— Par Max Dorléans (GRS) —
La critique que nous formulions il y a quelques années au sujet de l’attribution par la CTM d’une subvention de 15000 € à tout jeune martiniquais (diplômé) pour venir s’installer au pays, vaut également sur le fond, pour l’attribution de terres à des jeunes dans l’agriculture.
Non pas que nous soyons, loin de là, opposés à cette attribution de terres (nous n’avons cessé, dans d’autres cadres, d’exiger de cette institution, sous Marie- Jeanne et Lise notamment, de puiser dans sa banque de terres pour en mettre à la disposition de jeunes ou pas, désirant faire de l’agriculture leur activité professionnelle), mais plus prosaïquement, il nous semble que ce type de mise à disposition risque de n’avoir pas l’effet recherché – l’autonomie alimentaire – si elle ne s’inscrit pas dans un plan global (un concept qui fâche les libéraux) visant l’intérêt général.
En effet s’il importe de produire de quoi nourrir la population, et de réduire, ce faisant, notre dépendance alimentaire, une agriculture visant prioritairement la satisfaction des besoins alimentaires de la population, ne peut pas se contenter de productions agricoles pensées individuellement et déconnectées du choix d’autres agriculteur/trices, c’est-à-dire sur la base de choix strictement personnels visant l’intérêt individuel.

La cercosporiose noire, ou maladie des raies noires, est l’une des maladies les plus redoutables pour les cultures de bananes, causée par le champignon Pseudocercospora fijiensis. Depuis sa détection en Martinique en 2010, cette maladie a fait des ravages dans toutes les zones de production bananière de la planète, représentant un véritable défi économique, écologique et social pour les producteurs locaux. Elle touche toutes les variétés de bananes cultivées, telles que la banane créole, les freyssinettes, les figues-pommes et le kokambou.
Pourquoi vouloir analyser uniquement le phénomène de l’exil des jeunes sur le plan politique et sociologique est une erreur ?
Impunité
— Par Max Casimir —
oberta Flack, née le 10 février 1937 à Black Mountain, en Caroline du Nord, est décédée le 24 février 2025 à New York, à l’âge de 88 ans, des suites de la maladie de Charcot, après plusieurs années de lutte contre cette maladie. La voix grave et intime de Roberta Flack a marqué les années 1970 et demeure une des plus puissantes de la musique américaine, ayant profondément influencé la soul, le jazz et le folk. Sa carrière, exceptionnelle tant par sa longévité que par son originalité, s’est forgée à travers des succès incontestés comme *The First Time Ever I Saw Your Face*, *Killing Me Softly with His Song*, *Feel Like Makin’ Love* et *Where Is The Love*, son célèbre duo avec Donny Hathaway.
Beau Comme une Image, en coproduction avec France Télévision et Martinique la 1ère, présente le documentaire « Ma Roots », réalisé et conçu par Mark Sylver Junsunn Lo, et produit par Frédéric Tyrode Saint-Louis. Ce film de 52 minutes nous plonge dans l’histoire vivante et vibrante de la rue Perrinon, au cœur de Fort-de-France, surnommée « la rue des Rastas ». À travers des archives, des faits divers et des témoignages, « Ma Roots » nous invite à découvrir l’évolution de ce quartier populaire emblématique de la capitale martiniquaise.
— Par Claire Dumas & Éric Trably.(*) —
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Bertrand CARUGE avait 62 ans. 
Le documentaire 
Nous avons appris, avec une grande tristesse, le décès de Frankétienne, ce pilier incontournable de la culture haïtienne, survenu le 20 février 2025 à l’âge de 89 ans. Né Jean-Pierre Basilic Dantor Franck Étienne d’Argent le 12 avril 1936 à Ravine-Sèche, dans l’Artibonite, il laisse derrière lui une œuvre multiple et marquante, qui fait de lui l’un des plus grands écrivains et artistes haïtiens contemporains.
— Par Jean-Marie Nol —
Le scandale des airbags Takata, qui touche des millions de véhicules à travers le monde, continue de faire des ravages en France, en particulier dans les territoires d’Outre-mer. En effet, près de 100.000 véhicules, dont une large part des modèles Citroën C3 et DS3, fabriqués entre 2009 et 2019, sont équipés de ces airbags défectueux. Ces dispositifs, qui doivent normalement protéger les conducteurs en cas d’accident, présentent un danger mortel lorsqu’ils se déclenchent. En effet, des fragments métalliques peuvent être projetés avec une violence extrême, causant des blessures graves et, dans certains cas, des décès. Depuis le début du scandale, plusieurs victimes ont perdu la vie, en grande partie dans les départements d’Outre-mer où les conditions climatiques (forte chaleur et humidité) accélèrent la dégradation des airbags.
— Par Yacine Amara.
— Par Sabrina Solar —
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Dans un
— Par Jean-Marie Nol —
« En Haïti, la corruption généralisée au Fonds national de l’éducation
— Par Gilles Bonnet(*) —
— Par Jean-Marie Nol —