— Par Sabrina Solar —
La Guyane traverse actuellement une crise sans précédent en raison d’une sécheresse exceptionnelle qui frappe particulièrement les régions amazoniennes du sud, notamment le bassin du Maroni. Le niveau des fleuves est tombé à un étiage « alarmant », un phénomène rare qui rend la navigation presque impossible. Cette situation, exacerbée par le phénomène El Niño et le dérèglement climatique, prive près de 40 000 habitants des communes isolées du Haut-Maroni et du Haut-Oyapock d’accès aux ressources essentielles, telles que l’eau potable, les vivres et le carburant.
Dans des villes comme Maripasoula, la plus grande commune du Haut-Maroni, les pénuries sont particulièrement sévères. Les prix des produits de première nécessité ont explosé, avec des packs d’eau atteignant jusqu’à 17 euros, et des bouteilles de gaz à 100 euros. La situation est d’autant plus grave dans les villages les plus reculés, où l’accès à l’eau devient critique. Les forages alluvionnaires, qui dépendent des nappes alimentées par les fleuves, ne fonctionnent plus correctement en raison de la baisse du niveau de l’eau. Les habitants, notamment ceux des villages amérindiens de la commune de Maripasoula, doivent désormais compter sur l’eau des criques pour leur hygiène quotidienne, mais cette eau n’est souvent pas potable.

Usurpation d’identité, violences à caractère sexiste ou sexuel, harcèlement scolaire… Le 7 novembre est la Journée nationale de lutte contre le harcèlement. Elle a pour thème cette année : « Ton problème, c’est mon problème ». On vous rappelle que le 3018 est un numéro unique destiné aux jeunes victimes de harcèlement et de violences numériques.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) déconseille d’utiliser des produits à base d’acide glyoxylique utilisés pour lisser les cheveux, à la suite de 4 signalements recensés depuis le début de l’année 2024.
— Par Sabrina Solar —
« La véritable connaissance n’est pas une accumulation du savoir ;
En Martinique, 1 jeune sur 4 est NEET (ni en emploi, ni en études, ni en formation).
Études psychanalytiques
— Par Jean-Marie Nol —
Dans sa recherche de 60 milliards d’économies dont 14 sur la Sécu, Barnier va très certainement trouver, avec le récent rapport de la Cour des Comptes (CC) qui étrille la CGSSM (caisse générale de Sécurité sociale de Martinique), matière en Martinique, à sa politique d’économies et d’austérité.
Avec un taux de croissance de
Au dix-septième siècle, ce sont des kalinagos qui peuplaient la Martinique. Un jour ils constatèrent l’arrivée de grands navires transportant des blancs venus de France. Désirant s’établir sur l’île, les français ont débarqué et exterminé tous les habitants. Ce massacre leur a permis de s’approprier toutes les terres. Pour leur exploitation, ils ont importé d’Afrique des « animaux à deux pieds », ils en ont fait des esclavisés. Le travail de ces êtres humains leur a permis de produire du sucre, du chocolat, exportés à la cour du roi de France. De ce fait ils sont devenus riches grâce au rude labeur de leurs esclavisés.
Pourquoi la gestion de crise de la vie chère n’a pas été à la hauteur des enjeux politiques de la problématique de la vie chère ?
— Le n° 369 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
— Par Jean- Marie Nol —
Dans un article pour « Le Monde »
A l’occasion des 80 ans de ce massacre à Thiaroye, près de Dakar, de tirailleurs africains, dans une
Pourquoi la question de l’autonomie politique ressurgit sur le plan national et local dans le débat économique et social de la vie chère ?
Le groupe Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale a soumis
Le festival ALIMENTERRE a vu le jour en 2007 dans un cinéma parisien. Depuis, il est devenu un évènement international sur l’alimentation durable et solidaire organisé chaque année du 15 octobre au 30 novembre. Autour d’une sélection de films documentaires, il amène les citoyens à s’informer et comprendre les enjeux agricoles et alimentaires en France et dans le monde, afin qu’ils participent à la co-construction de systèmes alimentaires durables et solidaires et au droit à l’alimentation.
Larbi Ben M’hidi, né en 1923 à Aïn M’lila dans le Constantinois, est une figure emblématique du nationalisme algérien. Sa vie, marquée par un engagement profond pour la liberté de son pays, le conduit à devenir l’un des principaux architectes de l’indépendance algérienne. En 1954, il est l’un des fondateurs du Front de libération nationale (FLN), jouant un rôle clé lors du déclenchement de la guerre d’Algérie.
Le bilan provisoire est actuellement de 
— Par Sabrina Solar —