Les étudiants, sauf cas particuliers, doivent payer la contribution vie étudiante et de campus (CVEC) destinée à améliorer les conditions de vie sur les campus. Vous devez la régler avant de procéder à votre inscription dans un établissement d’enseignement supérieur sur une plateforme numérique dédiée. Pour l’année universitaire 2023-2024, son montant est de 100 €.
Qui est concerné ?
Chaque étudiant en formation initiale dans un établissement d’enseignement supérieur doit s’acquitter de cette contribution avant de s’inscrire. S’il s’inscrit au titre d’une même année universitaire à plusieurs formations, cette contribution n’est due que lors de la première inscription.
Cependant, certains étudiants ne sont pas concernés et n’ont aucune attestation à fournir :
- les étudiants inscrits en lycée dans des formations BTS, DMA ou comptables ;
- les personnes en formation continue ;
- les étudiants en échange international en France.
Et d’autres étudiants en sont exonérés :
- les boursiers (bourses sur critères sociaux gérées par le Crous, bourses versées par les régions et bourses du gouvernement français) ou bénéficiaires d’une allocation annuelle accordée dans le cadre des aides spécifiques annuelles ;
- les étudiants réfugiés ;

Le gouvernement français a récemment lancé une campagne de sensibilisation sans précédent sur l’inceste et les violences sexuelles envers les enfants. Cette campagne, qui a été dévoilée par la secrétaire d’État chargée de l’Enfance, Charlotte Caubel, vise à mettre en lumière un problème alarmant : toutes les trois minutes, un enfant est victime d’inceste, de viol, ou d’agression sexuelle en France, et cela se produit souvent au sein de leur propre famille. Il s’agit de la première campagne gouvernementale à utiliser le terme « inceste » et à aborder ouvertement ces violences au sein des familles.
La précarité étudiante en France atteint des niveaux alarmants, selon une étude menée par Cop1 Solidarité étudiante en partenariat avec l’Ifop. Près de la moitié des étudiants (46 %) ont déjà sauté un repas en raison de l’inflation croissante des prix. Cette situation met en lumière la vulnérabilité économique croissante des étudiants, qui sont touchés par la hausse des coûts de la vie. Parmi les étudiants, 36 % envisagent d’avoir recours à l’aide alimentaire pour subvenir à leurs besoins.
Le repas Crous à 1 €, une initiative mise en place en 2020, est maintenu par l’État pour l’année universitaire 2023/2024. Cette mesure vise à aider les étudiants à faire face à l’augmentation des coûts liée à l’inflation, une préoccupation particulièrement pressante pour cette population. Cette offre est accessible à deux catégories d’étudiants : les boursiers et ceux en situation de précarité.
Les crèches privées en France ont connu une croissance significative depuis leur introduction au début des années 2000, boostée par des subventions publiques. Cependant, ces établissements font aujourd’hui l’objet de critiques sévères, allant des carences alimentaires à la maltraitance envers les enfants. Dans cet article, nous allons examiner en détail cette situation complexe, en mettant en lumière les facteurs qui ont contribué à l’essor des crèches privées, les dysfonctionnements et les critiques qui les entourent, ainsi que les mesures prises par le gouvernement pour y remédier.
Le Mouvement du Nid 972, dans le cadre de son projet « Si Mwen Té Sav, » mène une enquête en Martinique pour lutter contre la prostitution des jeunes et des mineur·es. Cette enquête vise à recueillir des informations sur la réalité de cette problématique sur le territoire martiniquais, considérée comme alarmante et nécessitant une action immédiate. Les responsables du Mouvement du Nid 972 soulignent l’importance de briser le cycle d’exploitation associé à la prostitution des jeunes.
Dans les restaurants universitaires gérés par les Crous, les repas sont à 1 € pour les étudiants boursiers, mais aussi pour les non-boursiers en situation de précarité. Pour ces derniers, il est dès à présent possible de faire une demande auprès du réseau des Crous pour bénéficier de ce tarif préférentiel pendant l’année universitaire 2023-2024.
La Martinique est confrontée à un défi de taille en matière d’illettrisme, une problématique qui prend une ampleur préoccupante au sein de sa population. Alors que les 10èmes journées nationales d’action contre l’illettrisme débutent le 8 septembre, il est crucial de se pencher sur cette réalité alarmante qui touche un grand nombre de Martiniquais.
