Naissance de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA) le 25 mai 1963
L’Organisation de l’unité africaine (OUA) est une organisation inter-étatique, ayant précédé l’Union africaine. Elle a été créée et présidée par l’empereur Haïlé Sélassié Ier le 25 mai 1963 et dissoute en 2002.
Le 25 mai 1963, 32 États créèrent l’Organisation de l’unité africaine à Addis-Abeba en Éthiopie. Parmi les chefs d’État fondateurs, les avis divergeaient sur sa nature. Les partisans du fédéralisme, menés par le président du Ghana Kwame Nkrumah, s’opposaient aux tenants d’une « Afrique des États » avec à leur tête le président sénégalais Léopold Sédar Senghor. Ces derniers imposèrent leur vision et l’Organisation de l’unité africaine devint un outil de coopération, et non d’intégration, entre les États. Depuis, la Journée mondiale de l’Afrique est célébrée tous les 25 mai.
Durant le même mois, la charte de l’organisation (qui fut rédigée notamment par le président malien Modibo Keïta et le président togolais Sylvanus Olympio quelque temps avant sa mort) fut signée par trente États africains indépendants. Le Togo n’est pas représenté du fait de l’assassinat de son président Sylvanus Olympio par des éléments pro-français ; le président tanzanien Julius Nyerere appelle les autres États africains à ne pas reconnaitre le nouveau régime togolais.

J’ai vu des images, photos et vidéos, d’une célébration du 22 mai en Martinique, sur le site dit du « cimetière des esclaves » de Fonds Saint Jacques. Le mot cimetière me dérangeait encore, parce qu’un cimetière est un lieu où l’on enterre ses morts, ses défunts après un rituel-veillée, une cérémonie et un enterrement. Un lieu où l’on met le corps, ko-a, dans un caveau ou dans la terre après l’avoir retournée, préparée. Et non un trou, une excavation où on lâche des morts sans être préparés pour un voyage aux pays des sans chapeaux.
Le 23 mai est l’une des deux dates nationales françaises consacrées à la mémoire de la traite négrière et de l’esclavage colonial. Cette journée rend hommage aux millions de femmes, d’hommes et d’enfants arrachés à l’Afrique, déportés et réduits en esclavage pendant plus de deux siècles dans les colonies françaises. Reconnu comme
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La ville du Diamant vous invite à découvrir
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Théâtre documentaire – À partir de 16 ans
—- Le n° 395 de « Révolution Socialiste », journal du GRS —
Il est des pages de l’histoire martiniquaise que l’on préfère taire. Celle du 24 mai 1925, au Diamant, en fait partie. Pourtant, ce jour-là, la Martinique a connu l’un des épisodes les plus sanglants de sa vie politique : une véritable guerre électorale, passée sous silence pendant trop longtemps.
Nous sommes français, laïcs, républicains, de toutes opinions. Certains d’entre nous ont l’habitude de s’exprimer à titre collectif. D’autres non. Mais si nous le faisons aujourd’hui ensemble, c’est parce que les circonstances sont particulièrement graves, et qu’il est encore temps d’agir. Nous sommes profondément attachés à l’existence de l’État d’Israël dans des frontières sûres et reconnues, à la création d’un État palestinien démocratique, à la paix et à la coopération entre ces deux entités. Nous avons été horrifiés par les crimes sanglants du Hamas le 7 octobre 2023, et les prises d’otages qui les ont accompagnés. Nous avons considéré que l’État d’Israël était alors en situation de légitime défense.
Paul Rastocle, musicien martiniquais et tanbouyé reconnu, est décédé le mardi 20 mai 2025 à l’âge de 93 ans. Né en janvier 1932 dans le quartier de Lassalle à Sainte-Marie, il a marqué de son empreinte la tradition du bèlè, à laquelle il a consacré la majeure partie de sa vie.
Par Jean-Marie Nol —
— Par Marie Gauthier —
— Par Daniel M. Berté —
Nina Soul Session n’est pas une simple émission musicale : c’est une expérience intime et envoûtante au coeur de la scène artistique martiniquaise. Produite par Windies Prod, ce programme unique donne la parole aux voix qui font vibrer la Martinique, dans un format acoustique élégant et sincère.
Animateur et producteur, il a marqué durant près de quarante ans le paysage audiovisuel martiniquais, d’abord à la radio RV7, puis au sein de RFO Martinique, devenue Martinique La 1ère. Il y a animé de nombreuses émissions culturelles, à la radio comme à la télévision, parmi lesquelles Mélod’hits, Tempo sur RFO, Notes d’hier et d’aujourd’hui ou encore Le grand bain.
— Par
Chapitre XIII