— Par Max Casimir —
Deux blessures ouvertes dans le corps de mes souvenirs : les premiers de ses souvenirs sont bien enracinés dans le temps où tous les défis étaient envisageables..
Frank, par sympathie, tu nous permettais de t’appeler par ton prénom. Frankétienne, ton nom d’écrivain, de peintre était en gestation.
Accueillis à ton domicile dans une classe de « philo » expérimentale, tu nous a appris la beauté des nuances et l’efficacité de l’exactitude. Tes leçons érigées en méthode ont été pour nous, d’une grande utilité dans notre parcours universitaire.
Trente années plus tard, en 1994, lors de ta première visite en Martinique, j’ai été désigné par le Professeur Jean Bernabé pour prononcer les mots d’accueil à la faculté des lettres de l’ U.A.G. et j’ai encore gravé dans ma mémoire l’émotion lue sur les traits de ton visage à l’écoute notamment de ma conclusion : « quelle bonne nouvelle vous nous apportez Frankétienne ? ». Cette assimilation à un oiseau de bon augure t’allait à merveille. A toi qui dans les moments de rupture et d’incertitude a toujours su trouver les bonnes formules, les gestes bienveillants pour baliser et éclairer les chemins.

oberta Flack, née le 10 février 1937 à Black Mountain, en Caroline du Nord, est décédée le 24 février 2025 à New York, à l’âge de 88 ans, des suites de la maladie de Charcot, après plusieurs années de lutte contre cette maladie. La voix grave et intime de Roberta Flack a marqué les années 1970 et demeure une des plus puissantes de la musique américaine, ayant profondément influencé la soul, le jazz et le folk. Sa carrière, exceptionnelle tant par sa longévité que par son originalité, s’est forgée à travers des succès incontestés comme *The First Time Ever I Saw Your Face*, *Killing Me Softly with His Song*, *Feel Like Makin’ Love* et *Where Is The Love*, son célèbre duo avec Donny Hathaway.
Beau Comme une Image, en coproduction avec France Télévision et Martinique la 1ère, présente le documentaire « Ma Roots », réalisé et conçu par Mark Sylver Junsunn Lo, et produit par Frédéric Tyrode Saint-Louis. Ce film de 52 minutes nous plonge dans l’histoire vivante et vibrante de la rue Perrinon, au cœur de Fort-de-France, surnommée « la rue des Rastas ». À travers des archives, des faits divers et des témoignages, « Ma Roots » nous invite à découvrir l’évolution de ce quartier populaire emblématique de la capitale martiniquaise.
Le ralentissement de l’économie française est préoccupant pour la stabilité économique et sociale de la Guadeloupe.
— Par Claire Dumas & Éric Trably.(*) —
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Bertrand CARUGE avait 62 ans. 
Le documentaire 
Nous avons appris, avec une grande tristesse, le décès de Frankétienne, ce pilier incontournable de la culture haïtienne, survenu le 20 février 2025 à l’âge de 89 ans. Né Jean-Pierre Basilic Dantor Franck Étienne d’Argent le 12 avril 1936 à Ravine-Sèche, dans l’Artibonite, il laisse derrière lui une œuvre multiple et marquante, qui fait de lui l’un des plus grands écrivains et artistes haïtiens contemporains.
— Par Jean-Marie Nol —
Le scandale des airbags Takata, qui touche des millions de véhicules à travers le monde, continue de faire des ravages en France, en particulier dans les territoires d’Outre-mer. En effet, près de 100.000 véhicules, dont une large part des modèles Citroën C3 et DS3, fabriqués entre 2009 et 2019, sont équipés de ces airbags défectueux. Ces dispositifs, qui doivent normalement protéger les conducteurs en cas d’accident, présentent un danger mortel lorsqu’ils se déclenchent. En effet, des fragments métalliques peuvent être projetés avec une violence extrême, causant des blessures graves et, dans certains cas, des décès. Depuis le début du scandale, plusieurs victimes ont perdu la vie, en grande partie dans les départements d’Outre-mer où les conditions climatiques (forte chaleur et humidité) accélèrent la dégradation des airbags.
— Par Yacine Amara.
— Par Sabrina Solar —
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Dans un
— Par Jean-Marie Nol —
« En Haïti, la corruption généralisée au Fonds national de l’éducation
— Par Gilles Bonnet(*) —
— Par Jean-Marie Nol —
Eu égard aux perspectives, les moments de pause de la mobilisation revendicative sont toujours propices aux questionnements. 
Du 13 au 15 février 1945, la ville de Dresde, l’une des plus belles cités d’Allemagne, est ravagée par une pluie de bombes incendiaires et explosives. L’attaque, menée par les forces aériennes anglo-américaines, marque un tournant dans la guerre aérienne de la Seconde Guerre mondiale. Jusqu’alors épargnée par les bombardements, Dresde, surnommée « la Florence de l’Elbe » en raison de ses trésors artistiques et architecturaux, devient la cible d’une destruction systématique.