Les passagers de la nuit «  », un film de Mkhaël Hers

Dimanche 12 juin 19h30 Madiana
/ 1h 51min / Drame
Par Mikhaël Hers, Maud Ameline
Avec Charlotte Gainsbourg, Quito Rayon Richter, Noée Abita

Synopsis : Paris, années 80. Elisabeth vient d’être quittée par son mari et doit assurer le quotidien de ses deux adolescents, Matthias et Judith. Elle trouve un emploi dans une émission de radio de nuit, où elle fait la connaissance de Talulah, jeune fille désœuvrée qu’elle prend sous son aile. Talulah découvre la chaleur d’un foyer et Matthias la possibilité d’un premier amour, tandis qu’Elisabeth invente son chemin, pour la première fois peut-être. Tous s’aiment, se débattent… leur vie recommencée ?

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La presse en parle :
L’Humanité par Sophie Joubert
Ni nostalgique ni désenchanté, Mikhaël Hers se fraie un chemin dans une décennie mal-aimée, entre désir de liberté et angoisse du lendemain. Il rend aussi un bel hommage au cinéma à travers le personnage de Talulah et sa fascination pour Pascale Ogier, dont la mort prématurée, en 1984, a révélé la face sombre de l’insouciance

Les Échos par Olivier De Bruyn
Cette fiction sensible s’impose comme l’une des plus belles réussites du printemps.

Les Inrockuptibles par Marilou Duponchel
L’émouvante beauté des Passagers de la nuit tient dans le mystère de ces films qui procurent la sensation de voir se transformer à l’écran le geste le plus insignifiant en un vibrant acte romanesque, l’éclosion sublime de petits riens.

Ouest France par Gilles Kerdreux
Tendre, émouvant et sensible.

Transfuge par Serge Kaganski
[…] un grand film fragile sur les arrachements affectifs (entre amants comme entre parents et enfants), une splendide déambulation urbaine, nocturne et proustienne, un bijou sensoriel […].

Télé 7 Jours par Isabelle Magnier
Voyage nostalgique dans les années 80 (…) cette chronique familiale se double du récit, inattendu, de deux éducations amoureuses. Celle d’Elisabeth (merveilleuse Charlotte Gainsbourg), riche d’une nouvelle liberté, et de Mathias, son fils de 15 ans. « Parfois on met du temps à aimer un film », dit la troublante Talulah. Celui-ci, on l’aime tout de suite.

Télérama par Louis Guichard
Un grand film d’actrices.

Voici par Lola Sciamma
Le jeu quasi chuchoté de Charlotte Gainsbourg colle parfaitement à cette chronique qui tire sa grâce de sa douceur.

aVoir-aLire.com par Claudine Levanneur
Mikhaël Hers nous transporte avec délicatesse au cœur des années 80 et nous propose un voyage intemporel plein d’espoir et de fraternité.

Bande à part par Olivier Pélisson
La petite musique de Mikhaël Hers se déploie dans ce quatrième long-métrage romanesque et bouleversant. Les Passagers de la nuit n’a rien d’un film noir, mais tout d’un cheminement lumineux.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
De son écriture authentique, qui nuance des histoires de réparation et de consolation, avec des personnages qui se relèvent de la mort ou de la séparation, Mikhaël Hers offre à Charlotte Gainsbourg l’un de ses films les plus clairs et doux.

Elle par Thomas Jean
Ce que raconte alors, tout délicatesse, Les Passagers de la nuit, c’est la reconstruction pas à pas d’une quinqua des années 1980 (…).

Femme Actuelle par Amélie Cordonnier
Touchant et tendre.

Franceinfo Culture par Jacky Bornet
Charlotte Gainsbourg est animatrice radio, dans un de ses meilleurs rôles.

L’Obs par Sophie Grassin
Trace du spleen d’une période où le pragmatisme aura eu la peau des idéaux, ce film sensible, saga de nos vies minuscules fondée sur l’imaginaire, ressemble à une étoile filante par ciel couvert.