La plateforme JeVeuxAider.gouv.fr lance pour la quatrième année consécutive l’opération «
La question de la qualité des services de petite enfance en France est au cœur des préoccupations, comme le révèlent plusieurs études réalisées ces derniers mois. Elles mettent en lumière une série de problèmes préoccupants qui touchent à la fois les crèches publiques et privées, suscitant des inquiétudes quant à la sécurité et au bien-être des enfants.
Les inégalités scolaires en France représentent un défi majeur pour le système éducatif et la société dans son ensemble.
L’illettrisme, la difficulté ou l’incapacité à lire et écrire correctement, demeure un problème majeur en Martinique. Les Journées Nationales d’Action contre l’Illettrisme (JNAI), initiées par l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI), représentent une campagne nationale visant à sensibiliser à cette question. La 10e édition de ces journées, prévue du 8 au 15 septembre 2023, porte le thème « Illettrisme, en parler pour avancer », incitant à la libération de la parole autour de cette problématique, tant en France qu’en Martinique.
Un collectif d’écrivains, d’intellectuels, d’artistes… – dont
Le ministère de la Culture a lancé une campagne de valorisation des bibliothèques en Martinique, et ailleurs, intitulée « Ma bibliothèque : le monde à portée de main. » Cette campagne vise à promouvoir les bibliothèques en tant qu’espaces culturels de proximité avec une offre diversifiée pour tous les publics. Plusieurs actions et initiatives sont proposées pour soutenir cette campagne :
La durée d’affiliation à la Sécurité sociale requise pour bénéficier des indemnités journalières liées à un congé de maternité, de paternité et d’accueil de l’enfant ainsi que d’adoption est désormais de 6 mois, contre 10 précédemment. Cela fait suite à un décret publié au Journal officiel le 19 août 2023.
L’annonce récente de l’interdiction du port de l’abaya dans les établissements scolaires français a déclenché un débat passionné, mettant en lumière une série de perspectives divergentes et reflétant les divisions profondes au sein du paysage politique de gauche. Cette mesure, qui a été présentée par le ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, comme un effort visant à renforcer la laïcité à l’école, a suscité un large éventail de réactions, soulignant ainsi les tensions préexistantes liées à la religion et à la culture dans le contexte éducatif.
Les coûts croissants de la vie étudiante suscitent de vives préoccupations en France, comme en témoignent l’UNEF et la FAGE les organisations étudiantes. Elles soulignent l’aggravation de la précarité étudiante, marquée par une hausse significative des dépenses liées à la vie universitaire. Cette situation alarmante met en lumière les insuffisances des mesures gouvernementales actuelles et appelle à une réforme structurelle des aides aux étudiants.

L’enquête Information Vie Quotidienne (IVQ) menée par l’Insee en 2014 fait ressortir que 13% des personnes de 16 à 65 ans résidant en Martinique sont en situation d’illettrisme, soit près de 30.000 personnes environ. Elles sont 19% à rencontrer des difficultés dans les domaines fondamentaux de l’écrit : lecture de mots, production de mots, compréhension d’un texte simple.
En France, la prévalence des violences intra-familiales sur les personnes mineures reste encore mal connue. L’enquête nationale sur les violences envers les femmes (Enveff) de 2000 a fourni de premières estimations pour les femmes durant l’enfance et l’adolescence [1]. Quinze ans après, l’enquête Violences et rapports de genre (Virage) réalisée en France métropolitaine en 2015 actualise les données en les enrichissant ; elle intègre un échantillon d’hommes et fournit de nouvelles estimations de la fréquence des violences physiques et sexuelles subies avant 18 ans et, pour la première fois, permet d’estimer l’importance des violences psychologiques et verbales, également considérées comme de la maltraitance par les textes internationaux [2].
L’école Parallel 14, école supérieure spécialisée dans le numérique, organise pendant la période des grandes vacances ses ateliers ludo-pédagogiques appelés Numériklub by Parallel 14
L’Etat compte sur les parents pour contribuer à l’endiguement des violences urbaines commises à la suite de la mort de Nahel M., mais il est urgent de faire du soutien à la parentalité un axe majeur de la politique familiale, soulignent, dans une tribune au « Monde », quinze responsables de réseaux associatifs nationaux.