« Goodbye », un film de Atsuko Ishizuka

Par Atsuko Ishizuka
Avec Natsuki Hanae, Yûki Kaji, Ayumu Murase
Titre original Gubbai, Don Gurîzu!
18 janvier 2023 en salle / 1h 35min / Animation, Action, Aventure

Synopsis :
Roma est un jeune garçon qui vit à la campagne. Avec son ami d’enfance Toto ils se font appeler les « DonGlees » et ils organisent un petit spectacle de feu d’artifice tous les étés. A l’issue de sa première année de lycée, Toto revient de Tokyo où il étudie. Un nouveau venu, Drop, se joint aux DonGlees pour filmer avec son drone le spectacle vu du ciel. Mais cette fois-ci, rien ne va, les feux d’artifices ne fonctionnent pas et le drone est emporté par le vent. Au même moment, un feu de forêt se déclenche pour une cause indéterminée. La toile s’affole et blâme les DonGlees. Roma, Toto et Drop partent à la recherche du drone pour prouver leur innocence.

La presse en parle :
20 Minutes par Caroline Vié
« Goodbye » est aussi original que sensible dans sa façon d’évoquer amitié et mortalité.

CNews par Nicolas Cailleaud
Un film d’animation touchant.

Les Fiches du Cinéma par Simon Hoarau
Atsuko Ishizuka signe un récit initiatique empreint de tendresse et de mélancolie, servi par des images splendides.

Voici par La Rédaction
Sorte de Stand By Me version animation japonaise, ce Goodbye touchera en plein cœur petits et grands.

Ecran Large par Déborah Lechner
Dans un premier temps, Goodbye est touchant dans sa simplicité, avant de devenir ronflant à mesure qu’il tente maladroitement d’élever (trop haut) son propos.

L’Obs par X. L.
La première partie s’embourbe dans un scénario entortillé et une impression de déjà-vu. L’épilogue (hélas trop bref) relève en revanche le niveau avec un coup de théâtre aussi inattendu que bouleversant.

Le Figaro par S.C.
Un road-trip plein d’entrain, engourdi dans sa chute par une cascade de mélo.

Le Monde par V. Cau.
La qualité principale du film, dont il tire sa puissance évocatrice et sa beauté, réside dans ce geste qui parvient à unir, dans le même tableau, l’immuable et la fragilité de la jeunesse en devenir.

Première par Thierry Chèze
Goodbye rappelle avec une infinie délicatesse la douleur qui accompagne souvent la sortie de l’enfance.

Télé 7 Jours par Laurent Djian
Tant pis si le dernier acte, mystique, apparaît un peu tire-larmes, on se laisse malgré tout envoûter par son charme mélancolique.

Télérama par Cécile Mury
On pense à l’attachante petite bande du Stand by Me de Rob Reiner, jusqu’au bout, ou presque. Car la conclusion, fastidieux enchaînement de séquences mélo plutôt grandiloquentes, n’est pas vraiment à la hauteur du reste.

Le Journal du Dimanche par Stéphanie Belpêche
Une aventure introspective et mélancolique, un peu trop lacrymale.

Libération par Marius Chapuis
Malgré un beau thème, le film d’Atsuko Ishizuka souffre d’un manque d’identité visuelle et surtout d’un recours systématique à une pop mièvre pour sursignifier les émotions.