Victor Hugo, orateur de la liberté.
— Par Christian Antourel & Ysa de Saint-Auret —
Claude Gueux, c’est d’abord le titre d’un bref roman de Victor Hugo paru en 1834 et dénonçant la peine de mort, mais c’est surtout une critique virulente de l’application des peines. L’histoire est en partie fondée sur des faits réels. Pour avoir volé du pain pour nourrir sa famille, Claude Gueux un homme jeune de 36 ans est emprisonné. C’est un homme doux et à l’âme noble, il a une certaine aura sur les autres prisonniers et s’attire leur respect et leur sympathie. Ce qui lui vaut l’inimitié des geôliers, en particulier monsieur Delacelle, gardien chef qui ne cache pas sa haine farouche envieuse, et impitoyable à son égard.

Entre des réminiscences de Picasso, de Matisse et des nostalgies de Cézanne, Baboo campe une peinture énergique aux confins du figuratif et de l’imaginaire.
Claude Barrère semble avoir pour épouse la lumière et pour muse la mélancolie. Un sentiment de solitude parcourt ses toiles comme un souffle d’air frais et apaisant.
Très connu en Allemagne, grâce à son « Opéra de 4 sous » à la fin des années 1920, Brecht est persona non grata de part ses idées marxistes et se voit contraint à l’exil en 1933, lors de l’arrivée d’Hitler au pouvoir et la montée du nazisme. Commence pour lui une période de quinze longues années où apatride, il erre à travers la Scandinavie du Danemark à la Finlande, aux Etats-Unis puis en Suisse.
La sphère artistique de l’artiste se décline en arc en ciel dans une veine classique accentuant une dimension transformationnelle. Mais le travail d’Alberte Veronie reste perméable à une logique picturale à deux niveaux culturellement imbriqués.
A Madiana
Il semble que l’époque de la screwball comedy (que l’on peut traduire par comédie de cinglés) dans les années quarante, dans le cinéma américain vient de resurgir pour « copains pour toujours 2 ». Mais à ceci près que si la vitesse débridée des dialogues et la liberté de ton restent exceptionnelles, elles relèvent plus d’un humour potache, ou d’adolescents boutonneux, fait d’un mélange bizarre d’éléments et de situations disparates. Les parties et reparties sont mal assorties et perdent d’un coup tout le sens de leur efficacité comique, dans ce burlesque des corps et des situations.

Cette aventure, nous raconte les acteurs en rébellion contre le metteur en scène, refusant l’illusion qu’on leur impose au profit de la sincérité passionnelle.



« Folie » de Marie Vieux-Chauvet