vélos Marin Martinique nous a confrontés à une réalité bien plus complexe. Loin d’être un simple appui, ces financements conditionnent en profondeur l’orientation des associations. De manière implicite, parfois insidieuse, ils les poussent à se conformer à des logiques souvent éloignées des besoins réels du terrain. Cette dynamique transforme des objectifs qui devraient être , endogènes et ancrés dans les réalités sociales, en projets standardisés . Les critères de sélection de dossiers sont rigides, et le suivi ainsi que la communication des institutions offrant ces financements sont eux-mêmes impersonnels et déconnectés. Ces éléments limitent, voire empêchent, des approches ou des initiatives pourtant porteuses d’un fort potentiel de transformation sociale. Plutôt que de soutenir ces dynamiques organiques, les subventions tendent à les orienter, à les influencer, et de plus en plus souvent, même dès la genèse d’un projet, à les dénaturer.
L’AKAM (Association des Kinésithérapeutes de Martinique) vous convie à une soirée exceptionnelle le jeudi 5 juin 2025 à 19h au cinéma Madiana, pour la projection du court-métrage ANAÏS, un film poignant qui mêle sport, santé et résilience.
— Par Sabrina Solar —
Éditions : Caraïbéditions
— Par Daniel M. Berté —
La chanteuse, comédienne et danseuse Nicole Croisille est décédée le 4 juin 2025 à Paris, à l’âge de 88 ans, des suites d’une longue maladie. Artiste aux multiples talents, elle laisse derrière elle une carrière de plus de six décennies, marquée par une grande diversité de styles et de registres.
Du 3 au 14 juin à la Maison de la Culture Armand Nicolas, Avenue Casimir Banglidor, La Trinité. 
Danemark, Suisse…
— Par Marc Fontecave. & Yves Bréchet (*) —
(Suite du chapitre XIII)
Joséphine Baker, de son vrai nom Freda Josephine McDonald, née le 3 juin 1906 à Saint-Louis, dans le Missouri, aux États-Unis, et morte le 12 avril 1975 dans le 13e arrondissement de Paris, en France, est une chanteuse, danseuse, actrice, meneuse de revue et résistante française d’origine américaine.
Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas en octobre 2023, le terme « génocide » est de plus en plus utilisé par des ONG, des chercheurs, des personnalités politiques et des institutions internationales pour qualifier la politique israélienne à Gaza. Ce mot, historiquement lourd et juridiquement précis, suscite un débat intense et divise fortement l’opinion publique.
— Par Michel Pennetier —
Et si vous pouviez voir Carmen comme les tout premiers spectateurs de 1875 ? Ce lundi soir sur France 4, replongez dans l’éclat d’une époque avec une version exceptionnelle de l’opéra de Bizet, telle qu’elle fut imaginée pour sa création à l’Opéra-Comique. Une expérience rare, conçue comme une véritable machine à remonter le temps.

Pour le colon, le marronnage ancestral est un retour à la vie sauvage, un état antérieur à sa régie du monde. Il ne pouvait pas concevoir une projection dans un autre devenir. Il ne pouvait pas identifier le marronnage créateur du tanbouyé, du danseur, du chanteur, du conteur … Ce fut notre chance.
Un vaudeville en cavale : Labiche ressuscité par Alain Françon et Vincent Dedienne
Linguiste-terminologue canadien originaire d’Haïti, spécialiste de l’aménagement linguistique, Robert Berrouët-Oriol a longtemps travaillé à l’Office québécois de la langue française où il a contribué à l’analyse, au stockage, à la mise à jour et à la diffusion des vocabulaires scientifiques et techniques de la Banque de terminologie du Québec (aujourd’hui dénommée Grand dictionnaire terminologique). Par la suite il a enseigné la linguistique et la terminologie à la Faculté de linguistique appliquée de l’Université d’État d’Haïti. Depuis avril 2021, il est membre du Comité international de suivi du Dictionnaire des francophones, le DDF. Auteur depuis plusieurs années d’articles de vulgarisation linguistique parus en Haïti dans Le National, il a publié en 2011 le livre collectif de référence « L’aménagement linguistique en Haïti : enjeux, défis et propositions » (Éditions de l’Université d’État d’Haïti et Éditions du Cidihca ; ouvrage réédité en France, en 2023, par l’antenne du Cidihca-France). En 2014 il a publié le livre « Plaidoyer pour une éthique et une culture des droits linguistiques en Haïti / Pledwaye pou yon etik ak yon kilti ki tabli respè dwa lengwistik ann Ayiti » (Centre œcuménique des droits humains (Port-au-Prince) et Cidihca (Montréal).