— Par Jean-Marie Nol —
Le dessous des cartes de la stratégie du président Emmanuel Macron le « Mozart » de la finance pour réformer en secret la France ?
L’étude des sciences économiques est intéressante à plusieurs égards. Elle nous aide à répondre aux questionnements soulevés par le monde de la politique dans lequel nous vivons quotidiennement, à confronter les défis pour trouver des solutions et à profiter des opportunités offertes à nous tout en étant rationnels. En fait, tout relève de l’économie dans le fonctionnement de la société, et cela bon nombre d’hommes politiques et de citoyens n’ont pas encore vraiment compris et intégré cette donnée incontournable. En France hexagonale, la situation économique et financière apparaît très compliqué comme le dénote les difficultés à voter le budget 2025, car selon le journal économique Les Échos même si la croissance économique atteint 0,3 % au troisième trimestre grâce à un « effet Jeux Olympiques », elle ne dépassera pour l’année 2024 que marginalement sa moyenne de 1,15 % sur la période 2001-2024. Or, avec une dépense publique à 57 % du PIB en 2024, soit 8,5 points de PIB de plus que la moyenne de la dépense publique de la zone euro hors France, le pays doit croître à 2 % ou 2,15 % par an pour compenser l’effet de freinage de la lourdeur administrative et créer les emplois industriels ou de service à forte valeur ajoutée qui commandent des salaires élevés.

— Par Jean-Marie Nol —
Samedi soir, l’Assemblée nationale a adopté en première lecture une disposition pour alléger la charge fiscale sur les produits de première nécessité en Martinique et en Guadeloupe. Cette mesure, incluse dans le projet de loi de finances pour 2025, vise à exempter ces produits de TVA dans les deux départements d’outre-mer jusqu’à la fin de l’année 2027. Cette décision fait suite à un accord conclu mi-octobre à Fort-de-France entre l’État et les acteurs de la grande distribution, dans un effort de lutte contre la vie chère, notamment en réduisant les prix de 20 % en moyenne en Martinique.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Par Jean-Michel Salmon(*) —
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Par Jean-Michel Salmon(*) —
Le samedi 19 octobre, environ 2 000 personnes se sont rassemblées à Fort-de-France, répondant à l’appel du Rassemblement pour la Protection des Peuples et des Ressources Afro-Caribéens (RPPRAC) pour continuer la mobilisation contre la vie chère en Martinique. Bien que l’État ait annoncé avoir signé un accord avec les distributeurs pour une baisse de 20 % en moyenne des prix de l’alimentaire, cet accord a été jugé insuffisant par le collectif à l’origine du mouvement, qui a décidé de ne pas y adhérer. Le RPPRAC a appelé à une intensification des actions, avec des blocages prévus sur l’ensemble du territoire dès le lundi 21 octobre.
Après le refus de signature de l’accord, pourquoi le RPPRAC n’a d’autre choix que d’investir le champ politique Martiniquais ?
Depuis quelques temps se fait jour un discours formellement pro-libéral, condamnant le monopole ou quasi-monopole de quelques groupes de la grande distribution, et vrai plaidoyer pour le libéralisme pur et parfait.
— Par Jean-Marie Nom, économiste —
Alea jacta est une locution latine signifiant « le sort en est jeté », ou « les dés sont jetés », que Jules César aurait prononcée en se préparant à franchir le Rubicon avec ses troupes, en violation de la loi romaine, pour pénétrer sur le territoire italien.
La vie est chère à la Martinique ; très chère, trop chère. Savez-vous pourquoi ?
L’apparence du pouvoir politique local en Martinique , mais sans aucune réalité effective de pouvoir économique et financier.
Après des semaines de négociations intenses sur la crise de la vie chère en Martinique, un accord a enfin été signé ce mercredi 16 octobre, mais sans l’approbation du RPPRAC (Rassemblement pour la Protection des Peuples et des Ressources Afro-Caribéennes). Cet accord, qui engage plusieurs acteurs économiques et politiques de l’île, vise à réduire les prix de produits alimentaires et à renforcer la transparence des pratiques commerciales.
Budget 2025
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
Les Compagnies républicaines de sécurité avaient été bannies de l’île après la mort d’Edmond Eloi, surnommé Rosile, Christian Marajo et Julien Betzi, lors des « événements » de 1959.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Mireille Pierre-Louis —