— Sabrina Solar —
La Jamaïque se prépare à franchir une étape historique en annonçant son intention de devenir une république, un projet qui pourrait signifier la fin de la monarchie constitutionnelle après plus de six décennies. Le 5 décembre 2024, le gouvernement jamaïcain a présenté un projet de loi visant à abolir la monarchie et à remplacer le roi Charles III par un président jamaïcain en tant que chef d’État. Ce changement, longuement débattu, marque une volonté forte de la part des autorités jamaïcaines de se détacher définitivement de la couronne britannique, un processus qui s’inscrit dans une dynamique de républicanisme croissante dans les Caraïbes.
Un changement mûri et symbolique
Bien que la monarchie en Jamaïque soit un rôle essentiellement cérémonial, son maintien est perçu par de nombreux citoyens comme un vestige du colonialisme britannique. Depuis l’indépendance du pays en 1962, la Jamaïque conserve le monarque britannique comme chef d’État, un arrangement souvent jugé incompatible avec l’idéal d’une nation pleinement souveraine. La ministre des Affaires juridiques et constitutionnelles, Marlene Malahoo Forte, a expliqué que la présentation de ce projet de loi répondait à une volonté populaire exprimée chaque année lors des célébrations de l’indépendance.

— Communiqué de Combat Ouvrier —
Disponible jusqu’au 29/12/2024 sur FranceTV
La question se pose régulièrement de savoir pourquoi il y a un ministre des Outremers (ex-DOM – TOM) puisque nous sommes Français ? Autrement dit, une bonne administration des pays dits des Outremers ne peut elle pas se passer d’un organe de liaison ? La coordination de la gestion de l’outremer par un même département ministériel serait-elle intellectuellement inepte et techniquement inopérante ? En réalité, pour ceux qui conceptualisent cette idée, elle est politique. Même si le bon sens apparent conduit de nombreux candides à y adhérer.
Le n° 376 de « Révolution Sociliste », journal du GRS —
— Communiqué de la CGTM —
Entrée libre (sur réservation au : 0696 38 15 25)
— Par Alain Limery, porte-parole du CNCP —
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Série documentaire (2024 – inédite – 3 x 52 min) – Réalisée par Dan Setton – Écrite par Charles Enderlin – Production Zadig Productions – En coproduction avec France Télévisions
— Par Sarha Fauré —
— Communiqué du CNCP —
Le Cinéclub Palestine Martinique propose, ce mardi 3 décembre Le Sel de la mer, un fim d’Annemarie Jacir, avec Suheir Hammad, Saleh Bakri, Riyad Ideis.
Le président du Conseil exécutif a adressé le 25 novembre 2024 une lettre officielle au préfet de la Martinique pour réagir aux propos de Jean-Christophe Bouvier. Lors d’une émission diffusée sur Martinique La 1ère le 20 novembre 2024, ce dernier a remis en question l’existence de projets structurants menés par les élus martiniquais, affirmant que les Martiniquais n’avaient jamais su travailler ensemble pour élaborer un projet d’avenir.
Le rôle des «
— Par Jean Samblé —
La situation en Haïti est aujourd’hui un véritable casse-tête pour la communauté internationale. Le pays est plongé dans un chaos sécuritaire sans précédent, largement dominé par des gangs armés qui contrôlent une grande partie de la capitale, Port-au-Prince, et son environnement. Alors que la Mission multinationale d’appui à la sécurité en Haïti (MMAS) a été déployée pour lutter contre cette menace, elle est en échec. Seules 400 des 2 500 forces promises sont sur le terrain, une situation alarmante pour le pays et la région. En outre, la MMAS souffre d’un manque crucial de financement et d’équipements, ce qui la rend largement inefficace face à des gangs mieux armés et plus organisés.
Lettre ouvert de Gary Klang au Président Macron