Le républicain est désormais certain d’être le 45e président américain même si son adversaire démocrate l’a devancé de plus de 180.000 voix. Explications.
Il s’est posé en adversaire du système et c’est pourtant ce système qui permet à Donald Trump de devenir président des Etats-Unis. Alors qu’il a remporté plus de 270 grands électeurs, soit plus que la majorité absolue nécessaire pour être élu, Hillary Clinton, qui a reconnu ce soir sa défaite, a pourtant obtenu davantage de voix dans les urnes: 59.483.240 pour la candidate démocrate contre 59.294.288 pour le Républicain.
Une situation qui peut surprendre de ce côté de l’Atlantique, mais qui n’en est pas moins parfaitement légale: pour devenir président des États-Unis, le 12e amendement de la Constitution américaine stipule qu’un candidat doit remporter l’assentiment d’au minimum 270 grands électeurs composant le «Collège électoral», soit les 538 grands électeurs répartis à travers les 51 États américains et le district de Columbia. En revanche, la Constitution ne contraint pas le candidat à obtenir la majorité dans les urnes…
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Dès le mois de juillet, le documentariste américain Michael Moore prédisait la victoire du milliardaire républicain. Son article ne cesse d’être partagé sur les réseaux sociaux ce mercredi matin, depuis que son présage est devenu réalité.
La réponse de la Cour de cassation était très attendue. L’Etat a définitivement été condamné ce mercredi pour des contrôles d’identité discriminatoires. La juridiction a estimé dans un communiqué qu’il lui revenait de « démontrer l’absence de discrimination » quand une personne contrôlée dispose d’« éléments » laissant en présumer l’existence.
Les commentateurs et l’opinion publique qu’ils influencent, presque unanimement, parlent de séisme à propos de l’élection de Donald TRUMP. Selon eux, il y a quelques semaines encore, il était absolument impensable d’imaginer sa victoire. Celle-ci n’a en réalité rien de surprenant. Elle confirme, au contraire, qu’à l’échelle internationale, la démocratie représentative – même si elle n’était souvent qu’une façade – laisse de plus en plus place à la dictature des marchés. Quand un Donald remporte une élection présidentielle cela ne fait qu’illustrer la prise directe du pouvoir politique par les « Picsous ».
Lettre ouverte à Monsieur Le Président du Conseil Régional
Le mardi 8 novembre 2016, le 45 ème président des États-Unis sera élu, au terme d’une campagne électorale au cours de laquelle le républicain Donald Trump et la démocrate Hillary Clinton auront davantage brillé par leurs « dérives » et leurs « affaires »que par une véritable vision d’avenir pour la première puissance économique du monde.
La Guadeloupe et la Martinique vont connaître fin 2017 une période charnière de leur histoire entre un monde qui se meurt et le nouveau qui se cherche. La capacité de nos pays à s’adapter à ce changement déterminera grandement leur avenir économique, démographique, social et sociétal.
Depuis le XVe siècle, la France, à l’instar d’autres pays d’Europe, s’est aventurée sur les mers. À mesure que les navigateurs, nourris d’angoisses et de fantasmes, descendaient vers ce qu’ils avaient cru être les limites du monde – et qu’ils y découvraient des peuples différents –, apparaissait le préjugé de couleur qui servirait de justification facile à l’esclavage et à la colonisation.
Cinquante ans après la disparition de Freinet, son mouvement est toujours vivant !
Beaucoup parmi les partisans de la fusion du Département et de la Région au sein d’une collectivité unique baptisée C.T.M. ne voulaient y voir que des avantages : fin des chevauchements de compétences et des financements croisés entre ces deux collectivités de plein exercice ,économie de moyens humains, matériels et financiers, plus grande cohérence dans la définition et la conduite des politiques suivies ,poids plus important vis-à-vis des représentants de l’ETAT.
Depuis une semaine, je ne peux me défaire d’un profond malaise qu’il me faut partager avec vous aujourd’hui. Le jeudi 20 octobre 2016, sur France 2, chaîne télévisée du service public français, l’Émission politique recevait sur son plateau Bruno Lemaire. Le candidat à la primaire de la droite et du centre eut maille à partir avec Ghislaine Joachim Arnaud, syndicaliste martiniquaise, qui insistait pour qu’il cesse de l’appeler par son prénom et l’interpellait sur le caractère ultralibéral de son programme économique. De cette séquence, on ne retient plus aujourd’hui que l’hilarité du public, lorsqu’elle a comparé le discours de M. Lemaire à du « pipi de chat ». La scène, admettons, fut assez cocasse. Admettons. C’est la semaine suivante que j’ai été saisie par une forte inquiétude, lorsque les mêmes rires ont retenti dans l’assistance au cours de l’intervention d’Elie Domota, qui répondait dans les mêmes conditions et avec la même énergie au candidat François Fillon. L’ex Premier ministre français avait soulevé l’indignation de descendant.e.s d’esclavagé.e.s et de colonisé.e.s fin août 2016 en déclarant :
Après le demi-siècle de rattrapage économique et social qu’a connu la zone Antilles des années 1960 aux années 2000, nos régions de Martinique et Guadeloupe connaissent aujourd’hui des difficultés économiques inédites, dans un contexte hexagonal Français dépressif et un environnement mondial toujours plus incertain, caractérisé par un ralentissement de la croissance, y compris dans les pays émergents.
Un décret publié pendant la Toussaint (!) autorise désormais la création d’un immense fichier regroupant les données personnelles de 60 millions de Français. Nombreux sont ceux qui s’opposent aujourd’hui à son instauration. Explications.
TU PARLES BIEN LA FRANCE
… et la liste des droits et des libertés à conquérir est encore longue : égalité de salaire entre les femmes et les hommes, réglementation du porno, et pourquoi pas un duo présidentiel. Chabadabada.
Piracicaba (Brésil) – Une ville du Brésil s’est lancée dans la production industrielle d’une arme d’éradication massive du virus Zika: des moustiques mutants assoiffés de sexe qui exterminent en copulant.
L’insurrection de Budapest ou révolution de 1956 (en hongrois : 1956-os forradalom) désigne la révolte nationale spontanée contre la République populaire de Hongrie et ses politiques imposées par l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) qui dura du 23 octobre au 10 novembre 1956.
—Propos recueillis par Sébastien Crépel —