« Parasite »de Bong Joon-ho, Palme d’or à Cannes

Les 07 & 08 août 2019 à 19h Madiana V.O.

Avec Song Kang-Ho, Lee Sun-kyun, Cho Yeo-jeong plus
Genre Thriller
Nationalité sud-coréen

Synopsis:
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Toute la famille de Ki-taek est au chômage, et s’intéresse fortement au train de vie de la richissime famille Park. Un jour, leur fils réussit à se faire recommander pour donner des cours particuliers d’anglais chez les Park. C’est le début d’un engrenage incontrôlable, dont personne ne sortira véritablement indemne…

La presse en parle :

20 Minutes par Caroline Vié
Parasite est tellement bien troussé qu’on a envie d’y retourner illico, ne serait-ce que pour en analyser les rouages et voir si l’ensemble tient vraiment la route, même quand on connaît les méandres du récit.

aVoir-aLire.com par Julien Dugois
Bong Joon-ho réinvente le classique « film de maison », avec ses relations vénéneuses entre servants et employeurs, et fabrique un thriller au rythme fou, sans rien perdre de son regard attentif sur la société coréenne. Un coup de génie.

Bande à part par François-Xavier Taboni
Satire sociale et mélange des genres d’une sidérante virtuosité, « Parasite », justement récompensé d’une Palme d’Or, comble toutes nos attentes… et les dépasse.

Cahiers du Cinéma par Stéphane du Mesnildot
Parasite, à l’image des chefs-d’œuvre Memories of Murder, The Host et Mother, est un grand film d’angoisse, imprévisible, agité par les névroses et troué d’incertitudes.

CinemaTeaser par Emmanuelle Spadacenta
Être si humain, si universel, avec un film d’intérieur comme un huis clos, c’est toucher du doigt le pouvoir absolu du cinéma.

Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
« Parasite » est de ce point de vue remarquable, dans son écriture toute progressive, avec un coup de théâtre qui relance le film jusqu’à un climax violent et déroutant.

Culturopoing.com par Carine Trenteun
Huis clos d’une incroyable richesse, constamment surprenant et extrêmement fluide, « Parasite » est une féroce critique sociale sur l’incapacité des individus à coexister, quelle que soit leur classe. Une magnifique Palme d’Or !

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Cette parabole contemporaine sur la lutte des classes est un récit virtuose, à tout instant étonnant. Bong Joon-ho, avec une maîtrise bluffante, pratique le genre du mélange sans incohérence, le brio d’une unité bien pensée.

Écran Large par Simon Riaux
Une nouvelle fois, le cinéaste vise juste, et avec la Palme d’Or qui l’honore, se paie le luxe d’offrir au 7e Art ainsi qu’à Cannes un ambassadeur aussi exigeant qu’accessible, jubilatoire que redoutable.

La Septième Obsession par Thomas Aïdan
Bong Joon-Ho revient, avec « Parasite », à la quintessence de son cinéma, vénéneux, brûlant et nerveux. Quelque chose dans la mise en scène dit toute la folie de son cinéma, étrange, quadrillé comme un plan d’architecture.

La Voix du Nord par Christophe Caron
Bong Joon-ho multiplie les scènes d’anthologie en brossant le portrait d’une frange de la société qui vit « en dessous », qui s’agite la nuit, se nourrit en cachette, dégage une odeur insupportable pour les nantis qui peuplent la surface.