Chapitre XV Le Choc
« La beauté de la mort, c’est la présence. Présence inexprimable des âmes aimées, souriant à nos yeux en larmes. L’être pleuré est disparu, non parti. Nous n’apercevons plus son doux visage; nous nous sentons sous ses ailes. Les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas les absents. »
(Victor Hugo, Discours sur la tombe d’Émilie de Putron, 19 janvier 1865)
L’histoire de l’univers n’avait-elle pas toujours foisonné des tragédies phénoménales, des calamités irracontables, des drames indescriptibles, des cataclysmes inimaginables…? Dans l’antiquité, les peuples germaniques, asiatiques et slaves, communément appelés les guerriers barbares ou les barbares sanguinaires qui envahirent au IIIe siècle l’empire Romain, brûlaient des villages, éventraient des populations parfois paisibles et inoffensives. Il ne faudrait pas oublier non plus les Vikings qui – durant trois centenaires environ – tuaient, pillaient, incendiaient et détruisaient tout sur leur passage. Mais la plus terrible catastrophe, de laquelle la mémorabilité humaine avait atteint sa lettre de noblesse, demeurait sans conteste l’effroyable incendie de Rome par l’empereur Caius, plus connu sous le nom de Néron le tyran, dont la cruauté pouvait se mesurer à l’étendue de l’océan.

— Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
Avec le changement climatique, la montée des eaux est l’une des conséquences qui va toucher les communes du littoral Martiniquais dans leur partie basse. Selon les services de l’État, il y a environ dix mille maisons et immeubles concernés (particuliers, entreprises et collectivités). Dans ce patrimoine bâti, il y a des constructions précaires et des occupants sans titres qui devront faire l’objet de solidarité afin de permettre à ces habitants d’être relogés et régularisés.
— Présenté par Pierre Pastel — Sociologue, auteur de
— Par Jean-Marie Nol —
L’important, c’est la dose !
En Guadeloupe, une crise de l’eau chronique et systémique continue de bouleverser la vie quotidienne de près de 400 000 habitants. Malgré une ressource en eau abondante sur l’île, plus de 60 % des foyers subissent des
— Par Dominique Daeschler —
— Par Dominique Daeschler —
— Par Service-Public —
Préambule : Le Pari d’une Confiance Renouvelée
Serge Letchimy : L’accord sur la Nouvelle Calédonie illustre la voie possible : conjuguer reconnaissance des identités locales et égalité nationale »
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Pollution, eau, biodiversité : la France en queue de peloton européen pour les investissements environnementaux
— Par Sarha Fauré —
« Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit?
« M. Un amour suprême », conception, texte, m.e.s. Gustavo Giacoso, musique: Fausto Ferraiuolo |
— Par Michèle Bigot —
Toutes les fois qu’un homme refuse l’amorphisme du donné, le statu quo accepté sans recul par la foule, pour l’interrogation ou l’action du possible, il incarne au présent, le devenir assumé, il s’érige en forgeur de temps faisant et défaisant l’avenir, conquérant conscient de destin. À l’échelle humaine, le devenir porte toujours l’empreinte de l’attitude active ou passive.
— Par Jean Marie Nol, président du cercle des économistes de la Guadeloupe —
Roda favela, m.e.s. Laurent Poncelet, Cie Ophélia théâtre et O Grupo Pé No Chao, Festival d’Avignon, Le 11 Avignon 24.07.2025
Le Festival de Fort-de-Francede Fort-de-France présente une réinterprétation moderne et originale du célèbre ballet Le Sacre du Printemps de Igor Stravinsky, par la chorégraphe chinoise Yang Liping. Cette version contemporaine mêle danse, traditions chinoises et philosophie bouddhiste tibétaine, offrant une lecture unique et profonde de l’œuvre.