Vous n’avez pas reçu votre carte électorale ? Vous l’avez égarée ? La carte d’électeur prouve que vous êtes bien inscrit sur la liste électorale de la commune où vous allez voter. Pour déposer votre bulletin dans l’urne, vous devrez justifier de votre identité. On vous explique.
La carte d’électeur permet de prouver son inscription sur listes électorales. Elle contient des informations comme par exemple l’adresse et le numéro de votre bureau de vote, ainsi que votre numéro national d’électeur, nécessaire pour établir une procuration. Vous pouvez également retrouver ces informations en ligne.
Votre carte électorale vous est envoyée par voie postale au plus tard 3 jours avant l’élection. Si vous ne l’avez pas reçue, vous pourrez la récupérer en bureau de vote sur présentation d’une pièce d’identité.
Le jour du vote, il est recommandé de se présenter muni de sa carte électorale mais elle est facultative. Si vous ne l’avez pas, vous pourrez quand même voter à condition de présenter une pièce d’identité.
Attention
Votre pièce d’identité doit être en cours de validité (à l’exception de la carte nationale d’identité et du passeport qui sont également acceptés s’ils sont périmés depuis moins de 5 ans).

Au premier tour des élections législatives 2024 en Guadeloupe, le RN a présenté des candidats dans les quatre circonscriptions. Il a recueilli 17016 voix. Il a qualifié 4 de ses candidats (titulaires et remplaçants) pour le deuxième tour, dans les 2ème et 3ème
Alors que la France s’apprête à voter, il est essentiel de comprendre les conséquences de nos choix.
1. *Engagement pour la justice sociale* : Béatrice Bellay est connue pour son dévouement envers les causes sociales et son combat pour réduire les inégalités. Elle propose des politiques visant à améliorer la qualité de vie des citoyens les plus vulnérables.
La Martinique a eu beau ne pas voter aux élections européennes et voter très peu au
— Par Sabrina Solar —
Port-Prince/ New-York, le 2 juillet 2024 – Alors que les violences perpétrées par les groupes armés se poursuivent à Haïti, le nombre de déplacements d’enfants à l’intérieur du pays a augmenté de 60 % depuis le mois de mars, soit un rythme équivalent à un enfant déplacé chaque minute.
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— Par Jean Samblé —
Dans une tribune au « Monde », un collectif de plus d’un millier d’universitaires et de chercheurs d’horizons politiques différents, dont Patrick Boucheron, Antoine Lilti, Pierre Nora, Mona Ozouf et Michelle Perrot, appelle la France à ne pas tourner le dos à son passé et à faire battre le Rassemblement national au second tour.
— Par Sarha Fauré —
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Communiqués de presse —
Où tout a commencé ! Un lundi comme un autre, un 13 pour les superstitieux, ou rien ne laissait présager que la douceur de vivre de ce magnifique territoire du bout du monde allait être le théâtre d’une première nuit cauchemardesque ou dès le coucher du soleil la folie des hommes allait embraser la douceur d’une nuit de fin d’été en remettant en cause un processus de pacification commencé il y a tout juste 36 années. Au lendemain des douloureux événements aux cicatrices indélébiles. Avec le temps et l’espoir né du pacte scellé entre des hommes de bonne volonté, ou chacun s’était approprié un morceau du devoir faire vivre ce désir de construire un avenir commun. Dont il fallait valider chaque étape pour tendre vers une citoyenneté calédonienne partagée. 
— Par Stéphane François(*) —
— Par Sarha Fauré —
Vous êtes un agent de la fonction publique de l’État ou de la fonction publique territoriale ? Si vous empruntez un transport collectif gratuit entre votre domicile et votre lieu de travail, vous pouvez désormais bénéficier du forfait mobilités durables. Vous n’étiez jusqu’alors éligible à ce dispositif que si vous vous rendiez au travail en vélo, en motocyclette ou encore en trottinette électrique.
À l’approche des vacances d’été, On vous rappelle les recommandations de Santé Publique France lors des baignades.
Depuis le 9 juin et la dissolution de l’Assemblée nationale, le monde de la politique frissonne d’inquiétude et le monde économique est plongé dans un très grand malaise. Le président Emmanuel Macron a récemment exprimé ses préoccupations concernant la montée des extrêmes en France, allant jusqu’à évoquer la possibilité d’une guerre civile. Dans plusieurs interviews et podcasts, le chef de l’État a mis en garde contre une prise de pouvoir par l’Assemblée nationale par les partis extrémistes, soulignant les risques d’une fracture profonde de la société française en déficit d’autorité. La notion d’autorité s’imposera qu’on le veuille ou non comme le fil conducteur de la recomposition politique de la société française pour plusieurs raisons fondamentales : L’érosion de l’autorité est manifeste dans plusieurs sphères de la société française. Dans les familles, les parents éprouvent des difficultés à exercer leur autorité face à des enfants influencés par les médias et les nouvelles technologies. Dans les écoles, les enseignants luttent pour maintenir la discipline et l’engagement des élèves. Dans le monde du travail, la relation entre employeurs et employés est souvent marquée par un manque de respect et de reconnaissance.
La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) publie aujourd’hui son 34e rapport annuel sur la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie.