Vous avez acheté une voiture d’occasion, ou vous avez mis votre voiture en réparation, et à la suite de cette opération, des dysfonctionnements persistent ou apparaissent sur le véhicule. Le garagiste est-il responsable ?
Deux affaires posent la question de la responsabilité du garagiste après la constatation d’une panne sur un véhicule.
À la suite d’un achat de voiture d’occasion auprès d’un garage, un client observe des vibrations au niveau du moteur. Le garagiste ne pouvant remédier au problème, le client saisit la justice. La cour d’appel ne reconnaît pas la responsabilité du garagiste car le lien de causalité direct entre une faute du garagiste et les problèmes de la voiture n’est pas démontré.
Dans une autre affaire, la responsabilité du garagiste n’est pas retenue car la panne est fortuite. Son origine, recherchée par d’autres professionnels, est difficilement déterminée avec l’intervention de plusieurs experts. Les juges concluent que la faute ne peut être imputable avec certitude au garagiste.

Vous avez des revenus modestes ? Vous pouvez bénéficier de différentes aides pour alléger le montant de vos factures d’eau, de téléphone, d’électricité et/ou de gaz.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean Samblé —
— Par Jean-Marie Nol —
À partir d’un certain âge, vous pouvez bénéficier de différentes aides financières si vous avez de faibles ressources. Ces prestations peuvent notamment vous être versées pour payer votre loyer, vos dépenses de santé ou des travaux d’adaptation de votre logement liés à votre perte d’autonomie.
Le ministre des Outre-mer, François-Noël Buffet, est actuellement en Martinique pour une visite de quatre jours, coïncidant avec un regain de tensions sur l’île après l’arrestation du leader du mouvement citoyen RPPRAC. Ce déplacement, loin d’apaiser les tensions, suscite au contraire des questionnements sur son efficacité et sa portée réelle, alors qu’un accord sur une baisse des prix a été acté pour début 2025. Pour de nombreux Martiniquais, les mesures promises par le gouvernement peinent à répondre aux attentes et à soulager une population confrontée depuis des années au fléau de la vie chère. »Crise de la vie chère », tel est le terme souvent utilisé pour qualifier les turbulences qui ont marqué la Martinique ces deux dernières mois. Pourtant, l’emploi du terme de « crise du pouvoir d’achat » est plus judicieux dans la mesure où vraisemblablement il n’y aura pas de point final à la vie chère dans un temps court du fait de l’absence de restructuration du modèle économique actuel . En effet, l’on dit souvent qu’il n’y a pas assez de richesses créées en Martinique pour faire face à la crise sociétale en raison de plusieurs facteurs économiques, historiques et structurels.
— Par Jean-Michel Salmon, Maître de conférences en économie, Faculté de Droit et d’Economie de la Martinique. —
— Par Jean Samblé —
Quel sera l’impact sur l’administration politique des territoires d’outre-mer de la nouvelle stratégie géopolitique française en Afrique ?
Le dimanche 10 novembre, plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées dans les rues de Paris pour dénoncer la vie chère qui frappe durement les territoires d’Outre-mer. Ce mouvement de protestation, porté par des associations antillaises et kanakes ainsi que par la diaspora ultramarine, a défilé sous un ciel gris, mais avec une détermination sans faille. Le cortège, marqué par la couleur rouge, symbole de la lutte, s’est élancé depuis la place Denfert-Rochereau, en direction du ministère des Outre-mer.
— Par Jean-Marie Nol —
Pourquoi la gestion de crise de la vie chère n’a pas été à la hauteur des enjeux politiques de la problématique de la vie chère ?
— Par Jean- Marie Nol —
Dans un article pour « Le Monde »
Pourquoi la question de l’autonomie politique ressurgit sur le plan national et local dans le débat économique et social de la vie chère ?
Le groupe Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale a soumis 
— Par Jean Samblé —
—Par
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Samedi soir, l’Assemblée nationale a adopté en première lecture une disposition pour alléger la charge fiscale sur les produits de première nécessité en Martinique et en Guadeloupe. Cette mesure, incluse dans le projet de loi de finances pour 2025, vise à exempter ces produits de TVA dans les deux départements d’outre-mer jusqu’à la fin de l’année 2027. Cette décision fait suite à un accord conclu mi-octobre à Fort-de-France entre l’État et les acteurs de la grande distribution, dans un effort de lutte contre la vie chère, notamment en réduisant les prix de 20 % en moyenne en Martinique.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —