Le «tourisme du bien-être» est en plein essor.
— Selon l’AFP —
Le «tourisme du bien-être» a connu une croissance à deux chiffres en 2013 (+12%), ses revenus atteignant 500 milliards de dollars, a indiqué un responsable du secteur en ouverture du «plus important rassemblement» du genre, qui se tenait mercredi à vendredi dernier à Marrakech, au Maroc.
Près de 500 participants — hôteliers, tours opérateurs, gestionnaires de spas — d’une quarantaine de pays se sont retrouvés pour renforcer la valorisation de l’«un des secteurs à plus forte croissance du tourisme mondial», selon ses organisateurs.
L’an dernier, le chiffre d’affaires du tourisme du bien-être a atteint quelque 500 milliards de dollars soit 15% des dépenses touristiques à travers le monde, a relevé le co-président du Global spa and wellness summit» (GSWS), Neil Jacobs. Et ce «ce segment progresse 50% plus vite que le tourisme de manière générale», a-t-il ajouté, en s’appuyant sur une récente étude.
Le Maroc, pays hôte, qui s’est fixé comme objectif d’atteindre les 20 millions de touristes par an à l’horizon 2020 contre 10 millions actuellement, a les atouts pour devenir une «grande marque» dans ce domaine, a encore relevé Neil Jacobs.

Coluche avait popularisé l’expression dans les années 1980, pour mieux la dénoncer. Les Français la reprennent en cette année 2014 mais plus pour rigoler. Voilà ce que révèle la dernière édition d’une étude que le Credoc publie depuis trente-cinq ans.
À quoi sert un journal ? Dans une société
où les informations se succèdent à la vitesse de l’éclair,
par le biais des portables, des tablettes et des ordinateurs, est-il encore nécessaire de s’échiner à fabriquer du sens ? Pour Antoine Perraud, journaliste
à Mediapart, Frédéric Bonnaud, directeur de la rédaction des Inrockuptibles et Patrick Le Hyaric, directeur
de l’Humanité
et député européen, la réponse est inscrite dans les textes de nos aînés : le journalisme doit être engagé et responsable.
Dans un rapport publié mercredi 17 septembre, la Cour des comptes estime la fraude aux cotisations sociales de 20 à 25 milliards d’euros en 2012, soit le double par rapport à 2007.
Si le taux de pauvreté a légèrement reculé en 2012, le niveau de pauvreté s’intensifie dans un contexte de baisse globale du niveau de vie en France.
— Par Hugues HORATIUS-CLOVIS, Insee —
Militante des Droits de l’homme et de l’éducation populaire depuis plus de 30 ans, Marie-Christine Vergiat est députée européenne du Front de gauche depuis 2009. Elle réagit aux dernières déclarations du ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, concernant la situation des étrangers à Calais et, plus largement, à la politique européenne en matière d’immigration.
Mmes les Ministres (1)
En Martinique en juillet 2014, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle Emploi toutes catégories confondues s’élève à 
Réagissant à propos du conflit de la SME, le patron du Club Med, guidé par un réflexe de classe, a cru devoir se livrer à une attaque en règle contre les salariés en grève.
— Par Laurence Caramel —
— AFP & lefigaro.fr —
Le dernier rapport de l’INSEE sur les revenus et le patrimoine des ménages français révèle que les inégalités continuent d’augmenter, la crise semblant être passée pour les plus hauts revenus.
Une enquête de l’UFC-Que Choisir se veut alarmante sur la hausse de la publicité non adressée. Avec ses conséquences financières et écologiques.
Aux Antilles-Guyane, entre 1998 et 2013, les prix à la consommation ont évolué au même rythme que ceux de la métropole. Toutefois, la Guyane se démarque des Antilles par une inflation un peu moins élevée. Á partir de 2005, les prix de l’énergie ont fortement augmenté avec une répercussion mécanique sur le coût du transport. Dès 2007, le secteur alimentaire connaît également une période fortement inflationniste. Aux Antilles-Guyane, l’écart entre l’inflation subie par les ménages modestes et aisés reste faible. Mais des disparités entre les fonctions de consommation existent. En effet, la hausse des prix alimentaires affecte davantage les ménages modestes tandis que les ménages aisés sont plus concernés par le renchérissement des prix des transports. Les prix aux Antilles-Guyane sont dans l’ensemble plus élevés qu’en métropole. Les prix des produits alimentaires, contribuent largement au sentiment de vie chère.
Cette étude a été réalisée par un groupe de travail du Collectif pour un Audit citoyen de la dette publique. Elle se veut une contribution au nécessaire débat public sur des questions cruciales : d’où vient la dette ? A-t-elle été contractée dans l’intérêt général, ou bien au bénéfice de minorités déjà privilégiées ? Qui détient ses titres ? Peut-on alléger son fardeau autrement qu’en appauvrissant les populations ? Les réponses apportées à ces questions détermineront notre avenir.
Le Prix du meilleur jeune économiste, décerné par le Cercle des économistes et Le Monde, en partenariat avec le Sénat, vise à distinguer l’excellence académique, la capacité d’innovation et la participation au débat public.
— Par Stéphane Guérard —
Il n’est pas très original, j’en ai conscience, de s’inquiéter de l’état dans lequel se trouvent aujourd’hui la gauche et la pensée de gauche, pour autant qu’il soit possible de distinguer ces deux registres. Mais dans la mesure où la gauche politique semble s’enfoncer dans les abîmes d’un désastre qui s’annonce historique, on peut comprendre que ceux qui croient encore aux vertus d’une démarche de transformation sociale cherchent à rattacher le peu d’espoir qui leur reste à tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à une contribution progressiste à la réflexion théorique.
L’économie mondiale n’est pas seule à être en crise ; l’enseignement de l’économie l’est aussi, et les conséquences de cette crise vont bien au-delà de l’université. Ce qui est enseigné aujourd’hui façonne la pensée des décideurs de demain et influence ainsi les sociétés dans lesquelles nous vivons.
Un consensus croissant offre une occasion unique d’agir pour remédier aux inégalités
Chercheur en anthropologie, spécialiste de « la nature
des marchés et de l’importance des technologies de l’information », Alexandre Laumonier s’est plongé au cœur du trading
à haute fréquence. Des algorithmes capables de réagir en une
milliseconde pour acheter ou vendre et même ruser sont derrière 90 % des ordres donnés sur les marchés financiers.