« Genèse », un film de Philippe Lesage

Mardi 23 février 19h30 – Dimanche 28 février 19h30 – Madiana

Avec Noée Abita, Théodore Pellerin, Édouard Tremblay-Grenier
10 avril 2019 /
Synopsis :
La naissance des premières amours ébranle trois adolescents dans le tumulte de leur jeunesse. Alors que Guillaume tombe secrètement amoureux de son meilleur ami, sa demi-sœur Charlotte quitte son petit ami pour s’essayer à des rencontres plus libres. A la genèse de ces histoires, dans un camp de vacances, le jeune Félix connaît son premier émoi…

La presse en parle :
CinemaTeaser par Thomas Destouches
Sur le papier, l’éveil amoureux est un sujet classique, rebattu, investi par tant d’auteurs. La force de Lesage tient à sa façon de le magnifier ou, au contraire, de le ramener à une simplicité du geste, du mot, du cadre.

Libération par Jérémy Piette
[…] le second long métrage de fiction de Philippe Lesage – « Genèse », comme une première promesse d’amour – nous détoure avec une délicatesse toute particulière les moindres sentiments bredouilles d’une jeunesse en quête d’affection, avec ses insécurités et ses audaces tête baissée.

La Septième Obsession par David Ezan
« Genèse » est avant tout un film sur l’égarement de la jeunesse et la déception amoureuse qu’incarnent admirablement Théodore Pellerin et Noée Abita, deux âmes esseulées qui ne se croiseront d’ailleurs qu’à deux reprises au cours du film, et ce malgré leurs liens fraternels.

Le Journal du Dimanche par Alexis Campion
Les intrigues restent assez classiques, mais le scénario est d’une grande finesse et les jeunes acteurs sont d’une sublime intensité.

Le Monde par Mathieu Macheret
Philippe Lesage filme leur déshérence et leur incertitude en entremêlant leurs trajectoires sinueuses, à la faveur d’un point de vue distant mais caressant, où une caméra languide balaye l’espace avec douceur.

Le Nouvel Observateur par Xavier Leherpeur
Dénis, troubles douloureux, émois contrariés et cristallisation maladroite du désir hantent ces adolescents lucides et fragiles que la caméra de ce compatriote de Xavier Dolan filme à une distance toujours juste, entre pudeur et complicité.

Les Fiches du Cinéma par Clément Deleschaud
Philippe Lesage trouve, avec son nouveau film « Genèse », une forme suprême de cinéma, lancinant comme une scie, langoureux et volatile comme un chant intime chuchoté à l’orée des sentiments, non pas contre mais tout contre la beauté fugace de l’amour.

Ouest France par La rédaction
Le cinéaste québécois Philippe Lesage confirme son talent pour capter les mouvements du coeur et les tourments adolescents dans cette fresque bouleversante.

Première par Thierry Chèze
« Genèse » est une œuvre sous tension permanente, au plus près de personnages totalement livrés à leur aveuglement amoureux. D’une sensualité à fleur de peau, ses images célèbrent aussi bien les mots que les regards échangés qui disent si bien le trouble, l’envie, la jalousie ou la rage.

Transfuge par Mathieu Champalaune
Sur la mélodie des sentiments, la partition de Philippe Lesage constitue un travail précis et sensible de la variation.

Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Philippe Lesage filme une intimité qui parle au spectateur, comme par connivence. Il trouve le ton : touchant.