— Par Jean-Bernard Bayard —
Premier Novembre est la fête de la Toussaint et en 1908 l’anniversaire de mon père voilà cent dix sept ans. En 1919, assassinat de Charlemagne Péralte de deux balles dans le dos d’un lâche marine Américain
Deux Novembre est la fête des morts et en 1802 Mort de Charles Victor-Emanuel Leclerc à l’Île de la Tortue de la fièvre jaune et fut remplacé par Donatien de Rochambeau vaincu de Vertières.
Trois Novembre 1810 André Rigaud provoque la scission du Sud de la République d’Alexandre Pétion.
Quatre Novembre 1997 Hervé Denis devient premier ministre du président René Préval premier mandat.
Cinq Novembre 2003 Mgr. Hubert Constant devient archevêque du Cap-Haïtien, remplaçant Mgr. Gayot.
Six Novembre 1987 Henri Namphy s’autoproclame commandant-en-chef des forces armées d’Haïti.
Sept Novembre 2009 c’est la ratification de la nomination de Jean-Max Bellerive premier ministre.
Huit Novembre 1801 Napoléon Bonaparte fait une mensongère proclamation de ne pas rétablir l’esclavage sur l’Île Saint Domingue munit d’une constitution autonome proclaméepar Toussaint Louverture.
Neuf Novembre 1865 Bombardement du Cap-Haïtien par un navire britanique durant la guerre civile entre Sylvain Salnave et le président Fabre Geffrard violant la souveraineté de la République d’Haïti.

— Par Jean Samblé —
— Par Gary Klang —
Port-au-Prince, 9 octobre 2025 – L’UNICEF tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme sur la situation dramatique des enfants en Haïti. Dans un rapport publié ce jour, intitulé
— Par Jean Samblé —
« Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit?
— Par Jean Samblé —
Un nombre record de près de 1,3 million de personnes ont été forcées de fuir les violences des gangs en Haïti pour trouver refuge ailleurs dans ce pays des Caraïbes, a indiqué mercredi une agence des Nations Unies.
— Par Jean Samblé —
— Par Jean Samblé —
— Par Michel Herland —
Dans le vaste secteur de l’éducation en Haïti, peu d’enseignants, y compris parmi les 17 000 que compte le secteur public, savent véritablement quelle est la mission du
La situation en Haïti se dégrade à un rythme alarmant, frappant durement une population déjà affaiblie par des années de crises politiques et économiques. Depuis fin janvier 2025, le pays, notamment sa capitale Port-au-Prince, est plongé dans une spirale de violence extrême alimentée par des gangs criminels. Les autorités haïtiennes et les organisations internationales tirent la sonnette d’alarme face à l’intensité de cette violence, qui a causé de nombreuses pertes humaines et forcé plus de 10 000 personnes à fuir leurs foyers.
Impunité
Lettre ouverte à Patrick DELATOUR, ministre de la Culture
Jeudi dernier plusieurs associations tenaient une réunion au TOM : regards croisés sur les migrations dans la Caraïbe, après un documentaire poignant sur le calvaire toujours actuel des Dominicain-es expulsé.es vers Haïti,
— Par Robert Berrouët-Oriol(*) —
Le rêve et l’espoir peuvent être perçus comme des représentations positives élaborées par la pensée, qui nous poussent à avancer, à persévérer, à espérer malgré les obstacles et les épreuves, en nous rappelant que quelque chose de meilleur nous attend au bout du tunnel. Par exemple, on entend à chaque fois : que la nouvelle Haïti est pour bientôt. Certains y croient fermement. D’autres n’y croient malheureusement pas, mais soupirent après. D’ailleurs, l’on imagine mal qu’un compatriote puisse y être défavorable face à la tragédie que traverse le pays en ce moment.
— Par Robert Berrouët-Oriol, l
Le rôle des «
La situation en Haïti est aujourd’hui un véritable casse-tête pour la communauté internationale. Le pays est plongé dans un chaos sécuritaire sans précédent, largement dominé par des gangs armés qui contrôlent une grande partie de la capitale, Port-au-Prince, et son environnement. Alors que la Mission multinationale d’appui à la sécurité en Haïti (MMAS) a été déployée pour lutter contre cette menace, elle est en échec. Seules 400 des 2 500 forces promises sont sur le terrain, une situation alarmante pour le pays et la région. En outre, la MMAS souffre d’un manque crucial de financement et d’équipements, ce qui la rend largement inefficace face à des gangs mieux armés et plus organisés.
— Par Lenous Guillaume-Suprice —