Étiquette : Maud Ameline

« L’Effacement » un film de Karim Moussaoui

Lundi 16 juin à 19h
Par Karim Moussaoui, Maud Ameline
Avec Sammy Lechea, Zar Amir Ebrahimi, Hamid Amirouche | 7 mai 2025 en salle | 1h 33min | Drame
Synopsis
Interdit – 12 ans
Réda vit chez ses parents dans un quartier bourgeois d’Alger. Il occupe un poste dans la plus grande entreprise d’hydrocarbures du pays dirigée par son père, un homme froid et autoritaire. Sous tous ces vernis apparents, Réda dissimule un mal-être profond. Un jour, le père meurt et un événement inattendu se produit : le reflet de Réda disparaît du miroir…
La presse en parle :
CinemaTeaser par Rose Piccin
Dans le rôle principal, Sammy Lachea – qu’on ne connaissait que d’un rôle secondaire dans LE PRIX DU PASSAGE – manie à merveille le curseur de son charisme, jouant tour à tour les garçons effacés et les hommes dangereux.

Franceinfo Culture par Falila Gbadamassi
Le film de Karim Moussaoui est un petit bijou et marque l’éclosion d’un talent brut, celui d’un magnétique Sammy Lechea […].

L’Humanité par Sophie Joubert
Cette utilisation discrète du fantastique donne au film une étrangeté qui, alliée à la sécheresse des paysages, renforce la froideur et le malaise.

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Les passagers de la nuit «  », un film de Mkhaël Hers

Dimanche 12 juin 19h30 Madiana
/ 1h 51min / Drame
Par Mikhaël Hers, Maud Ameline
Avec Charlotte Gainsbourg, Quito Rayon Richter, Noée Abita

Synopsis : Paris, années 80. Elisabeth vient d’être quittée par son mari et doit assurer le quotidien de ses deux adolescents, Matthias et Judith. Elle trouve un emploi dans une émission de radio de nuit, où elle fait la connaissance de Talulah, jeune fille désœuvrée qu’elle prend sous son aile. Talulah découvre la chaleur d’un foyer et Matthias la possibilité d’un premier amour, tandis qu’Elisabeth invente son chemin, pour la première fois peut-être. Tous s’aiment, se débattent… leur vie recommencée ?

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La presse en parle :
L’Humanité par Sophie Joubert
Ni nostalgique ni désenchanté, Mikhaël Hers se fraie un chemin dans une décennie mal-aimée, entre désir de liberté et angoisse du lendemain. Il rend aussi un bel hommage au cinéma à travers le personnage de Talulah et sa fascination pour Pascale Ogier, dont la mort prématurée, en 1984, a révélé la face sombre de l’insouciance

Les Échos par Olivier De Bruyn
Cette fiction sensible s’impose comme l’une des plus belles réussites du printemps.

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