L’Économie Transnationale de la Fraude Académique et la Dévaluation du Capital Symbolique en Haïti
— Patrice Kanndèl Edouard (1) —
RÉSUMÉ
Cet article dévoile la mécanique prédatrice de l’économie transnationale des degree mills, ces officines commerciales qui profitent des failles réglementaires — notamment les exemptions religieuses américaines — pour inonder Haïti de diplômes sans aucune valeur scientifique.
Il met en lumière une véritable épidémie de faux doctorats en Haïti et des fraudeurs infiltrés dans le système éducatif haïtien, un trafic de prestige où des titres low-cost achetés en ligne sont importés pour usurper une autorité intellectuelle dans un système déjà vulnérable. Cette contamination massive dévalorise les diplômes authentiques et sape la confiance du public envers ses élites.
Face à cette imposture généralisée, l’article appelle à une réponse urgente : la création d’un registre national public des diplômes, afin de démasquer les usurpateurs et restaurer l’intégrité du système éducatif haïtien.
I. INTRODUCTION
Imaginez une seconde : vous pénétrez dans une salle d’opération. Le chirurgien est là, debout, calme… mais sans blouse, sans masque, sans gant. Il tient à la main un vieux manuel de biologie de NS1, comme s’il venait d’apprendre sur le tas, et pourtant il insiste pour qu’on l’appelle « Docteur ».


— Par Sarha Fauré —
Comment rendre visible une maladie longtemps ignorée et encore trop mal diagnostiquée ? C’est la question à laquelle tente de répondre Vivre avec l’endométriose, documentaire réalisé par Léa Ménard et produit par « Beau comme les Antilles », avec la participation de France Télévisions – Pôle Outre-mer. Le film, tourné au cœur des territoires ultramarins, sera projeté en avant-première dans plusieurs communes de Martinique début décembre, en présence de la réalisatrice et de Nataly Dabon, patiente experte et présidente de l’association Endo Form 972.
— Par Jean Gabard —
— Par Florent Grabin, Président de l’Association écologique P.U.M.A. —
— Collectif (*) —
— Par Gary Klang —
Pédagogie
—
Les peines prononcées le 17 novembre 2025 dans l’affaire du
— Par Jean-Marie Nol —
— Les Contrechroniques d’Yves-Léopold Monthieux —
— Par Camille Loty Malebranche —
Apprenez à faire face aux risques majeurs : guide complet pour se préparer, protéger ses proches, constituer un kit et adopter les bons réflexes. 


Chaque fin d’année, l’association Clowns Doktè lance une belle campagne solidaire : « Solidarité pou ti Manman », un moment fort de mobilisation et de générosité sur tout le territoire martiniquais. L’objectif ? Sensibiliser au métier de clown hospitalier, rassembler des partenaires et des donateurs, et collecter les fonds nécessaires pour assurer les interventions clownesques dans les hôpitaux pédiatriques de l’île.
Le stage de seconde, effectué pendant 2 semaines consécutives, doit permettre aux élèves :
Un tatouage se traduit par une substance ou une préparation colorante destinée, par effraction cutanée, à créer une marque sur les parties superficielles du corps humain. Cette pratique est réglementée pour éviter les risques sur la santé. Il est conseillé d’en discuter avant avec le professionnel et votre médecin traitant. Si vous êtes mineur, l’accord du parent ou tuteur est nécessaire. Le tatoueur doit être formé, déclarer son activité à l’ARS et informer son client des risques. Vous pouvez signaler tout effet indésirable grave ou non.
Cyberharcèlement, violences physiques et sexuelles, prostitution, chantage, racket, trafic de drogues… Pour faire face à ces situations auxquelles les jeunes peuvent être exposés aujourd’hui, le site de la police et de la gendarmerie nationale « Ma Sécurité » vient d’ouvrir un espace spécifique d’échanges pour les moins de 18 ans : 