— Par Sarha Fauré —
Pendant que les consommateurs d’Europe s’étonnent de la flambée des prix du chocolat – conséquence directe des bouleversements climatiques en Afrique de l’Ouest et de l’envolée des cours du cacao –, une autre réalité se dessine, plus discrète mais porteuse d’espoir : aux Antilles françaises, et notamment en Martinique, le cacao connaît une véritable renaissance.
Après des siècles d’oubli et de déclin, l’île redonne vie à une culture ancestrale, autrefois florissante, désormais portée par des producteurs passionnés, des coopératives engagées et une volonté de faire rayonner le savoir-faire local jusque dans les tablettes artisanales de la métropole. Le cacao martiniquais revient sur le devant de la scène.
Un passé glorieux, un long déclin
Il fut un temps où la Martinique produisait jusqu’à 6 000 tonnes de cacao par an, soit plus de la moitié de la production antillaise sous Louis XIV. Le cacao était alors l’une des richesses majeures de la colonie, prisé jusque dans les salons de Versailles. Les premiers cacaoyers avaient été introduits par les Amérindiens, bien avant la colonisation. Mais au fil des siècles, la culture du cacao a cédé sa place à celle de la canne à sucre, plus rentable à l’époque.

— Par Jean Samblé —
Peut – on encore sauver le système social de la départementalisation aux Antilles ?
utre-mer vont trinquer !
— Par Jean-Marie Nol —
Pourquoi l’économie de la Guadeloupe sera demain avec l’autonomie sur le fil du rasoir ?
Le président américain Donald Trump ayant annoncé sa volonté de conduire une politique plus protectionniste et surtout « réciproque », les droits de douane sont à nouveau à l’ordre du jour du commerce mondial. On vous explique en sept questions les enjeux et les effets potentiels pour les Européens de la politique américaine.
La classe moyenne guadeloupéenne désormais coincée entre déclassement économique, désillusions sociales et insécurité croissante .
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie-Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par collectif (*)
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Riche et complexe, l’histoire du cacaoyer remonte à environ 3500 av. J.-C. Les Olmèques, l’une des premières civilisations mésoaméricaines, sont souvent considérés comme les premiers à l’avoir cultivé. Ils utilisaient les fèves pour préparer une boisson amère, qui était fréquemment agrémentée d’épices et de piments. Des recherches encore plus récentes indiquent que le recours aux fèves de cacao existait déjà dans la haute
Sommaire
— Par Jean-Marie Nol —
Il serait plus que temps que la diaspora s’inscrive dans une trajectoire de développement économique et financier des pays Guadeloupe et Martinique !
Deux sociétés ont subi une attaque informatique par
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Face à un monde qui mute à toute vitesse, les Antilles semblent accuser du retard à l’allumage face à la nécessité de s’adapter au changement de paradigme !